ir à ma bonne conscience et à souffrir en paix qu'on ne me croie pas.
Savez
vous qu'il parait deux petits volumeshttp://www.e
ces lettres sont d'elle. On les dévore dans les païs étrangers; on ne
saura
qu'avec le tems que ce recueil n'est que la fripo
fesait un peu le mistérieux à Ferney, mais son mistère était qu'il ne
savait
rien. Toute cette avanture est bien horrible et b
assage. Fourmont valait mieux. Il n'y a que les gens peu répandus qui
sachent
aimer. Adieu, Madame, je suis très peu répandu.
avec une Dame profane telle que vous l'êtes. Eh mon Dieu, madame, ne
savez
vous pas que je suis tolérant, et que je préfère
bre qui fait la bonne compagnie de Paris au petit nombre des élus? Ne
savez
vous pas que je vous ai envoié par vôtre grand-ma
assez serré, mais l'auteur ne raporte guères que ce que tout le monde
sait
, et le peu qu'on ne savait pas ne mérite point d'
r ne raporte guères que ce que tout le monde sait, et le peu qu'on ne
savait
pas ne mérite point d'être connu, ce sont des ane
. Peut on trahir ainsi son confrère? car dans les temps de neige vous
savez
que je suis vôtre confrère en aveuglement, et vôt
courent des miennes ne sont pas fidèles; je le dirai hautement. Vous
savez
que vous m'avez déjà mis dans la disgrâce de Mont
ney Vous me donnez un thème, Madame, et je vais le remplir: car vous
savez
que je ne peux écrire pour écrire, c'est perdre s
a fait que du bien dans le pays sauvage qu'il habite. Oui, Madame, je
sais
très bien que le Janséniste la Blétrie demande la
te la Blétrie demande la protection de M. le Duc de Choiseul. Mais je
sais
aussi qu'il m'a insulté dans les notes de sa ridi
ssant, à moi pour qui M. le Duc de Choiseul a eu de la bonté avant de
savoir
que la Blétrie existât? Il dit dans sa préface qu
dans des veines usées. Montrez lui ma lettre, je vous en supplie. Je
sais
qu'elle a outre les grâces, justesse dans l'espri
nde. Ils n’ont fait que du mal, et ils n’ont produit que du mal. Vous
savez
probablement que d’ailleurs je n’étais point leur
e la fronde n’était bonne qu’à être chantée en vers burlesques. Je ne
sais
rien dans mes déserts de ce qui s’est passé derri
ir pu passer auprès de vous quelques dernières heures de ma vie. Vous
savez
que vous étiez selon mon cœur, et que je suis le
20e 9bre 1765 à Ferney Il faut que vous
sachiez
, Madame, qu'il y a près d'un mois que made la Duc
e jour en jour; mais enfin, elle ne sera pas toujours à Genêve. Je ne
sais
si ce que je vous envoie vous amusera, mais vous
à la folie. C'est dans mon cœur un sentiment de toute l'année. Je ne
sais
s'il est vrai que M: Le Dauphin ait vomi un abcès
ne de vos amies. Cette pauvre philosophie est un peu persécutée. Vous
savez
que le gros recueil de l'enciclopédie est prisoni
s une situation où j'ai le plus grand besoin des bontés du Roy. Je ne
sais
si vous savez que j'ai recueilli chez moi une cen
on où j'ai le plus grand besoin des bontés du Roy. Je ne sais si vous
savez
que j'ai recueilli chez moi une centaine d'émigra
t.com/item/voltfrVF1130060b_1key001cor/txt/001 Il faut donc que vous
sachiez
madame qu'il y avait un prêtre dans mon voisinage
it du bruit, et j'étais très peu lié avec madame de Jaucour, et je ne
savais
pas si elle était plus philosophe que huguenote,
res arrivantes de Geneve. Vous m'entendez parfaitement, et vous devez
savoir
que je vous suis tendrement attaché. Je donneray
ndeur, sa gaucherie pleine de grâces et la bonté de son caractère, ne
sait
ce qu'il dit. Le fait est que je suis dans un cli
onne femme qui en guérit; et le grand Tronchin en raisonne fort bien.
