dans ce monde. Je ne saurais souffrir que vous me disiez que plus on
pense
plus on est malheureux. Celà est vrai pour les ge
plus on pense plus on est malheureux. Celà est vrai pour les gens qui
pensent
mal, je ne dis pas pour ceux qui pensent mal de l
à est vrai pour les gens qui pensent mal, je ne dis pas pour ceux qui
pensent
mal de leur prochain, celà est quelquefois très a
eur prochain, celà est quelquefois très amusant, je dis pour ceux qui
pensent
tout de travers. Ceux-là sont à plaindre sans dou
amusez vous quelquefois à dicter vos idées pour comparer ce que vous
pensiez
la veille à ce que vous pensez aujourd'hui; vous
r vos idées pour comparer ce que vous pensiez la veille à ce que vous
pensez
aujourd'hui; vous aurez deux très grands plaisirs
relisez Corneille Madame, mandez moi, je vous prie, tout ce que vous
pensez
de mes pensées, et je vous dirai ensuitte mon sec
e lettre. Ce sont bien des gens comme Eux qui s'embarassent de ce que
pensent
et disent des gens comme moi. Si j'entrois en Jus
par Esprit de domination, se croyant les premiers hommes du monde de
penser
ce que pensent tous les gens qui pensent, orgueil
domination, se croyant les premiers hommes du monde de penser ce que
pensent
tous les gens qui pensent, orgueilleux, haineux,
s premiers hommes du monde de penser ce que pensent tous les gens qui
pensent
, orgueilleux, haineux, vindicatifs; ils feroient
possible que votre rancune contre la Bletrie (qui sans doûte n'avoit
pensé
à vous) ne cède pas au désir de plaire et d'oblig
ique; il vous a répondu ainsy je n'ay point à vous apprendre ce qu'il
pense
; mais je vous dirai ce que pense le public. Perso
n'ay point à vous apprendre ce qu'il pense; mais je vous dirai ce que
pense
le public. Personne ne croit que Mr. de Bellestat
du piquant; cette brochure n'a pas fait Grande fortune icy, et chacun
pense
qu'elle ne mérite pas qu'on la réfute et qu'on y
à lire ce que vous Ecrirez; laissez, laissez au Président sa façon de
penser
. Si elle l'occupe, si elle le console, n'est il p
tête le soit. Notre âme immortelle a besoin de la garderobe pour bien
penser
. C'est dommage que Lamétrie ait fait un assez mau
e suis fort dévot je suis très tranquile. Je suis très fâché que vous
pensiez
que les Guebres pouraient éxciter des clameurs. J
ouraient éxciter des clameurs. Je vous demande instamment de ne point
penser
ainsi. Efforcez vous, je vous en prie, d'être de
ficier qui est aussi aimable qu'utile. Adieu, Madame; vivez, digérez,
pensez
; je vous aime de tout mon cœur. Dites à vôtre ami
que vous ne connoissez pas et qu'il est important de connoitre; vous
pensez
donc qu'il ne sufit pas de sçavoir ce qui n'est p
ir ce qui n'est pas, puisque vous cherchez à sçavoir ce qui est. Vous
pensez
apparament que cela est possible. Pensez donc que
z à sçavoir ce qui est. Vous pensez apparament que cela est possible.
Pensez
donc que cela soit nécessaire? Voilà ce que Je vo
s que je n’aille mourir en Suisse. Songez que je ne dis que ce que je
pense
, et qu’il y a soixante ans que je fais ce métier.
e il y a près de vingt ans. Je ne devrais pas y être, parce que je ne
pense
pas à la française; mais quand je serais Russe, c
dernier moment avec des sentiments aussi inaltérables que ma façon de
penser
.
