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5. (1772) Voltaire to Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

Vous me devez justice, et je vous demande justice auprès de vôtre grand-maman.

6. (1774) Voltaire to Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

Je suis fâché que M: Turgot n'ait que le département de nos vaisseaux et de nos colonies; je ne le crois pas plus marin que moi; mais il m'a paru un excellent homme sur terre, plein d'une raison très éclairée, aimant la justice comme les autres aiment leurs intérêts, et aimant la vérité prèsque autant que la justice.

7. (1769) Voltaire to Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

Mes amis feront tout ce qu'ils pouront pour obtenir cette justice.

8. (1769) Voltaire to Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

Faittes vous lire la Lettrehttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180227_1key001cor/nts/002 de mr Le marquis de Belesta, et jugez après celà si c'est avec justice qu'on m'a imputé son ouvrage.

9. (1771) Voltaire to Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

Songez qu’aiant fondé une Colonie dans ma Sibérie je dois aprouver infiniment la grâce que fait le Roi à tous les seigneurs des terres de paier les frais de leurs justices.

10. (1774) Voltaire to Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

J’espère que celles de Pekin lui rendront plus de justice.

11. (1770) Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand to Voltaire

Oh non monsieur de Voltaire Je me fais Justice.

12. (1764) Voltaire to Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

Je ne vous aime point, Monsieur, et je ne rends pas moins justice à vos talents http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1110447_1key001cor/nts/001.

13. (1771) Voltaire to Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

A propos de justice, Madame, vous souvenez vous de quatre épîtres sur la loi naturelle?

14. (1765) Voltaire to Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

Des méchans me l'ont imputé, c'est une calomnie atroce dont je vous demande justice.

15. (1768) Voltaire to Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

Je sais qu'elle a outre les grâces, justesse dans l'esprit et justice dans le cœur.

16. (1764) Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand to Voltaire

Il faut se résigner à suivre notre destination dans l'ordre généralle, et songer, comme vous dites, que le rôle que nous y jouons ne dure que quelques minutes; si l'on n'avoit qu'à se défendre de la superstition pour se mettre audessus de tout, on seroit bien heureux, mais il faut vivre avec les hommes, on en veut être considéré, on désire de trouver en eux du bon sens, de la Justice, de la bienveillançe, de la franchise, et l'on ne trouve que tout les défault et les viçes contraires.

17. (1764) Voltaire to Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

J'espère que made la Duchesse de Luxembourg me rendra la justice de croire que je ne hais point un homme qu'elle protège, et que je suis bien loin de persécuter un homme si à plaindre.

18. (1768) Voltaire to Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

Vous n'aurez jamais cette infamie, qu'à condition que vous rendrez par tout justice à mon innocence, qui sera furieusement attaquée par les méchants jusqu'à mon dernier jour.

19. (1764) Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand to Voltaire

Adieu monsieur, aimez moi un peu, c'est justice, c'est reconnoissance, vous aimant je vous jure très tendrement.

20. (1774) Voltaire to Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

Peut être beaucoup d'honnêtes gens seront-ils fâchés de revoir en place ceux qui ont assassiné avec le poignard de la justice le brave et le malheureux Comte Lalli, qui ont eu la lâcheté barbare de le conduire à la grêve dans un tombereau d'ordures avec un bâillon à la bouche; ceux qui ont souillé leurs mains du sang d'un enfanthttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1250128_1key001cor/nts/003 de dix sept ans en personne, et du sang d'un autre enfanthttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1250128_1key001cor/nts/004 de seize ans en effigie, qui leur ont fait couper le poing, arracher la langue, qui les ont condamnés à la question ordinaire et extraordinaire, et à être brûlés à petit feu dans un bûcher composé de deux cordes de bois, le tout pour avoir passé dans la rue sans avoir salué une procession de capucins, et pour avoir récité l'ode à Priape de Piron, Lequel Piron avait (par parentèse) douze cent francs de pension sur la cassettehttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1250128_1key001cor/nts/005.

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