Sachez
encor, madame que les femmes commencent à inocule
r, il faut se familiariser avec cette dure destinée. Je voudrais bien
savoir
si Mr D'Argenson est mort en philosophe ou en pou
onstances si dégoûtantes et si ridicules, qu'il est fort difficile de
savoir
ce que pensent les mourants; ils passent tous par
avons de l'intelligence. Nos athées modernes substituent à celà je ne
sais
quelle nature incompréhensible, et je ne sais que
ubstituent à celà je ne sais quelle nature incompréhensible, et je ne
sais
quels calculs impossibles. C'est un galimatias qu
es à Sémiramis. Que voulez vous, s'il vous plait, que je fasse? Je ne
saurais
envérité prendre le parti de Moustapha contre ell
païs Reprochât à mes sens surpris D'être séduits par l'apparence! Je
sais
que son esprit orné A toute la délicatesse Que l'
us d'un chat huant Introduit entre deux fauvettes? Cependant je veux
savoir
qui soupe entre madame de Choi. . . . et vous; qu
dent a repris son âme. Hélas qu'a t-il pu ressaisir De cette âme qui
sut
vous plaire? Quelque faible ressouvenir, Le quelq
www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1110191_1key001cor/txt/001. Mais
sachez
que dans le temps présent il est impossible de fa
en, ni sous son enveloppe, ni à lui même. On est éffarouché, et je ne
sais
pourquoi. Prenez vôtre parti, et si dans quinze j
e me suis faitte. Adieu, Madame, courage, faisons de nécessité vertu.
Savez
vous que c'est un proverbe tiré de Cicéronhttp://
t ans plus que moi, et qui a été bien plus gourmand, je voudrais bien
savoir
s'il est fâché de son état, s'il se dépite contre
us est qu'ils ne se doutent pas qu'ils seront égorgés, et que nous le
savons
. Il est vrai, madame, que j'ai quelquefois de pet
uvre de versification, mais de barbarie sacerdotale. Je voudrais bien
savoir
de quel droit le prêtre Joad fait assassiner Atha
s voulez bien la soliciter auprès de Madame la Duchesse D'Anville. Je
sais
qu'elle n'attend pas qu'on la prie quand il s'agi
peut être encor sur le tapis. Il y faut bien des préliminaires. Vous
savez
que dans ce monde le mal arrive toujours à bride
nt tous les ans dans les régiments, [dans] toutes les garnisons. Vous
savez
de qu[oi il s'agit.] Le jeune homme pour qui on s
1cor/nts/005 La perruque qui disait que tout le monde lui en voulait.
Savez
vous que l'horrible avanture du chevalier De la B
e avanture du chevalier De la Barre a été causée par le tendre amour?
Savez
vous qu'un vieux maraut d'Abbeville nommé Belleva
tte de toutes ces horreurs. Elles font dresser les cheveux à la tête.