passent continuellement par nos cantons, et j’ai conclu que l’Europe
pensait
comme moi. Au reste je n’écris à personne, et je
u assurément de me louer de messieurs, mais apres avoir dit ce que je
pensais
d’eux depuis vingt ans, j’ai gardé un profond sil
e fantaisie que les longues soirées de l'hiver m'avaient inspirée. Je
pense
différemment à l'équinoxe; l'esprit soufle où il
expérience continue. Sentiments, passions, goûts, talents, manière de
penser
, de parler, de marcher, tout nous vient je ne sça
es qui sont distraits par les objets. Vous devriez dicter ce que vous
pensez
quand vous êtes seule, et me l'envoier. Je suis p
vous n'aurez rien à faire; quel plus bel emploi de vôtre temps que de
penser
? Vous ne pouvez ni jouer, ni courir, ni avoir com
érité il ne me paroit pas de la dernière importance que tout le monde
pense
de même; il seroit fort avantageux que tout ceux
laisser ce don du ciel à qui il l'a accordé. Voilà en gros ce que Je
pense
; si Je causois avec vous Je me flate que vous ne
gros ce que Je pense; si Je causois avec vous Je me flate que vous ne
penseriez
pas que je préférasse les charlatans aux bons méd
, il vous aime, nous sommes parfaitement d'accord dans cette façon de
penser
et de sentir, nous voudrions bien souvent vous av
égoûtantes et si ridicules, qu'il est fort difficile de savoir ce que
pensent
les mourants; ils passent tous par les mêmes céré
t l'autre funestes. On vivait du temps des Scipions et des Césars, on
pensait
, et on mourait comme on voulait; mais pour nous a
1760] L'éloquent Ciceron, Madame, sans lequel aucun Français ne peut
penser
, commence toujours ses Lettres par ces mots, si v
el qu'il soit, est toujours assés passable quand il donne occasion de
penser
. Puisque vous avez, Madame, les poësies de ce roy
je me rends à moi même par ordre alphabétique, de tout ce que je dois
penser
sur ce monde cy et sur l'autre, le tout, pour mon
ictionnaire d'idées ne vous déplairaient pas; car je m'imagine que je
pense
comme vous sur tous les points que j'éxamine; si
r lui, Je me suis trouvé avec lui tant de conformité dans la façon de
penser
, de sentir et de Juger que cela a tenû lieu de l'
voudrois sçavoir si l'on oseroit m'accuser d'Engoument sur ce que Je
pense
de vous. Oh, oui, il y a des gens assés absurde p
tonnante facilité de rendre avec clarté et précision tout ce que vous
pensez
qui doit vous rendre parfaitement heureux; employ
rsque deux personnes qui ont le sens commun et qui sont de bonne foi,
pensent
de même sans s'être rien communiqué, il y a à par
ille; ce n'est pas la tranquillité stupide d'un esprit qui n'a jamais
pensé
, c'est le repos philosophique d'une âme éclairée.
vec vous. J'ai lu la réponse du roi au parlement. Je m'imagine que je
pense
encore comme vous sur cette pièce; elle m'a paru
enchainée dans un païs qu'elle doit détester, vu la manière dont elle
pense
. Je vous vois réduite à la dissipation de la soci
heureuse vie serait d'avoir auprès de soi, et sous sa main un ami qui
pensât
comme nous, et qui parlât à nôtre cœur et à nôtre
ime à voir des Racines qui ont des Pradons pour ennemis. Celà me fait
penser
à la queue du siècle de Louïs XIV que j'ai eu l'h
, je vous dis très naïvement, que j'aime passionnément vôtre façon de
penser
, de sentir, et de vous exprimer, et que je me tie
s Jamais Ecrit si Je n'ambitionnoit de plaire au peu de personnes qui
pensent
comme vous. Je suis avec bien du respect madame v
a famille pour donner des frères à ses enfants. La partie par où l'on
pense
ne s'est point affaiblie en elle. Elle marche, el
s besoin de ce qui se passe au pied des alpes. Vivez madame, digérez,
pensez
, et même riez de touttes les sottises de ce monde
oses plus sérieuses, attendu nôtre état, nôtre âge, et nôtre façon de
penser
. Je ne connais que Judas dont on ai dit qu'il eût
faut avoir fait ses dispositions de bonne heure, et ensuitte n'y plus
penser
du tout. On dit quelquefois d'un homme, il est mo
u'on est entouré alors d'hipocrites qui vous obsèdent pour vous faire
penser
comme ils ne pensent point, ou d'imbéciles qui ve
rs d'hipocrites qui vous obsèdent pour vous faire penser comme ils ne
pensent
point, ou d'imbéciles qui veulent que vous soiez
z personne; vous avez de l'esprit malgré vous; vous dites ce que vous
pensez
avec sincérité. Vous haïssez trop les philosophes
onformer à l'usage, car nous ne sommes peut-être que des machines qui
pensons
avec la tête comme nous marchons avec les pieds.
