choses faites comme cela, il ne serait pas tourmenté sur la fin de sa
vie
par les idées les plus absurdes et les plus détes
. Je vous souhaite, Madame, santé et fermeté. Méprisez le monde et la
vie
, tout cela n'est qu'un fantôme d'un moment.
tem/voltfrVF1110366_1key001cor/nts/003 Je conviens avec vous que la
vie
est très courte, et assez malheureuse; mais il fa
le moindre soulagement; il s'est accoutumé à son état, et il aime la
vie
comme un fou. Ce n'est pas que le néant n'ait du
cet abominable attirail dont on persécute le dernier moment de nôtre
vie
. Si on avait un peu de charité pour nous on nous
aussi sot qu'eux; tout cela est bien dégoûtant. Le seul plaisir de la
vie
à Genêve, c'est qu'on y peut mourir comme on veut
ousse sa carrière aussi loin que Fontenelle, et que dans son agréable
vie
il soit toujours occupé des consolations de la vô
commentateur, et ce qui n'arrivera plus. Adieu, Madame, suportons la
vie
qui n'est pas grand'chose, ne craignons pas la mo
vous des yeux de l'abbé de Chaulieu, les deux dernières années de sa
vie
? Figurez vous un état mitoien entre vous et lui,
ien que cette consolation est médiocre; rarement le dernier âge de la
vie
est-il bien agréable. On a toujours espéré assez
il bien agréable. On a toujours espéré assez vainement de jouïr de la
vie
, et à la fin, tout ce qu'on peut faire c'est de l
probablement sans cette joie; tâchons, en attendant, de jouer avec la
vie
, mais c'est ne jouer qu'à Colin maillard. V.
L'Ecriture Sainte, quoique j'aime encor mieux Cinna. Je joüe avec la
vie
, Madame, elle n'est bonne qu'à celà, il faut que
ur la journée, tout comme les autres. Je m'imagine que vous prenez la
vie
en patience ainsi que moi; je vous y exhorte de t
a même chose à vous mander, et quand je vous aurai bien répété que la
vie
est un enfant qu'il faut bercer jusqu'à ce qu'il
eçois de pareilles Lettres tous les huit jours. Je mène une plaisante
vie
. Adieu, Madame, je vous aimerai, et je vous respe
sus du vôtre; mais il faut deux yeux, ou du moins un pour jouïr de la
vie
. Je sais ce qui en est avec mes fluxions horrible
gnie, et je vis dans la retraitte, mais je l'ai toujours aimée, et la
vie
de Paris m'est insuportable. Dieu soit béni de ce
e, et méprise souverainement les pauvres préjugés qui empoisonnent la
vie
. La pluspart des hommes vivent comme des fous, et
e ne vois pas le monde en beau. Aiez soin de vôtre santé, suportez la
vie
, méprisez tout ce qui est méprisable, fortifiez v
elques moments. Je voudrais surtout qu’une bonne santé vous rendit la
vie
suportable; si mes ouvrages ne le sont pas. Ma sa
n aux sentiments qui m’attachent à vous jusqu’au dernier moment de ma
vie
. V. 10e 7bre 1773 à Ferney
ris point au Président Hénaut; mais je lui souhaitte comme à vous une
vie
longue et saine. Je dois la mienne au parti que j
'ai vécû que du jour où j'ai choisi ma retraitte. Tout autre genre de
vie
me serait insuportable. Paris vous est nécessaire
peut, à moins d'être La Poplinière, vivre plus commodément; voilà ma
vie
, Madame, telle que vous l'avez dévinée, tranquile
ois que vous n'avez rien fait de plus joli; mon Dieu que vous êtes en
vie
! Vous me donné un conseil que vous ne prenés pas
que vous ne prenés pas pour vous: vous ne méprisez ni le monde ni la
vie
, et vous avez raison; vous tirez bon party de l'u
e le console, n'est il pas trop heureux? est il quelque chose dans la