Savez
vous encor, Madame, que feu Mr Le Dauphin, qu'on
dans sa dernière maladie? J'ai apris avec bien de l'étonnement qu'il
savait
toute la Tragédie de Mahomet par cœur. Si ce sièc
ivrer à la reconnaissance il ne faut pas se livrer à la vanité. Je ne
sais
si elle a dans le moment présent beaucoup de tems
i jamais sçu comment cet être là était fait, et vous verrez que je le
sais
moins que jamais. Si vous voulez aprendre à ignor
rgent, et Monsieur l'abbé le jette par les fenêtres. En un mot, je ne
sais
ce que c'est que cette grâce, et je ne prendrai p
éé le monde pour sa gloire. Il faut l’imiter autant qu’on peut. Je ne
sais
pas à qui il voulait plaire; pour moi je voulais
01cor/txt/003, des gens qui sont en langueur. C’est un hôpital. Je ne
sais
s’il vous paraîtra aussi plaisant qu’à moi, que M
mite de Ferney vous sera tendrement attaché jusqu’au moment où il ira
savoir
qui a raison de Platon ou de Spinosa, de st Paul
y001cor/nts/002 de Grenoble, qu’on regarde comme un homme sage. Je ne
sais
pas encor s’il est bien vrai que M: Le Comte de L
s juridiques qui ne sont point du tout agréables. C’est bien assez de
savoir
que la mauvaise humeur du parlement de Paris cont
e mis d’Ossun qui la protège, mais pour les affaires de l’église vous
savez
que je ne m’en mêle pas. Portez vous bien, Madame
30e juillet 1768 à Ferney Voici des thêmes, Dieu merci, madame. Vous
savez
que mon imagination est stérile quand elle n'est
nd'mère, ce que je pourai faire venir de plus curieux de Hollande. Je
sais
qu'elle est un très honnête homme. Je compte d'ai
, manger au bout de trois semaines. St Denis porta sa tête comme vous
savez
, mais il ne mangea pas. Adieu, Madame, conservez
je le lui adresserai pour vous. Il faut que je vous conte ce qu'on ne
sait
pas à Paris. Le singe de Nicoléhttp://www.e-enlig
Railleries à part il faut que Rezzonico soit un grand imbécile. Il ne
sait
pas encor que l'Europe entière rit de Rome comme
it pas encor que l'Europe entière rit de Rome comme de st Cucufin. Je
sais
pourtant qu'il y a encor des hottentots, même à P
galanterie d'afranchir ses ports de Lettres. Il y a longtemps que je
sais
que les femmes ne sont pas infiniment éxactes en
Vous me dites que vous ne voulez pas être aimée par charité; vous ne
savez
donc pas que ce grand mot signifie originairement
'était autrefois un bien vilain mot que celui de guinbarde; mais vous
savez
que les mots et les idées changent souvent chez l
nd maman se porte mieux que jamais; j'étais inquiet de sa santé; vous
savez
que je l'aime comme monsieur l'archevêque de Camb
ment qu’à Versailles, parce que nos belles dames ne se piquent pas de
savoir
la grammaire. Diderot est tout étonné de ce qu’il
lui rendront plus de justice. Il y a un homme dans mon voisinage qui
sait
fort bien le chinois et qui a envoyé des vers chi
’ai fait une épitre à Horace. Je ne vous l’envoie pas parce que je ne
sais
pas si vous aimez Horace, si vous souffrez encor
vous connaissez. Ce chagrin m’empêchera de revoir jamais Paris. Je ne
saurais
souffrir les tracasseries et les factions aussi r
F1250029b_1key001cor/nts/004. Je vous en remercie et je voudrais bien
savoir
de qui ils sont. Je ne suis pas acoutumé à en rec
tourbillons qui vous entourent et moy je vous écrirai tout ce que je
saurai
dans ma solitude. Vous voiez madame que je suis d
madame, puisque les confitures du roi de Maroc vous font du bien. Car
sachez
qu'on sert de la casse sur la table du roi de Mar
rien. Elle vous coûterait un écu, et elle ne le vaut pas. Je voudrais
savoir
si vous avez lu le livre de Nekrehttp://www.e-enl
ses mots de façon qu'ils ne puissent choquer personne. Et puis je ne
sais
, si nôtre histoire mérite d'être écrite. J'aime b
s dit la vingtième partie des choses sages, utiles et hardies dont on
sait
gré à mr Humes et à vingt auteurs anglais, a été