les pieds. Nous ne marchons point quand nous avons la goûte, nous ne
pensons
point quand la moelle du cerveau est malade. Vous
Je n'ay vu encor ny l'une ny l'autre. Je les condamne touttes, et je
pense
que comme il ne faut point écrire tout ce qu'ont
ay peur d'avoir la main lourde. Ce siècle était beau, il a enseigné à
penser
et à parler à celuy cy. Mais gare que les discipl
ui je crois vous avoir dit des choses assez tendres, parce que je les
pense
, m'aurait il tout à fait oublié! Il ne faut pas q
ont pas besoin, et peut on se souçier d'Eclairer les sots: que chacun
pense
et vive à sa guise, et laissons chacun voir par s
u'on respectât assés pour n'en jamais parler, et même pour n'i Jamais
penser
. http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF113
ttre, et comme il verra ma réponse, je n'ose vous dire tout ce que Je
pense
de lui; Jugez en par les preuves que J'ay de la p
sont semblables aux vôtres, et tous les honnêtes gens ne peuvent que
penser
de même. Rien n'est si inique ni si horrible que
des sentimens qui devroient produire notre union, notre même façon de
penser
pour vous.
ar 3 mars [1754] Vôtre lettre, madame, m'a attendri plus que vous ne
pensez
; et je vous assure que mes yeux ont été un peu hu
us étiez entre chien et loup, et non pas tout à fait dans la nuit. Je
pensais
que vous étiez à peu près dans l'état de madame d
duite génante qui tenait de l'hippocrisie, enfin d'avoir des amis qui
pensent
et qui parlent librement avec vous. Je ne regrett
l il n'i a plus rien à ajoutés. Je suis toujours surprise qu'on ose y
penser
. Sçavez vous que je vous trouve encore bien jeune
ges seroit surtout ce qui me plairoit infiniment, parceque je sens et
pense
tout comme vous. Il y a quelques années que j'eux
is que je suis bien impertinente de vous entretenir de tout ce que je
pense
, ce seroit le moyen de vous dégoûter bien viste d
rocurer la tragédie des Guêbres, ouvrage d'un jeune homme, qui parait
penser
bien fortement, et qui me fera bientôt oublier? P
entôt oublier? Pour moi, Madame, je ne vous oublierai que quand je ne
penserai
plus, et lorsqu'il m'arrivera quelque ballot de p
de mon nom et de mon visage, pour ériger un monument à la liberté de
penser
. Cette idée dans laquelle il y a du plaisant, peu
m/item/voltfrVF1200326_1key001cor/nts/001 m'assure même que vous avez
pensé
comme moi, et que vous l'avez dit à une de vos am
geance de se mettre à la torture pour en chercher de nouvelles. Je ne
pense
pas absolument comme vous sur les portraits et an
et anecdotes, mais à l'explication il se trouveroit peutêtre que nous
pensons
de même; les portraits imaginés et les anecdottes
Je fais, Je voudrois que vous le fussiez aussy bien de tout ce que Je
pense
, vous n'y trouveriez rien à redire, et vous convi
erre. Il disait que la nature a tellement arrangé les choses que nous
pensons
par la tête comme nous marchons par les pieds. Il
/nts/008. Mais je ne sais plus ni ce que vous faittes, ni ce que vous
pensez
. Pour moi je pense à vous, Madame, plus que vous
sais plus ni ce que vous faittes, ni ce que vous pensez. Pour moi je
pense
à vous, Madame, plus que vous ne croiez, et je vo
'aime la hardiesse anglaise! que j'aime les gens qui disent ce qu'ils
pensent
! C'est ne vivrehttp://www.e-enlightenment.com/ite
.com/item/voltfrVF1040397b_1key001cor/txt/002 qu'à demi que de n'oser
penser
qu'à demi. Avez vous jamais lu, Madame, la faible
on songe que les trois quarts du sénat Romain, à commencer par César,
pensaient
comme Lucrèce, il faut avoüer que nous sommes de
r/nts/015, à commencer par Joly de Fleuri. Vous me demandez ce que je
pense
, Madame; je pense que nous sommes bien méprisable
ncer par Joly de Fleuri. Vous me demandez ce que je pense, Madame; je
pense
que nous sommes bien méprisables, et qu'il n'y a
bre d'hommes répandus sur la terre qui osent avoir le sens commun; je