vie
qui ne soit pas illusion? celles qui donne la pai
ngt ans, toujours gai, et même trop gai. Je conviens avec vous que la
vie
n'est pas bonne à grand chose; nous ne la support
triomphe alors de cet instinct qui nous fait aimer les chaines de la
vie
, et qu'on a le courage de sortir d'une maison mal
e passer avec vous le soir de cette journée orageuse qu'on appelle la
vie
. Je vous ai vûë dans vôtre brillant matin, et ce
d de mon tombeau je voudrais pouvoir contribuer à la douceur de votre
vie
. Restez vous à Paris? passez vous l'été à la camp
1er 9bre 1769 Si je suis en
vie
au printems, Madame, je compte venir passer dix o
, et du bled que j'ai semé. Si celà m'échape il sera tems de finir ma
vie
qui a été assez longue. J'ai ouï parler d'un jeun
lui. Il a vécu quatrevingt deux ans, ce n'est qu'un jour. On aime la
vie
, mais le néant ne laisse pas d'avoir du bon. Adie
qu'il ne s'en faut de guères, mais Je suis cependant assés encore en
vie
pour avoir plus besoin de vos lettres que de priè
sez de cas? C'est en fait de lecture ce qu'est la dissipation dans la
vie
; cela ne vaut pas l'occupation ni la société, mai
sière. Vous aviez deux amis qui auraient fait la consolation de votre
vie
, lui et mr de Fourmont. La mort vous les a enlevé
vous en sentez tout le frivole. L'adoucissement de cette malheureuse
vie
serait d'avoir auprès de soi, et sous sa main un
ues. Si je ne craignais d'être un fat, je vous dirais que je mène une
vie
délicieuse. J'ai de l'horreur pour la vie de Pari
vous dirais que je mène une vie délicieuse. J'ai de l'horreur pour la
vie
de Paris, mais je voudrais aumoins y passer un hi
m/item/voltfrVF1030330_1key001cor/nts/001 que Je regretterai toute ma
vie
me faisoit sentir la vérité de ces vers qui sont
la honte de ses Ennemis. Le président fait toute la consolation de ma
vie
, mais il en fait aussi tout le tourment par la cr
ffectivement le discours d'un mort, mais dieu mercy vous êtes bien En
vie
et Je ne renonce point à l'espérance de vous revo
nment.com/item/voltfrVF1110025b_1key001cor/txt/001 est partie pour la
vie
éternelle avec de grands sentiments de dévotion,
miez l'histoire, vous auriez un amusement sûr, pour le reste de vôtre
vie
; mais j'ai peur que l'histoire ne vous ennuie. J'
t, que je lui serai bien sincèrement attaché pour tout le reste de ma
vie
. Je l'estime infiniment à tous égards. Ma grande
ns détestables. C'est toujours beaucoup dans les amertumes dont cette
vie
est remplie d'être guéri d'une maladie affreuse q
e lui dise icy que je lui serai attaché jusqu'au dernier moment de ma
vie
. Il voit mourir tous ses amis les uns après les a
ès d'un mois; je le suis encor, et je ne sais trop comment je suis en
vie
. Je crois qu'il est arrivé la même chose à Don Pe
. Le nombre infini de maladies qui me tuent est assez grand, et nôtre
vie
assez courte pour qu'on puisse se passer du fléau
entrées et qu'après dîné je compose des cantiques ou des romances. Ma
vie
n'a pas ce brillant. Je n'ay pas la moindre cour
t eu de jour où je n'aye trouvé à m'instruire. Jamais on n'a mené une
vie
plus convenable à un malade, car n'ayant aucune v
us comptez retourner à Paris, et comment vous prenez les choses de la
vie
. Je compte vous envoier incessamment une nouvelle
us, Madame, vous, qui malgré vôtre état de recueillement passez vôtre
vie
à courir? Je vous envoie l'article âmehttp://www.
