affaires. Vous ne me paraissez pas profonde en théologie quoique vous soiez sœurhttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1

ar vos bontés et par vos Lettres. Dès que vous me donnerez des thêmes soiez sûre que vous entendrez parler de moi, que je sui

je ne suis pas capable d'une pareille lâcheté. Tout ours que je suis, soiez persuadée que je suis un très honnéte ours. Je n'

raite. Adieu madame, jouissez de la vie autant qu'il est possible; et soiez bien sûre que je suis à vous, que je vous apparti

e moi, Madame, en cas qu'on m'honore jamais d'une messe des morts; et soiez bien sûre que les sept ou huit jours que j'ai enc

je suis vôtre confrère en aveuglement, et vôtre maître en souffrance; soiez donc ma disciple en discrétion. S'il fallait lais

perdu, pour que vous joüissiez d’un excellent estomac, pour que vous soiez aussi heureuse qu’on peut l’être dans un monde où

es. Mais j'ai peur qu'aiant beaucoup lu et beaucoup réfléchi, vous ne soiez plus amusable, et que je ne sois point du tout am

e philosophie de l'histoire de L'abbé Bazin, je souhaitte que vous en soiez aussi contente que L'Impératrice Catherine 2de à

voyant ou aveugle, j'aurai toujours, madame, un cœur qui sera à vous, soiez en bien sûre. Je ne regarde la vie que comme un s

à écrire avec la plus grande simplicité. Il n'est pas juste que vous soiez sans pucelle; je vais prendre si bien mes mesures

la vérité. Je l’ai ditte sans rien attendre de personne au monde; et soiez sûre que je ne demanderai jamais rien à personne,

imerai toujours sans la plus légère diminution. Je souhaitte que vous soiez le moins malheureuse qu'on puisse être sur ce rid

eu, Madame, quelque chose que vous pensiez, de quelque chose que vous soiez dégoûtée, quelque vie que vous meniez, l’hermite

s le temps de la fronde excepté quand il a renvoié les jesuites. Mais soiez bien sûre que vous n’aurez de moi ni Morangiés, i

z depuis si longtemps, de ne les confier qu'à des personnes dont vous soiez aussi sûres que de vous mêmes, et de ne pas prono

us de nouvelles du nord que de Paris. Je suis fort aise que vous vous soiez remise à relire Homère. Vous y trouverez dumoins

enser comme ils ne pensent point, ou d'imbéciles qui veulent que vous soiez aussi sot qu'eux; tout cela est bien dégoûtant. L

'un médecin anglais qui disait à la Duchesse de Marlborou, Madame, ou soiez bien sobre, ou faittes beaucoup d'exercice, ou pr