pense
que vous êtes de ce petit nombre; mais à quoi cel
un état mitoien entre vous et lui, c'est précisément ma situation. Je
pense
avec vous, Madame, que quand on veut être aveugle
e monde est plein de gens d'esprit qui ne sçavent comment ils doivent
penser
. Adieu, Madame, songez, je vous prie, que vous me
e vérités. Que voulez vous que je vous réponde? Je m’imagine que vous
pensez
comme moi, et j’ai la vanité de croire penser com
? Je m’imagine que vous pensez comme moi, et j’ai la vanité de croire
penser
comme vous. On dit que c’est le meilleur ouvrage
n délibéra beaucoup à le nommer, cependant on nomma celui que j'avois
pensé
et que je pense que vous penserez aussy. Je vous
oup à le nommer, cependant on nomma celui que j'avois pensé et que je
pense
que vous penserez aussy. Je vous le dirois mais j
, cependant on nomma celui que j'avois pensé et que je pense que vous
penserez
aussy. Je vous le dirois mais je ne l'Ecriray pas
omme je ne veux point vous tromper, je ne vous diray point ce qu'elle
pense
de St Augustin et de Calvin, mais j'ay peine à cr
sentir dans l'histoire; cela peut rendre les faits suspects et faire
penser
que l'historien les ajuste à ses sistèmes. Conven
s qui ne l'est pas aujourd[’hui? Ce] siècle s'est un peu formé; on ne
pense
plus comm[e] au douzième siècle, ou plutôt comme
é; on ne pense plus comm[e] au douzième siècle, ou plutôt comme on ne
pensait
pas. Aureste, vous croiez bien que je ne paraîtra
Besigni pour le président de Nassigni. Il dit que le Roi a donné des
pensions
à tous les juges de Damiens; et il est public qu'
item/voltfrVF1190250_1key001cor/nts/005 sur la raison des animaux. Je
pense
comme l'auteur. Les essaims de mes abeilles se la
à l’académie, l’Eloge de Colbert? Je voudrois sçavoir ce que vous en
pensé
; j’aime à soumettre mon jugement au Vôtre. J’ay é
la manière dont on digère décide prèsque toujours de nôtre manière de
penser
, témoin Jean qui pleure et qui rit http://www.e-e
Madame; fesons tous deux comme nous pourons. Vogue la pauvre galère;
pensez
fortement et uniformément, et conservez moi vos b
l sache à quel point je suis éloigné de mériter tout le bien que vous
pensez
de moi. Made la Duchesse D'Anville veut bien avoi
ma retraitte, et je ne crois pas en avoir vu une demi douzaine qui ne
pensent
comme mon abbé Bazin. La consolation de la vie es
t comme mon abbé Bazin. La consolation de la vie est de dire ce qu'on
pense
. Je vous le dis une bonne fois. http://www.e-enl
répondû à sa franchise; il y a long tems que je connoit tout ce qu'il
pense
pour vous, et c'est une conformité que nous avons
que je vous dis combien je vous aime, combien j'estime vôtre façon de
penser
, à quel point je regrete d'être loin de vous. Je
210221a_1key001cor/nts/003 traduite de L’arabe que je vous envoie. Je
pense
que vôtre grand maman l’a reçue. Je vous conjure
us ne me parlez point avec confiance. Je voudrois sçavoir ce que vous
pensez
de la pièce du Conétable. Je sçay qu'on vous l'a
ie dans le palais d'Alcine. Je peux vous assurer que si tout le monde
pensait
à Paris comme vous, j'aurais eu bien de la peine
uis figurez vous combien il est plaisant d'être libre chez un Roy, de
penser
, d'écrire, de dire tout ce qu'on veut. La gêne de
blable aux commentateurs de votre temple du goût, qui disent ce qu'on
pensa
mais qui ne pensent pointhttp://www.e-enlightenme
ateurs de votre temple du goût, qui disent ce qu'on pensa mais qui ne
pensent
pointhttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF
s auriez grand tort de vous plaindre de votre Existence; vous sentez,
pensez
, produisez sans cesse. Mais moi que voulez vous q
z d'un Excès de vanité; mais vous ne dites rien que Je ne crois avoir
pensé
. Vous êtes mon seul philosophe. Tout ceux qui rai
ai point eu l'honneur de vous écrire, c'est que ma retraitte m'a fait