er les jesuites avant qu'ils fussent chassés. Je n'ai jamais eu en ma
vie
tant de satisfaction. L'ainé des sept frères a un
dois tous ces agréments qui se répandent sur les derniers jours de ma
vie
. C'est vous qui m'avez présenté à vôtre grandmama
pé. Cela n'empêche pas que le livre ne soit très mauvais. Je passe ma
vie
à chercher des pierres précieuses dans du fumier,
té agités de crainte et d'espérance pendant les deux minutes de nôtre
vie
. Vous êtes plus jeune que moi, ainsi selon la règ
e sais ce que c'est que par ouï dire. Je n'ai pas passé un jour de ma
vie
sans souffrir beaucoup. J'ai peine même à concevo
fais grand cas de vôtre faiblesse. Tant qu'on est sensible on a de la
vie
. Puissiez vous, Madame, avoir longtemps cette fai
pour vous dire que Je suis transportée de Joye de ce que vous êtes en
vie
. Jamais on n'a été plus affligée que Je le fus sa
ion et un plaisir d'avoir soin de mon amusement. Tancrede, Zulime, La
vie
du czar, Le Recueil de vos idées, ne verrai-je ri
tout perdû mon cher Voltaire, et il ne me reste plus à perdre que la
vie
. Il n’y à que vous pour qui la viellesse soit sup
viellesse soit supportable, vous avez passé pour ainsi dire de cette
vie
cy sans mourir à l’Eternité; vous vous êtes sépar
voudrais contribuer à vous en faire passer un guaiment. On dit que la
vie
est un fonds triste qu'il faut éguaier par des co
ôtre grand maman et à Monsieur son mari tant que j’aurai un soufle de
vie
, celà est bien certain. Je ne crois point du tout
t de n’avoir pu passer auprès de vous quelques dernières heures de ma
vie
. Vous savez que vous étiez selon mon cœur, et que
jamais penser à la mort. Cette pensée n'est bonne qu'à empoisonner la
vie
. La grande affaire est de ne point souffrir, car
ut ce qui l'intéresse. Votre société doit faire l'unique charme de sa
vie
. Avez vous lu la conversation de l'abbé Grizel, e
riste, c'est qu'il n'y a à le bien prendre qu'un seul malheur dans la
vie
, qui est celui d'être né. Il n'i a aucun état tel
viens de lire une histoire d'Ecosse qui n'est pour ainsi dire que la
vie
de Marie Stuart, elle a mis le comble à ma triste
it déjà assez de mal sans que les hommes nous en fassent encor. Cette
vie
est un combat perpétuel, et la philosophie est le
si tout celà contribue à vous faire mieux supporter le fardeau de la
vie
. Agréez mes très tendres respects. V.
e n'ai pas consulté Mr Tronchin. L'estomac, l'estomac, Madame, est la
vie
éternelle. Je ne suis pas mal, heureusement, avec
société si délicieuse. Je vous serai entièrement attaché tant que ma
vie
durera, mais elle ne tient à rien.
blé. J’en parle tous les jours. Elles font encor la consolation de ma
vie
. J’ai autant d’horreur pour l’ingratitude que pou
Je vous souhaitte toutes les consolations qui peuvent vous rendre la
vie
suportable. Je voudrais être avec vous à st Josep
tir, il faut nous aimer, il faut nous le dire Jusqu’à la fin de notre
vie
. Hélas, hélas, il n’y a plus que courage! Sçavés
1240154_1key001cor/nts/005 de 14 cens pages de Mr Helvetius. Comme ma
vie
ne seroit pas assez longue pour une telle lecture
de vous écrire, et c'est le temps le plus agréablement emploié de ma
vie
, après celui de lire vos Lettres. Vous méprisez t
ir de gouverner des terres un peu étendües; vous ne connaissez pas la
vie
libre et patriarchale; c'est une espèce d'existen
talien. Le pentateuque et L'Arioste, font aujourd'hui le charme de ma
vie
. Mais, madame, si jamais je fais un tour à Paris,
vous préférerai au pentateuque. Adieu, madame, il faut joûer avec la
vie
jusqu'au dernier moment, et jusqu'au dernier mome
sont plongés depuis leur enfance jusqu'à leur mort. Ils passent leur
vie
à recevoir de bonne foi des contes de peau d'âne
mi douzaine qui ne pensent comme mon abbé Bazin. La consolation de la
vie
est de dire ce qu'on pense. Je vous le dis une bo
ai eu le bonheur de le voir assez longtemps, et je l'aimerai toute ma
vie
