ache des larmes. On dit que la Tragédie doit exciter la crainte et la
pitié
. C'est là l'impression que fait un certain monde;
l'impression que fait un certain monde; il fait lever les épaules de
pitié
, et il inspire la crainte des sots et des méchant
Lisle va à son régiment et je n'aurai plus de nouvelles. Il avait une
pitié
charmante pour ma curiosité; il me donnait des th
lus de grâces, plus de guaité. La disette d'hommes en tout genre fait
pitié
. La France subsistera mais sa gloire, son bonheur
s tout ce papier bleu quoique très estimable N'est plus regardé qu'en
pitié
. Mon cœur en a senti la cause véritable, On n'y p
rage; qu'il pressât le dialogue, qu'il y jettât plus de terreur et de
pitié
, et même qu'il se donnât le plaisir de le faire e
aut les séparer. Enfin, mon cher contemporain, ayez soin de moi, ayez
pitié
de moi, soyez persuadé que rien n'altère le culte
son avant une bataille, et qui disait, Mon Dieu, s'il y en a un, aiez
pitié
de mon âme si j'en ai une. Vous me paraissez fort
camarades qui ne regrettent que leur nourisses. Enfin monsieur, ayez
pitié
de moi et ne, me laissez pas périr d'Ennuy.
se sont enfuis; car quoi que je sois capucin je ne laisse pas d'avoir
pitié
des huguenots. Mais mon Dieu, Madame, saviez vous
ux autres. Tâchez madame d'être payée de vos mérites et de prendre en
pitié
touttes les misères dont vous êtes témoin. Acoutu
gens qui m'envient ma retraitte au milieu des rochers, qui n'auraient
pitié
ni de ma vieillesse, ni des maux qui l'accablent,
es hommes vivent comme des fous, et meurent comme des sots; celà fait
pitié
. Ne lisez vous pas quelquefois l'histoire? Ne voi
ile que la préface et l'Epitre Dédicatoire. Monsieur de Voltaire ayez
pitié
de moy, tous les vivans m'ennuyent, indiqué moy q
que vous nous donnez quelquefois. Réellement, mon cher Voltaire, ayez
pitié
de moi et transmettez moi quelques Etincelles de
1120011_1key001cor/nts/003; mais en vérité il y a bien rarement de la
pitié
et de la terreur qui sont l'âme de la vraie Tragé
ans des notes sur Tibère? Qu'avons nous à démêler avec Tibère? Quelle
pitié
! et pourquoi votre petite mère n'avoue t-elle pas
et je ne sais quels calculs impossibles. C'est un galimatias qui fait
pitié
. J'aime mieux lire un conte de Lafontaine (quoiqu
▲