penser
qu'un homme qui avait renoncé à Paris ne devait p
je suis devenu hardi avec l'âge; je ne peux plus écrire que ce que je
pense
, et je pense si librement qu'il n'y a guères d'ap
u hardi avec l'âge; je ne peux plus écrire que ce que je pense, et je
pense
si librement qu'il n'y a guères d'aparence d'envo
, parmy ceux qui font le plus d'honneur à notre siècle. La liberté de
penser
est la vie de l'âme, et il paraît qu'il n'y a pas
grand et aimable enfant madame. Comment n'avez vous pas senti que je
pense
comme vous? Mais songez que je suis d'un parti, e
ettres que de prières. Comment vous portez vous? que faites vous? que
pensez
vous? Il a courû ici le bruit que vous vouliez al
nds surtout par ce mot philosophe pratique, car ce n'est pas assez de
penser
avec justesse, de s'exprimer avec agrément, de fo
triste état où nous sommes. Vous me laissez deviner tout ce que vous
pensez
; mais pardonnez moi aussi mes idées. Trouvez bon
e j'aime passionément vôtre esprit, vôtre imagination, vôtre façon de
penser
; vous aurez la moitié de Pierre incessamment; il
Adieu encor une fois, madame, je vous aime beaucoup plus que vous ne
pensez
.
e vous traitez dans votre dernière, mon instinct m'a toujours menée à
penser
tout ce que vous dites. Si nous nous trompons, ce
eux, le moins de mal qui m'est possible, laisser à chacun sa façon de
penser
, ne troubler le bonheur ni la paix de personne. E
aime comme mon âme, car je me suis toujours aperçu qu’au fond mon âme
pensait
comme la vôtre.
ux un saisissement, qui sont des preuves bien sûres de tout ce que Je
pense
pour vous; Je fus dans le moment aussy touchée, a
rien à me dire, ce n'est que par le public que J'apprends ce que vous
pensez
, ce que vous dites, ce que vous faites, vous ne m
roit point eu la petite Vérole. Porté vous bien mon cher Voltaire, ne
pensé
point à vôtre âge, persuadé vous n'avoir que celu
'il est, vous y pouvez Conpter; je dois cependant vous dire ce que je
pense
; jamais on ne permettra la représentation de cett
erez bien impertinente? Mais d’où vient voulez vous sçavoir ce que Je
pense
? J’ay fait voeux de dire toujours la vérité. Je n
asser, de causer avec vous et de vous trouver d’accord avec ce que Je
pense
sur le mauvais goût, le mauvais ton qui règne dan
amilier, Mais c'est celui de l'innocence, Un quaker dit tout ce qu'il
pense
; Il faut, s'il vous plaît, essuyer Sa naïve &
laisser échaper un mot qui peut être mal interprêté; on ne peut plus
penser
par la postehttp://www.e-enlightenment.com/item/v
ra tolérable. Je crois, toutte réflexion faitte, qu'il ne faut jamais
penser
à la mort. Cette pensée n'est bonne qu'à empoison
e la vie que vous meniez, de la façon dont j'étois avec vous, si vous
pensiez
à me donner votre statue ou votre buste. J'ay été
ivoit malheurs, et ce pourrait bien en être un plus grand que l'on ne
pense
.http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF11102
feu. Je ne peux vous rien dire de plus que ce que je vous ai dit. Je
pense
sur le présent et sur l'avenir comme j'ai parlé d
breuse; contentéz vous d'Etre magnifique et dédaignez le faste. Quoi?
pensez
vous sérieusement que ma voix puisse se faire ent
ndant ce sont de nouveaux sujets de plainte à vous faire. Que dois-je
penser
de vos protestations d’amitié quand vous vous en
, j’ai très tort; mais je n’ai pas pourtant si grand tort que vous le
pensez
, car en premier lieu je croiais que vous n’aviez
nt vos sentimens sur d'autres articles; Je ne suis pas si Eloignée de
penser
comme vous. Ces Commencemens cy sont de bon augur
de nos troubles, de nos émeütes apparemment vous est parvenue; qu'en
pensé
vous? ne trouvé vous pas que la tolérance, la lib
uerre des rats et des grenouilles. Elle est plus sérieuse que vous ne
pensez
. Lefranc de Pompignan a voulu succéder à M. le p.
