5e xbre 1774 L'ombre de l'abbé Pellegrain, m'est encor apparue cette
nuit
, et m'a donné les deux couplets suivants sur l'ai
rtir d'un grand soupé on se retrouve avec soi même, et qu'on passe la
nuit
à se rappeller en vain ses premiers beaux jours.
s ennuie vous aurez autre chose, mais pas sitôt. Je travaille jour et
nuit
. La raison en est que j'ai peu de tems à vivre, e
oin de lecture qui m'amuse, Je lis six ou sept heures par Jour ou par
nuit
et J'ay tout Epuisé. J'ay été très contente de l'
'oiseaux qu'il ne me soit arrivé quelque tracasserie. J'ay rêvé cette
nuit
de perroquets et à mon réveil J'ay reçû votre let
is si longtemps de son amitié! de celle pour qui je travaille jour et
nuit
, malgré tous mes maux? Vous sentez bien que je ne
s infinie; vous me procuré de l'amusement, du plaisir; sans vous, mes
nuits
serait insupportable. Je les passe à me faire lir
an Jaques je trouve fort mauvais qu'on respecte si peu les bonnets de
nuit
. On a tué un vieillard de quatre vingt ans, et ce
ritez. Il y a cent éclairs admirables qui percent à tout moment cette
nuit
, et votre imagination brillante doit les aimer. C
de journées toujours agréables, il n'y en a que dans les mille et une
nuits
et dans la Jerusalem céleste. Résignons nous à la
t sa petitefille; pour moy qui ne dort point, Je m'occupe souvent les
nuits
à repasser tous les vers que J'ay retenüe; vos Ep
de Lalli s’est trouvée naturellement. Voilà ce qui m’a occupé jour et
nuit
, et quoique j’aie près de quatre vingt ans, c’est
la première fois, Le lendemain il m'envoya ces vers. Il y en a un qui
nuit
à leur perfection, c'est celuy cy, quoique les
nt que vous étiez entre chien et loup, et non pas tout à fait dans la
nuit
. Je pensais que vous étiez à peu près dans l'état
neur vous déplaise, il y a longtems qu'il me choque, il refroidit, il
nuit
à la familiarité et ôte l'air de vérité. Je propo
u quatre façons également mauvaises! Corneille a des éclairs dans une
nuit
profonde, et ces éclairs furent un beau jour pour
x vous l’envoyer, mais J’ay toute honte bûe avec vous. J’ay passé une
nuit
blanche, rien n’aigrit autant le sang et l’humeur
adame, amusez vous comme vous pourez. J'ai encor la fièvre toutes les
nuits
, et je m'en moque. Amusez vous encor une fois, fû
ue je vous ferais des contes que vous prendriez pour des mille et une
nuit
, et qui pourtant sont très véritables. Oui, Madam
quatre chants de Virgile, tout L'Arioste, une partie des mille et une
nuit
; et en fait de prose française, je relis sans ces