maladie ne laisse pas d'avoir de grands avantages; elle délivre de la
société
. Pour vous madame ce n'est pas de même. La sociét
elle délivre de la société. Pour vous madame ce n'est pas de même. La
société
vous est nécessaire comme un violon à Guignonhttp
/item/voltfrVF1110191_1key001cor/nts/002 Comment voulez vous que la
société
soit agréable avec tout ce fatras pédantesque. Vr
suis fâché que vôtre ami soit si couru, vous en jouïssez moins de sa
société
, et c'est une grande perte pour tout deux. J'achê
. Vôtre triste état vous met dans la nécessité d’être consolée par la
société
, et cette société qu’il me faudrait chercher d’un
t vous met dans la nécessité d’être consolée par la société, et cette
société
qu’il me faudrait chercher d’un bout de la ville
/002 de Menou. C'est encor une grande consolation de s'être formé une
société
de gens qui ont une âme ferme et un bon cœur. La
Vous avez à Paris la consolation de l'histoire du jour, et surtout la
société
de vos amis. Moi j'ai ma charüe, et des livres an
me d'esprit. Vous me direz que la chose est bien difficile, et que la
société
serait perdue si l'on ne se moquait pas un peu de
u'est la dissipation dans la vie; cela ne vaut pas l'occupation ni la
société
, mais cela y suplée. Ecrivez moi, réveillez moi,
Joint à l’aveuglement, me rend comme vous pouvez juger d’une agréable
société
. Ah s’est bien moi mon cher Voltaire, qui regrett
trois accadémies, à la meilleure Compagnie de la Cour, à la meilleure
société
de la ville? Non, non, cela n’est pas possible.ht
n naissant que parce qu’on est sourd, et on ne peut être muet dans la
société
que quand on est sourd d’entendement. Ah je vous
hère que jamais à son mari. Enfin, elle jouïra des agréments de vôtre
société
. Joignez à tout celà l’acclamation de la voix pub
gratitude, sur le besoin que l'on a d'aimer ou du moins d'avoir de la
société
? Le regret qu'a le lion d'avoir punie son amie (q
uvoir pas se sufire à soy même, et d'avoir un besoin nécessaire d'une
société
où l'on ne trouve ni agrémens ni plaisir, enfin r
ltaire, condamnée à un cachot perpétuel Je n’avois de resourçe que la
société
, que l’amitié de La plus charmante personne qui a
son séjour ici. Je puis vous assurer qu’il est aussi aimable dans la
société
, qu’il est grand et respectable à la tête de la c
us tenir lieu de tout. Je n’ai jamais vu d’homme plus nécessaire à la
société
que lui. Les dragons de mon temps n’avaient pas l
ïer de la campagne, mais elle ne vous convenait pas. Il vous faut une
société
de gens aimables, comme il fallait à Rameau des c
dent Hénaut combien je suis sensible à tout ce qui l'intéresse. Votre
société
doit faire l'unique charme de sa vie. Avez vous l
bien faux pour ceux qui ont mis leur bonheur dans les douceurs de la
société
, et dans les devoirs de la vie. Je trouve que la
ais que par son soulier. Jouïssez pendant quarante ans, Madame, d'une
société
si délicieuse. Je vous serai entièrement attaché
heureux. Les mots de Paris et de couvent m'effrayent autant que votre
société
charmante m'attire. Je n'avais point d'idée du bo
'Europe. On a besoin absolument dans cet état de la consolation de la
société
. Vous jouïssez de cet avantage, la meilleure comp
essaire qu'il y eût quelques principes généraux de morale pour que la
société
pût subsister, aussi ces principes sont ils les m
c’est que ce docteur en l’art d’assassiner les gens m’a paru dans la
société
le plus poli et le plus doux des hommes. Vous me
. Plût à Dieu, Madame, que vous pussiez vivre comme moi, et que vôtre
société
charmante pût augmenter mon bonheur! Vous voulez
s le pourez. Conservez vôtre santé, continuez à faire le charme de la
société
, faittes vous lire des livres qui vous amusent. V
ore de votre situation que moy de la mienne. Vous êtes faitte pour la
société
, la vôtre doit être recherchée par tous ceux qui
aisance et Je ne me serois pas aperçû d'une grande diférence pour la
société
et la compagnie. Je ne sçay plus que lire. http:/
a besoin de courage. Vous en avez beaucoup, et il est soutenu par la
société
de vos amis. Je vous prie de dire à Monsieur le P
r élevé ma voix contre des êtres malfaisants et injustes, qui dans la
société
ont toujours été insuportables, et dans l’éxercic
vous demander si vous serez assez heureuse cet hiver pour jouïr de la
société
de Madame la Duchesse De Choiseul. Mais le princi
ose vous écrire du fond de ses déserts et ses neiges, privé de toute
société
, et de prèsque tous ses sens, lorsque vous en ave
t que vous. Il veut se charger des regrets que j'ay d'avoir perdu une
société
telle que la vôtre, et vous envoier ma lettre. Vo
partageât uniquement entre vous et lui même; il ne trouvera jamais de
société
plus charmante que ces deux là. On m'a dit aujour
il faut avouer que nous sommes un peu moins barbares qu'autrefois, la
société
est un peu perfectionée. Je m'en raporte à vous,
our souper, je ne découche Jamais et Je ne fais point de visittes. Ma
société
n'est pas nombreuse, mais Je suis persuadée qu'el
ien vôtre état. Vous jouïssez, au moins, de toutes les douceurs de la
société
. Il est vrai que celà se réduit prèsque à dire so
s, et tout ce que vous ferez, soyez sûr que Je n'en mésuseray pas; ma
société
est fort circonscrite, et ce n'est qu'à elle que
evant du monde est-il bien sûr que ce monde ne les envenimera pas? La
société
à Paris a-t-elle d'autres alimens que la médisanc
ttent moins l'âme, que les chagrins que nous causent le comerçe et la
société
des hommes. Votre jeune homme est avec vous, sans
tre à me rapprocher de vous; rien ne m'attache dans ce paÿs cy, et la
société
où je me trouve engagée, me feroit dire ce que mr
manière dont elle pense. Je vous vois réduite à la dissipation de la
société
; et dans le fond du cœur vous en sentez tout le f
t à ses gages. Adieu madame, si J'étais à Paris, Je préférerais votre
société
à tout ce qui se fait en Europe et en Asie. V.
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