; j'ai encor une bonne raison de l'aimer, c'est qu
madame, un cœur qui sera à vous, soiez en bien sûre. Je ne regarde la
vie
que comme un songe; mais de toutes les idées flat
m'informer de votre santé, à vous demander comment vous supportez la
vie
vous et mr Le pt Henault, et à m'entretenir avec
yez, et moi Je vous réponds que J'enrage. Voilà les deux pivots de la
vie
, de l'insipidité ou du trouble. Quand Je vous dis
'en faire de bons. De toutes les sottises énormes que J'ay vû dans ma
vie
, Je n'en connâis point de plus grande que celle d
. J'ai peur de lui avoir porté malheur; je souhaitte qu'il finisse sa
vie
aussi sagement et aussi tranquilement que moi; ma
nvoier quelque insolence le plustôt que je pourai; prenez toujours la
vie
en patience, Madame, et s'il y a quelques moments
mme qui avait le sens comun, ait passé les cinq dernière heures de sa
vie
avec un prêtre. Deux minutes suffisaient. S'il fa
solaient un moment, parce que j'aime à vous parler des malheurs de la
vie
humaine, des préjugez qui L'empoisonent et des ho
e lui rends la justice qui lui est due; et soit que je sois encore en
vie
quand l'ouvrage sera imprimé, soit que j'aie fini
tage. Le plus grand bien au quel on puisse prétendre est de mener une
vie
conforme à son état et à son goust. Quand on en e
faut de différents remèdes. Il est vray qu'il est triste d'achever sa
vie
loin de vous, et c'est une des choses qui me font
uie vous pourez le jetter dans le feu. Je vous souhaitte, Madame, une
vie
longue, un bon estomach, et toutes les consolatio
mettez moi les mêmes sentiments pour vous, qui ne finiront qu'avec ma
vie
. V. 20e fév: Dans le temps que ma Lettre all
le Roy de Prusse m'a renvoïés, unique restitution qu'il a faite en sa
vie
). Les plaisanteries ne m'ont pas paru de saison;
contre le général des Jésuites. Jouïssez, Madame, des douceurs d'une
vie
toute oposée, conversez avec vos amis, nourrissez
ouïr de la consolation de vous revoir; mais je n'aime ni Paris, ni la
vie
qu'on y mène; ni la figure que j'y ferais, ni mêm
g. Adieu, Madame, vivez aussi heureuse qu'il est possible; tolérez la
vie
. Vous sçavez que peu de personnes en jouïssent; v
e vous serai attaché bien véritablement jusqu'au dernier moment de ma
vie
.
resserai tendrement à l'un et à l'autre jusqu'au dernier moment de ma
vie
. Il me manda par sa dernière Lettre que tout doit
chez moi, et je m'en trouve bien. On a tous ses moments à soi, et la
vie
est si courte qu'il ne faut pas en perdre un quar
aladies continuelles me condamnent au régime et à la retraitte. Cette
vie
ne peut convenir à made Denis, qui avait forcé la
et d'amitié pour lui que je n'ai de colère. Adieu, madame, tolérez la
vie
; je la tolère bien. Il ne vous manque que des yeu
il faut subir sa destinée. Je voudrais qu'à cet âge On sortit de la
vie
ainsi que d'un banquet, Remerciant son hôte, et f
regret. Vivez, madame, avec des amis qui adoucissent le fardeau de la
vie
, qui occupent l'âme, et qui l'empêchent de tomber
Crawford, Madame, a quelquefois de petites vélléités de sortir de la
vie
quand il ne s’y trouve pas bien, et il a grand to
e que vous pensiez, de quelque chose que vous soiez dégoûtée, quelque
vie
que vous meniez, l’hermite de Ferney vous sera te
s vous de ces journées qui paraissent quelquefois si longues dans une
vie
si courte? comment le président Henaut s'accomode
Epargner un Ecu? Où est il ce mr de Lisle? Vous ne sçavez donc pas la
vie
qu'il mène? Vos filles auront courrûs toute l'All
is avec guaieté une avanture dont la suitte empoisonne le reste de ma
vie
misérable. Je ne vous ay point écrit pour ses cou
et surtout sur l’attachement que je vous ai voué pour le reste de ma
vie
. V.
chercher si Je n'étois pas condamnée par le malheur de mon état à une
vie
sédentaire. Je ne suis à mon aise que dans les li
lus parfaitte et l'amitié la plus tendre que Je vous ay vouée pour ma
vie
, ne pouvoient pas servir de compensation.