x tomes de Jean Jaques sont pour le moins aussi coupables que moy. Je
pense
que voylà le cas de souhaitter d'être sourde puis
par la poste. Vous me parlez d'un buste, Madame. Comment avez vous pu
penser
que je fusse assez impertinent pour me faire dres
autant, car vous courez, vous soupez, vous conversez, et surtout vous
pensez
; ainsi, Madame, vivez. Je vous enverrai bientôt q
n souverain d'une manière un peu plus honnête. J'ai écrit ce que j'en
pensais
à un homme qui a montré ma Lettrehttp://www.e-enl
vous; qu'est ce qui n'en a pas? Il est bruit ici d'une révolte qui a
pensé
arriver et qui a fait exiler un grand nombre de g
plus de goût, plus d'estime, plus d'amitié, il y quarante ans que Je
pense
de même.
t un, il se soucie de nous? si la matière est éternelle? si elle peut
penser
? si l'âme est immortelle? et me pria de lui faire
re âge. Nous avons vu mourir les Papes et les Rois. Nous vivons, nous
pensons
, et nôtre âme nous reste. Epicure et les siens pr
matématiciens nient un matématicien éternel. Ce n'était pas ainsi que
pensaient
Neuton et Platon. Je me suis toujours rangé du pa
la pensée, sur l'espace, sur l'infini? je suis tenté de croire qu'on
pense
à tout celà quand on n'a plus de passions, et que
ons qui vous ont fait naître cette idée? que voulez vous que vos amis
pensent
? doivent ils Garder leur sérieux? peuvent ils se
on respect du mont Jura à st Joseph? L'éloignement entre les gens qui
pensent
est horrible. frère François
ut la tirer; elle s'en rapporte à moy pour vous dire, tout ce qu'elle
pense
pour vous; Je seray donc son indigne interprette
ce qui regarde mr de Lally; sans aucune estime pour lui J’ay toujours
pensé
qu’il ne méritoit pas un tel traitement. A l’égar
eux, sur celuy de discerner le vray d'avec le faux, sur la liberté de
penser
, sur les véritez que Loke enseigne, et que la Sor
pe. Il me semble, Madame, qu'au milieu de toutes vos privations, vous
pensez
précisément comme made De Maintenon, lorsqu'à vôt
01cor/nts/002. César qui a conquis et gouverné vôtre païs des Welches
pensait
de même, et ces deux messieurs valaient bien le p
frVF1210039_1key001cor/txt/004 Adieu, Madame, quelque chose que vous
pensiez
, de quelque chose que vous soiez dégoûtée, quelqu
ons, Excepté celles qui regardent la chose publique, à laquelle je ne
pense
que pour faire des voeux pour qu’elle aille bien.
ous? Si vous le sçavez dites le moy, et si vous ne le sçavez pas, n’y
pensons
plus. Vous aurez appris la mort de Ducloshttp://w
aire de vos idées, cela seroit délicieux, et c'est cela qui me feroit
penser
. Vous devriez bien aussi un peu plus répondre aux
'un an. Vous jugez bien qu'elles m'ont fait plaisir, puisque l'auteur
pense
comme moi. Il faudrait qu'une montre à répétition
envoie le livre à personne, et je n’écris prèsque à personne, mais je
pense
que la moitié de ces questions aumoins n’est fait
Prusse ne regardait la musique de Lully que comme du plein-chant. On
pense
de même dans le reste de L'Europe, et j'en suis t
//www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1150083_1key001cor/nts/003. Ne
pensez
pas que Je me porte mieux que Vous, mais Je ne su
quatre vingts ans. Ce sont ses amis qui sont à plaindre. D'ailleurs,
pensez
vous que soixante et quinze ans avec des maladies
rois fois au parlement le titre d'Etats généraux au petit pied. Je ne
pense
point du tout que les parlements représentent les
emplaire du siècle de Louïs quatorze et de Louïs quinze, s'il y avoit
pensé
; j'espère qu'à l'avenir il ne nous laissera manqu
▲