autant que la fortune me favorise. Si l'état de ma santé, madame, me
permet
jamais de revoir la France, un de mes baux jours
t ce que la plus profonde estime m'inspirerait pour vous et pour luy.
Permettez
qu'en philosofe je finisse sans complimens ordina
us accompagner, Madame, dans vôtre voiage, mais mon triste état ne me
permet
pas de me remuer, et d’ailleurs je n’ai pas le bo
drait un homme du monde qui voulût s'en donner la peine; mais on n'en
permettra
jamais le débit en France. Si j'étais à Paris je
es de ces Lettres, aiant l'anglais sous mes yeux. Mais mon état ne me
permet
point Paris: et d'ailleurs, j'ai eu l'insolence d
Je suis malade, portez vous bien, soyez aussi guaie que votre état le
permet
et ne boudez plus votre ancien ami qui vous est t
n, c'est qu'il ne vous a point nommé, et vos dernières productions ne
permettent
à personne de vous en faire L'application. Je ne
pour lui, mais que la circonspection que notre position Exige ne nous
permet
pas d'être en commerce avec un homme aussi célèbr
s le pourez. Jouïssez de tous les plaisirs que vôtre triste état vous
permet
. Le mot de plaisirs est bien fort; j'aurais dû di
aix entre la Blétrie et moi. Je demande pour premier article qu'il me
permette
de vivre encor deux ans, attendu que je n'en ai q
faut-il que le corps en souffre? est-ce à vous de décrier vos sujets?
Permettez
moi de vous faire cette remontrance en qualité de
le crois; soyez donc tranquile; bannissez toute inquiétude; ils ne se
permettent
aucune correspondance, mais Je m’entremettray tou
ez Conpter; je dois cependant vous dire ce que je pense; jamais on ne
permettra
la représentation de cette pièce, avant que les c
usique est faite pour plaire aux ignorants comme aux sçavants, il est
permis
à chacun d'avoir son goût, mais je crois cependan
ture qui m'a trop bien traitté en me laissant voir le soleil et en me
permettant
de lire http://www.e-enlightenment.com/item/voltf
tout transport de bois à bâtir, mais encor celui de chaufage. Il fut
permis
il y a trente ans de porter le bois de chaufage à
F1260035b_1key001cor/nts/002. Mais en la louant comme elle le mérite,
permettez
moi de vous dire qu'il ne faut pas mépriser absol
t être bien téméraire pour oser vous dire si librement son avis, mais
permettez
moi de n'en pas rester là, et souffrez que je vou
Guillemet; la modestie, ou plutôt l'humilité de la grand'maman ne lui
permet
pas de les montrer à beaucoup de monde, mais le p
x, tendre, compatissant au 1er acte, qu'auroit on à faire au dernier?
Permettez
moy de vous parler plus positivement sur Pope. Vo
ay, Je vous admireray toujours, mais Je m'interdiray de vous le dire.
Permettez
moi de finir par un conseil. Lisez la fable du Ra
amais de l'estimer de tout mon esprit et de l'aimer de tout mon cœur.
Permettez
moi les mêmes sentiments pour vous, qui ne finiro
ent attaché, et que je le serai tant que mes petites apopléxies me le
permettront
; je vous regarderai comme la personne de mon sièc
r, mais je ne puis souffrir qu'elle traitte César comme un marmouset.
Permettez
moi de croire que l'amour n'est pas la seule pass
lle ne l'a vu que dans un temps où ni son âge, ni sa situation ne lui
permettaient
de le connaître. J'ai fait un éffort pour me sépa
qu'on soit fripon pour devenir pape ou Roi. Je conçois même qu'on se
permette
quelques petites perfidies pour devenir la maître
iculté la première à la personne à qui vous accordez la seconde; mais
permettez
moi d'en demander une dans vôtre cœur, car je vou
un devoir que j'ai rempli tous les ans quand ma mauvaise santé me l'a
permis
. Je suis dans un âge où aucune passion et aucun p
e l'affaire l'a approuvé, m'a donné à plusieurs juges. S'il n'est pas
permis
de soutenir le droit le plus évident, où fuir? Je
Formont, je ne vous dis que la vérité. L’état même de ma santé ne me
permettrait
pas de vous voir ce qu’on appelle en visite. La v
our qui j'ai le plus tendre respect, et l'amitié la plus inaltérable.
Permettez
que je fasse mille compliments à Monsieur de Form
semblant, mais je suis bien aise d'avoir cette lettre; il n'est plus
permis
actuellement d'insinuer le moindre soupçon sur vo
mant dans tous les genres, pourquoy abandonnez vous celui des fables?
Permettez
que je vous donne un sujet. Il y avoit un lion à
ur de passer quinze jours avec Mr Turgot. Je ne sais pas ce qu'on lui
permettra
de faire; mais je sais que je fais plus de cas de
nnable qu'à moi dans mon enceinte des Alpes et du mont Jura. Il m'est
permis
d'y faire construire un petit théâtre, d'y joüer
s ces païs autrefois si barbares. Peut être y ai-je un peu contribué.
Permettez
moi d'avoir quelque condescendance pour un Empire
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