1er Juin 1770 Vous avez dû voir madame que je consume ma pauvre
vie
dans mes déserts de neige pour vous récréer un de
mais il recommandait aussi l'amitié et la vôtre fait le charme de ma
vie
.
nté ne me permettrait pas de vous voir ce qu’on appelle en visite. La
vie
de Paris serait nonseulement affreuse, mais impos
e vois quelques étrangers ce n’est que pour un moment. Voiez si cette
vie
est compatible avec le séjour d’une ville où il f
sot orgueil humain, malgré les petites vanités qui se jouent de notre
vie
, malgré les opinions passagères qui entrent dans
l est si doux de vivre avec vôtre grandmaman, que vous aimez encor la
vie
, malgré tout le mal que vous en dites souvent ave
tres, avaient sur nous un grand avantage, ils ne troublaient point la
vie
et la mort par des assujetissements qui rendaient
n vous disant que je vous serai attaché jusqu’au dernier moment de ma
vie
.
comment passez vous vos vingt quatre heures? comment suportez vous la
vie
? La mienne est à vous, mais très inutilement, et
/nts/001 ne vaut pas assurément vos ragoûts, mais il est fort bon. La
vie
est très douce, très libre, et son égalité contri
en il serait doux de passer auprès de vous les dernières années d'une
vie
philosofique. V.
aduction de Tacite. Ai-je eu tort de lui prouver que je suis encor en
vie
? On m'a écrit que dans une autre nottehttp://www.
. Adieu, encor une fois. Que je vous plains! que je vous aime! que la
vie
est courte et triste!
être, avoir été semblables à ceux d'aujourd'huy; enfin, pendant notre
vie
nous sommes acteurs ou spectateurs. La toile bais
vû le derrière des coulisses. Une seule chose pourroit attacher à la
vie
, ce seroient de véritables amis, et c'est ce qui
s ne vaut pas grand'chose. Je crois avoir renoncé pour le reste de ma
vie
, à la plus extravagante des villes possibles. Ce
upé. Je vois que tous les poëtes ont eu raison de faire l'éloge de la
vie
pastorale, que le bonheur attaché aux soins champ
qu'on m'a envoyées; mais je doute que celà soit aussi amusant que la
vie
de Charles 12, car Pierre n'était qu'un sage extr
dé qu'il a pour les vers, vous vous attacherez pour le reste de votre
vie
quelqu'un d'aimable qui vous devra tout, vous aur
ui font le plus d'honneur à notre siècle. La liberté de penser est la
vie
de l'âme, et il paraît qu'il n'y a pas baucoup d'
urs le lisent, et que les rois le paient. Adieu, Madame, supportez la
vie
et le siècle. Quand vous vous faites lire, ayez s
je vous témoigne en faveur de l’attachement qui ne finira qu’avec ma
vie
laquelle finira bientôt.
ir; mais c'est peut être tant mieux, vous m'auriés trop attachée à la
vie
. Ecrivés moi souvent, je voudrais avoir de vos le
i a été, à tout ce qui est et à tout ce qui sera. Vivre sans aimer la
vie
ne fait pas désirer sa fin, et même ne diminue gu
in, et même ne diminue guères la crainte de la perdre. Ceux de qui la
vie
est heureuse ont un point de vû bien triste, ils
b_1key001cor/txt/003vaut, généralement parlant, beaucoup mieux que la
vie
, le néant a du bon; consolons nous, nous en tâter
e débats contre mon éxistence que je maudis et que j'aime; je hais la
vie
et la mort; qui me consolera, qui me soutiendra?
on malheureuse de vous voir et de vous entendre. Adieu, madame, cette
vie
n'est pas semée de roses. V.
temporaine; consolez là, aidez luy à trainer les tristes restes de sa
vie
. Je ne vous parle point des nouveautés, des moish
uï, Madame, je suis vif, et je le serai jusqu'au dernier moment de ma
vie
, quand je croirai servir l'amitié et la raison. L
attaché, et si je ne compterai pas parmi les plus beaux moments de ma
vie
le plaisir de vous entendre, car grâces à nos yeu
à vos lumières. Ah mon dieu monsieur, que Je serois aise de passer ma
vie
aux Délices! si c'est la philosophie qui donne le
isir que d'être avec vous. J'aurois grand besoin de mr Tronchin si la
vie
m'étoit plus chère, mais ce seroit une folie à mo
hesse de Choiseul je leur serai attaché jusqu'au dernier moment de ma
vie
avec respect, vénération et reconnaissance. Je vo
ute l'histoire de mon coeur parce qu'il est à vous. Je crains pour la
vie
de Pondevêle. Son frère fait la consolation de la
Je vous quitte pour aller au chevet du lit de ma malade. Suportez la
vie
, Madame, et conservez moi vos bontés. A propos, M
étrange chose, mais ce n'est pas à moi de la condamner. J'ai passé ma
vie
à tomber dans cette faute, et je suis puni par où
e donnait des thèmes toutes les semaines; il égayait le sérieux de ma
vie
, car je suis très sérieux; je fais mes moissons,
glisser. Jamais il n'est entré chés moi et Je ne l'ay recontré de ma
vie
; mais voilà les préventions que l'on vous donne.