y a neuf jours, vous me demandez le commencement de l'alphabet. Mais
savez
vous bien qu'il sera brûlé, et peut être l'auteur
nt de l'ouvrage. L'a b c est trop l'éloge du gouvernement anglais. On
sait
combien je hais la liberté, et que je suis incapa
a tué un vieillard de quatre vingt ans, et celà me fâche encor. Vous
savez
que j'aproche plus de quatrevingt que de soixante
je ne laisse pas d'avoir pitié des huguenots. Mais mon Dieu, Madame,
saviez
vous que j'étais Capucin? C'est une dignité que j
s de mes baptimens renversés. Il n'y a que vous mon cher Voltaire qui
sachiez
tirer party de tout, pour qui tous les lieux, tou
tête du Ninias? Je vous demande pardon de mon impertinence, mais vous
savez
de qui Je tiens le Jourhttp://www.e-enlightenment
s aux Arabes, de qui nous tenons nôtre médecine et nos almanacs. Vous
savez
peutêtre que pendant plus de cinq cent ans nos So
s que j'ai eu le bonheur de passer quinze jours avec Mr Turgot. Je ne
sais
pas ce qu'on lui permettra de faire; mais je sais
ec Mr Turgot. Je ne sais pas ce qu'on lui permettra de faire; mais je
sais
que je fais plus de cas de son esprit que de celu
quand j'ay quelque dispute avec eux sur les droits des frontières. Je
sais
que la reine dit toujours que je suis un impie; l
es Anglais, des Russes, tous s'accordent à se moquer de nous. Vous ne
savez
pas madame ce que c'est que d'être français en pa
ins la consolation de voir que tous les fabricateurs de sistèmes n'en
savent
pas plus que moi, mais ils font tous les importan
lques sottises de ce monde, lequel m'est tombé entre les mains. Je ne
sais
s'il vous amusera beaucoup; celà ne regarde que J
ront vous ennuier, et d'autres où l'on ne dit que des choses que vous
savez
, et que vous dites beaucoup mieux. J'y joins un a
nt un peu sur mes traces, je vous prie de ne pas battre ma livrée. Je
sais
toute l'histoire de la petite vérole de made la D
ai un objet, madame, quand on me donne un Thème, comme par éxemple de
savoir
si l'âme des puces est immortelle, si le mouvemen
ous n'êtes pas arithméticienne, et que vous ne vous souciez guères de
savoir
si la France est riche ou pauvre. La princesse pa
peux en être fâché pour eux qui ne valent pas grand chose; mais je ne
saurais
en être fâché pour moi qui ne rougis point d’un s
entraîne à Cirey avec mr du Chastellet. De là je reviens à Paris sans
savoir
ce que je deviendray, et espérant bientôt la rejo
ulières encore. Je plains la première femme de Mr De Bombelles. Je ne
sais
si je ne dois pas plaindre autant la seconde. En
eine, ou du moins qu'elles n'ont point fait d'impression sur elle. Je
sais
qu'elle compte parmi ses vertus celle de ne point
mpoisonée par la calomnie qui sans doute n'aproche pas de sa cour. Je
sais
que ces considérations ne doivent point entrer da
que chose de bien satisfaisant à mettre à la place. C'est assez qu'on
sache
certainement ce qui n'est pas. On n'est pas oblig
sez qu'on sache certainement ce qui n'est pas. On n'est pas obligé de
savoir
ce qui est. Je suis grand démolisseur, et je ne b
ons passagères qui entrent dans nôtre cervelle et qui en sortent sans
savoir
ni pourquoi ni comment, la manière dont on digère
; pensez fortement et uniformément, et conservez moi vos bontés. Vous
savez
combien elles me sont chères. V.
penser, à quel point je regrete d'être loin de vous. Je voudrais bien
savoir
s'il y a quelques particularités intéressantes da
aurait été ailleurs que chez lui. Voilà de ces choses que vous pouvez
savoir
, et que vous pouvez me dire. Cette petite Venus e
e suis beaucoup plus affligé que de ma goute et de ma fièvre. Vous ne
savez
pas combien le vieil hermite vous regrete.
le malheur à Paris d'être un homme public dans le sens où je l'étais,
savez
vous ce qu'il faut faire? S'enfuir. J'ay choisi h
e tout ce qu'on veut. La gêne de l'âme m'a toujours paru un supplice.
