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1. (1773) Voltaire to Marie de Vichy de Chamrond, marquise Du Deffand

Tout ce que je crains, c’est de vous ennuier, mais après tout les objets que je vous présente valent bien tous les rogatons de Paris, et tous les détestables journaux que vous vous faittes lire pour attraper la fin de la journée. Il me semble qu’il y a un roman intitulé les journées amusanteshttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1240074b_1key001cor/nts/003; ce ne peut être en effet qu’un roman. Les journées heureuses seraient une fable encor plus incroiable. Vous les méritiez ces journées heureuses, mais on n’a que des moments.

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