vérités que vous découvrirez, enseignez moi le moyen de supporter la
vie
, ou d'en voir la fin sans répugnancehttp://www.e-
e l’amitié, que je crois quoi qu’on en dise, le plus grand bien de la
vie
.
s aimés la vérité, mais l’attrape qui peut. Je l’ai cherchée toute ma
vie
sans pouvoir la rencontrer; je n’ai apperçu que q
ourne la vûe autant qu’il m’est possible; j’en feroit de même pour la
vie
si cela se pouvoit; je ne sçait en vérité pas laq
les tous les jours. Je me sais bien bon gré d'avoir griffonné dans ma
vie
tant de prose & tant de vers, puisque cela a
rire. Adieu, Madame, je ne sçais si nous avons jamais bien joui de la
vie
, mais tâchons de la supporter. Je m'amuse à enten
f Dupuits est pénétré de vos bontés. Il a dû vous rendre compte de la
vie
ridicule que je mène. Il y a trois ans que je ne
est nécessaire, comme à moi la retraite. Adieu madame, jouissez de la
vie
autant qu'il est possible; et soiez bien sûre que
’entretenir avec vous que pour recouvrer la vue, et pour prolonger ma
vie
. Un hazard assez malheureux me amena en France il
en plus qu’invalide, je suis mort. Mr de Lisle qui est tout à fait en
vie
, doit vous tenir lieu de tout. Je n’ai jamais vu
parler de vous. Je les ay accablé de questions, de votre santé, de la
vie
que vous meniez, de la façon dont j'étois avec vo
ur bonheur dans les douceurs de la société, et dans les devoirs de la
vie
. Je trouve que la vieillesse rend l'amitié bien n
nsieur? pour moi Je ne ferme pas l'œil, et cette manière d'alonger ma
vie
me déplait fort. Je vous ay l'obligation de me fa
en soit vous serez parfaitement du mien Jusqu'au dernier moment de ma
vie
.
Je puis dire avec vérité qu’elle a été le tems le plus agréable de ma
vie
; Jamais Je ne les ay si bien connûs, Jamais leurs
, car puisque nous ne nous tuons pas, il est clair que nous aimons la
vie
. Je vous aime, Madame, je vous aimerai toujours,
e que la retraitte rend les passions plus vives et plus profondes; La
vie
de Paris éparpille toutes les idées, on oublie to
s parce que vous y êtes, mais la raison me dit que je dois achever ma
vie
à Ferney. Il faut se cacher au monde quand on a p
temps à moy, car je souffre et je travaille sans cesse. Cela fait une
vie
pleine: pas tout à fait heureuse; mais où est le
rce qu'on y ferme les portes de très bonne heure, et que mon train de
vie
campagnard est l'antipode des villes; je reste do
'une âme éclairée. Je ne suis point du tout étonné que vous aimiez la
vie
, toute malheureuse qu'elle est, et que vous n'aim
ww.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1190379_1key001cor/nts/002, et la
vie
de Charlequinthttp://www.e-enlightenment.com/item
oide quatre ou cinq personnes en robe de chambre; et moi qui passe ma
vie
en robe de chambre comme Jean Jaques je trouve fo
Duc et à Made la Duchesse de Choiseul, jusqu'au dernier moment de ma
vie
. Je l'ai dit à la terre, au ciel, à Gusman même.
persévérance, et la passion que j’ai de m’instruire sur la fin de ma
vie
pour chercher comme je fais des pierres précieuse
ril 1769, à Ferney Chacun a son diable, Madame, dans cet enfer de la
vie
. http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180
es consolations ne sont encor que des emplâtres sur la blessure de la
vie
. Mais dans vôtre malheur vous avez dumoins le mei
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