Savez
vous que vous étiez des esclaves à Sceaux et à An
s donc, Madame, dans vos yeux que la perte de leur beauté, et je vous
savais
même assez philosophe pour vous en consoler. Mais
en souffre dix. Si quelque apoticaire avait une fille bien faite, qui
sût
donner proprement et agréablement des lavements,
6e 7bre 1769 Je viens de faire ce que vous voulez, Madame, vous
savez
que je me fais toujours lire pendant mon diner. O
eux solitaire qui vous sera tendrement attaché tant qu'il vivra. Vous
savez
que vôtre grand maman m'a envoié un soulier d'un
le Mal De Richelieu que vous voiez peut être quelquefois. Durest, je
sais
beaucoup plus de nouvelles du nord que de Paris.
enlightenment.com/item/voltfrVF1220332_1key001cor/nts/008. Mais je ne
sais
plus ni ce que vous faittes, ni ce que vous pense
. Melle Corneille d'ailleurs joue très joliment les soubrettes. Si je
savais
de plus grandes nouvelles madame je vous en dirai
chez seroit trop avantageux pour moi, Je vous donneroit des boules de
savons
en Echange de votre or en barre. Pour aujourd'huy
apsodie. Les derniers chapitres sont d'un sot et d'un ignorant qui ne
sait
ni le français, ni l'histoire. Mon dernier chapit
qui ne se trouve pas entre les ministres. Voilà, Madame, tout ce que
sait
un vieux solitaire qui voit avec horreur les jour
é très mal, Madame, depuis près d'un mois; je le suis encor, et je ne
sais
trop comment je suis en vie. Je crois qu'il est a
vous écris pour vous dire que votre petite mère, ou grand'mère (je ne
sais
comment vous l'appellez) a écrit à son protégé Du
me contre lui tous les six mois. Pour lui, il mourra quand il voudra.
Saviez
vous qu'il a outragé le président Hénaut autant q
oujours été la bonté dont vous m’avez honoré dans tous les tems. Vous
savez
si je vous suis attaché, et si je ne compterai pa
n me moquant de la médecine. Cela même amusa fort le conseil. Vous ne
savez
pas sans doute qu'un soi disant cy devant Jesuite
ublé le Duc de Parme; mais enfin j'y suis menacé de mort subite. Vous
savez
que je n'ai pas deux cent mille hommes à mon serv
st-ce un excellent banquier qui a remporté le prix. J'avoue que je ne
saurais
souffrir qu'un homme qui porte un habit de drap d
moi de dire qu'il m'a trouvé de la santé. Je n'en ai jamais eu. Je ne
sais
ce que c'est que par ouï dire. Je n'ai pas passé
de très vrai dans ce que vôtre grand maman doit vous donner. Reste à
savoir
si ces vérités là vous attacheront un peu. Elles
ayez besoin de prendre votre temps avec moi pour réussir, vous devez
savoir
que ce temps dure depuis quelque temps, il y a un
i crèche ni Jesu ni Marie, quoi que tout cela soit essentiel. On doit
savoir
qu'en chansons, hors de l'église point de salut.
ngtemps, chez Madame de Bareith, mais ce n’était qu’en passant; je ne
savais
pas combien il était aimable. Il m’a semblé que M
à vos pieds cette sottise. Il y a pourtant dans cette pauvreté je ne
sais
quoi de philosophique et d’assez vrai, mais ce n’
s avec une espèce de plaisir. Je prétends leur aprendre à vivre. Vous
savez
sans doute que quand l'Evêque Dupui ennuiait son
la moindre attention à ce qui peut faire le bonheur des provinces. Je
sais
qu’on ne s’occupe que de souper et de dire son av
29e Mars 1773, à Ferney
Savez
vous bien, Madame, pourquoi j’ai été si longtemps
s Ecrire, mais si par hazard vous l'avez remarqué il faut que vous en
sachiez
la cause. Premièrement le président a été malade
très dangereux. Il ne m'a pas paru tout à fait si méchant, mais vous
savez
que j'ai beaucoup d'indulgence. Je n'ai pas moins
soiez plus amusable, et que je ne sois point du tout amusant. Vous en
savez
trop pour que je vous donne du plaisir. Voiez si
t qu’ils ne voulaient pas qu’on leur écrivit, et que d’ailleurs je ne
sais
comment m’y prendre. Mais vous avez des moiens, e
aquelle Catherine de Médicis donna un beau bal à toute la cour. Je ne
sais
ce que c'est que la brochure de soixante et trois
ers; mais ce n'est pas assez de les faire bons, il leur faut un je ne
sais
quoi qui force à les retenir par cœur, ou à les r
e le prendrai volontier pour mon confident, mais je ne veux pas qu'il
sache
à quel point je suis éloigné de mériter tout le b
on tempéramment m'approchent du terme, plus j'ai cru de mon devoir de
savoir
si tant de gens célêbres depuis Jerome et Augusti
à Colmar 19 may 1754
Savez
vous le latin madame? Non. Voilà pourquoy vous me
on fils parce que son fils ne m'écrirait pas sur la mort de mon père.
