Je ne vous l'ai point envoiée, parce que j'ai craint que quelque Welche ne s'en fâchât. Depuis ma correspondance avec l'Empereur de la Chine, je me suis beaucoup familiarisé avec les rois; mais je crains un certain public de Paris qu'il est beaucoup plus difficile d'aprivoiser.
J’aurais trop à rougir si je craignais de montrer mon attachement pour mes bienfaicteurs.
Nos beaux esprits y trouvent la fraicheur de vôtre primptems; et moy qui n’ay pas leur Eloquence je dis que vous êtes et seray toujours, modèle en tout genres; ne négligez pas de l’être en amitié; et conservez en pour la personne qui vous admire le plus et qui vous aime le plus constamment et le plus tendrement; cette personne c’est moy, je ne devrois pas craindre que vous vous y méprissiés.
Il n'y â que vous monsieur à qui il appartient de ne le pas craindre; vôtre âme useroit trois ou quatre corps. […] Vous ne devineriez Jamais combien J'ay de volumes de vous, J'en ay Cent neuf et Je crains de n'avoir pas tout, il y en a une grande quantité de double; J'auray ces Jours cy un libraire pour vous completter, et pour plus grande sûreté Je vous en Enverray après le Catalogue pour que vous me disiez ce qui me manque.
J'ay seulement trouvé une personnehttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1240203b_1key001cor/nts/002, et cette personne est un très bel esprit, l'amie intime de mr Thomas, qui craint que vous n'ayés offensé le Roy de Prusse.
Je ne crains rien pour lui, ses talents et ses rivaux dont ma tranquilité et la sienne. […] Je crains que sa fin ne soit bien prochaine.
Si je ne craignais d'être un fat, je vous dirais que je mène une vie délicieuse. […] Vous me faittes grand plaisir, Madame, de me dire que vous ne craignez rien pour Mr grand-maman.
C'est peutêtre parcequ'un particulier a tout à craindre, et que les compagnies ne craignent rien, chaque membre rejette le blâme sur son confrère.
Monsieur Walpole qui est un de vos grands admirateurs, veut que je vous dise qu’il est infiniment flatté de l’honneur que vous lui faite, qu’il ne ce seroit jamais attendu à être cité par vous, et que les louanges que vous lui donnés C’est vous qui les lui faites mériter; ce sont vos ouvrages qu’il lit sans cesse; c’est l’admiration qu’ila de votre stile, quiforme le sien; mais il n’a pas cependant la présomption de le croire Encore assez bons, pour oser vous faire lui même ses remerciements; il veut qu’ils passent par moy; J’y souscrit en enfant perdû, sans craindre la critique, parce que je suis fort audessous de la prétention; C’est votre amitié que je veut mon cher Voltaire, et pour nouvelle preuve vôtre encyclopédie; vous ne devez pas Ecrire un mot sans m’en faire part; envoyé moi donc, incessamment, cette Encyclopédie affin de pouvoir la porter à Chanteloup, où j’espère aller au commencement de septembre; vous n’aurez ni rimes ni raisons de moy, que vous ne m’ayés accordé ma demande.
Je me flatte, madame, que vôtre petite-mère n'a rien à craindre des sots contes qu'on débite dans Paris contre son mari que je regarde comme un homme de génie, et parconséquent comme un homme unique dans le petit siècle qui a succédé au plus grand des siècles.
18e juillet 1769 Ma nièce me dit, madame, que vous vous plaignez de mon silence, et que vous voiez bien qu'un dévot comme moi craint de continuer un commerce scandaleux avec une Dame profane telle que vous l'êtes.
Je ne crains point les frais, mais si les ouvrages entiers sont trop gros il faut les séparer.
Je crains bien de ne vous pas tenir parole sur les rogatons que je vous avais promis pour vos pâqueshttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1200122_1key001cor/nts/001.
ce 29 Juillet 1770 Ne craignez rien monsieur, pour vous, ni pour votre statüe, vous êtes l'un et l'autre a l'abri de toute atteinte; Le tems pourra endomager la statüe mais pour vous qui est-ce qui peut vous nuire?
Nous sommes tous curieux, il n'y a personne qui ne voulût sonder un peu ces profondeurs, si on ne craignait pas la fatigue de l'application, et si on n'était pas distrait par les amusements et les affaires.