Savez
vous madame qu'il m'en coûte infiniment d'écrire?
me l'imputer, je le déclare un coquin, et je suis bien aise qu'il le
sache
.http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF11903
ont la réputation ne vous est pas inconnüe, c'est Mr. Robertson; vous
savez
qu'il a fait l'histoire d'Ecossehttp://www.e-enli
oylà donc les grands motifs sur lesquels roule le commerce de la vie!
Savez
vous bien vous autres, ce qu'il y a de plus diffi
u du moins d'être le moins malheureux qu'on peut dans ce monde. Je ne
saurais
souffrir que vous me disiez que plus on pense plu
tuation où je suis je ne dois donner aucune prise â la calomnie, vous
savez
qu'elle saisit les choses les plus innocentes pou
25e avril 1770 Vous voulez être Taupe, Madame,
savez
vous bien qu'il y a un proverbe Latin qui dit que
si dans cet état j'ai eu des choses bien amusantes à vous dire; je ne
savais
aucune nouvelle ni de l'opéra comique, ni de l'as
ôtre; mais il faut deux yeux, ou du moins un pour jouïr de la vie. Je
sais
ce qui en est avec mes fluxions horribles qui me
en ma vie, mais après tout il y a de plus grands malheurs, et je n'en
sais
point de pires que la perte des yeux et de l'esto
a douane de l’entendement humain ne pourait y trouver à redire. Je ne
sais
si nous ne devons pas cette rigueur qu’on exerce
de vieilles maximes rebrochées et rebrodées avec du clinquant nouvau,
savez
vous bien madame ce que nous faisons? Nous ne le
eux qui les font imprimer, et qui violent ainsi le droit des gens. Je
savais
vôtre histoire du lion, elle est fort singulière,
ait. Il vaudrait mieux n'être pas né, dites vous; d'accord, mais vous
savez
si la chose a dépendu de nous. Mais nonseulement
x Racine. Faites vous relire les pièces de ce dernier, si vous ne les
savez
pas par cœur, et vous verrez si après avoir enten
ma vieillesse loin de vous. Mille tendres respects. V. Faittes moi
savoir
je vous prie, comment vont l'âme et le corps de v
née à quitter la plus agréable situation où une femme pût être. Je ne
savais
pas, Madame, que vous fussiez en liaisonhttp://ww
ay d'en Juger, pourvû que vous vous la fassiez lire par quelqu'un qui
sache
lire des vers, c'est un talent aussy rare que cel
e Florian, J'entreray dans les plus grands détails avec elle, je veux
savoir
tout ce que vous faites, c'est être en quelque so
, à Ferney Jamais je n'ai eu plus de Thème pour vous écrire, Madame.
Savez
vous ce que fut le polisson de Vadé, auteur de qu
ar puis qu'il a traduit le tout est bien, de Pope en vers, il doit en
savoir
plus que le Silhouette qui ne l'a traduit qu'en p
VF1060459b_1key001cor/nts/001 à qui cet honneur ait été réservé. Mais
sachez
qu'Ezéchiel fut plus considéré de son temps, qu'A
l'on soit instruit plutôt de tout ce qui se passe dans L'Europe. Nous
savons
toujours les avantures d'Allemagne quatre jours a
amusements sont encor assez rares. Si vous étiez assez heureuse pour
savoir
L'Italien, vous seriez sûre d'un bon mois de plai
▲