dernier à l'ouverture d'une lettre où l'on m'apprenoit que vous étiez
mort
subitement; Je fis un cri, J'eux un saisissement,
emis, des Envieux &c. mais Je sçay bien qu'à la nouvelle de votre
mort
vous n'aviez plus que des admirateurs, chacun par
conscience. Mais sçavez vous ce qui vous seroit arrivé si vous étiez
mort
? Vous auriez Eû pour successeur l'Evèque de Limog
ne m'envoyez pas vos deux chants de la pucelle? Je vous tiendray pour
mort
et Je feray dire des messes pour le repos de votr
étendent faire cause commune avec vous? Ces pauvres gens là sont bien
morts
de leur vivant, et vous tout au contraire, vous v
et vous tout au contraire, vous vivez et vivrez toujours après votre
mort
. Vous êtes le plus ingrat et le plus indigne des
afflige avec vous. Nous sommes tous comme des prisoniers condamnés à
mort
qui s'amusent un moment sur le préau, jusqu'à ce
vec cette dure destinée. Je voudrais bien savoir si Mr D'Argenson est
mort
en philosophe ou en poule mouilléehttp://www.e-en
u des jésuites assez impudents, pour dire que mr de Montesquieu était
mort
en imbécilehttp://www.e-enlightenment.com/item/vo
ent sur nous un grand avantage, ils ne troublaient point la vie et la
mort
par des assujetissements qui rendaient l'un et l'
i vous aimoit véritablement, et qui me parloit deux jours avant cette
mort
funeste, du plaisir qu'elle auroit de vous voir à
e malheureuse petite fille dont elle étoit acouchée et qui a causé sa
mort
ne m'intéressoit pas assez. Hélas madame nous avi
le. Je ne vous ay point écrit pour ses couches, et je vous annonce sa
mort
. C'est à la sensibilité de votre cœur que j'ay re
Paris, 11 février [1778] J'arrive
mort
, et je ne veux ressusciter que pour me jeter aux
. Je crois, toutte réflexion faitte, qu'il ne faut jamais penser à la
mort
. Cette pensée n'est bonne qu'à empoisonner la vie
onner la vie. La grande affaire est de ne point souffrir, car pour la
mort
, on ne sent pas plus cet instant que celuy du som
enre humain. Il faut deffendre qu'ils n'approchent jamais de nous. La
mort
n'est rien du tout. L'idée seule en est triste; n
'aimer véritablement le néant, malgré ses bonnes qualités. Quant à la
mort
, raisonnons un peu, je vous prie: il est très cer
on ne se réveillera plus qui fait de la peine, c'est l'appareil de la
mort
qui est horrible, c'est la barbarie de l'extrême
suitte n'y plus penser du tout. On dit quelquefois d'un homme, il est
mort
comme un chien, mais vraiment un chien est très h
dame, suportons la vie qui n'est pas grand'chose, ne craignons pas la
mort
qui n'est rien du tout, et soyez bien persuadée q
qu'à moitié. Je ne vous écris presque jamais madame parce que je suis
mort
et enterré entre les alpes et le mont Jura; mais
je vous voyais tous les jours. Je m'aperçois bien qu'il n'y a que les
morts
d'heureux. J'entends parler quelquefois des révol
e courage d'esprit et dans la fécondité de vôtre imagination. Je suis
mort
au monde. On m'attribue tous les jours mille peti
jours mille petits bâtards postumes que je ne connais point. Je suis
mort
, vous dis-je, mais du fond de mon tombeau je fais
nment.com/item/voltfrVF1230355_1key001cor/nts/001? C’est que j’ai été
mort
pendant près de trois mois, grâce à une complicat
plication de maladies qui me persécutent encor. Nonseulement j’ai été
mort
, mais j’ai eu des chagrins et des embaras ce qui
nez vous de moi, Madame, en cas qu'on m'honore jamais d'une messe des
morts
; et soiez bien sûre que les sept ou huit jours qu
s à nôtre dernier moment, nous ne sentirons plus cette différence; La
mort
met les Gougeats et Les Enpereurs au même rang. J
parcequ'ils n'estiment peut être pas autant sa mémoire. N'est il pas
mort
Ce Mr. de La Visclédehttp://www.e-enlightenment.c
auraient fait la consolation de votre vie, lui et mr de Fourmont. La
mort
vous les a enlevés. Ce sont des biens dont on ne
www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180330_1key001cor/nts/003 et la
mort
de Lallyhttp://www.e-enlightenment.com/item/voltf
me les hommes sont justes. Quand je serai plus vieux j'y ajouterai la
mort
du chevalier de La Barre et celle de Calashttp://
ay point écrit à son fils parce que son fils ne m'écrirait pas sur la
mort
de mon père. Savez vous madame qu'il m'en coûte i
ugez qui L'empoisonent et des horreurs ridicules dont on acompagne la
mort
. Soyons philosophes au moins dans nos derniers jo
t sa mémoire et seroient pour moi une vraye consolation. Si vous êtes
mort
comme vous le dites il ne doit plus rester de dou
ne nous reverrez Jamais! Jamais, c'est effectivement le discours d'un
mort
, mais dieu mercy vous êtes bien En vie et Je ne r
la méchanceté des hommes et le néant de leurs illusions. J’attends la
mort
en ne changeant de sentiment sur rien, et surtout
e théâtre public devant quarante mille auditeurs, où va t-on après la
mort
? où l'on était avant de naitre http://www.e-enlig
ses fonctions; si l’opéra comique attire toujours tout Paris. Je suis
mort
au monde. Ce serait un état assez doux si je ne s
que Je puisse lui montrer. Elle se porte mieux. Que dites vous de la
mort
de mr Chauvelinhttp://www.e-enlightenment.com/ite
dorable, mais dont quelques articles, que J'ay lûs m'ont ennuyés à la
mort
. Je ne sçauroit admettre pour Législateurs des ge
e la gloriole des Fontenelle et la Motte qui sont oubliés depuis leur
mort
, mais Eux ils le seront de leur vivant. J'en Exce
/item/voltfrVF1110386b_1key001cor/txt/003 que nous serons après nôtre
mort
ce que nous étions avant de naître, mais pour les
ontre mon éxistence que je maudis et que j'aime; je hais la vie et la
mort
; qui me consolera, qui me soutiendra? La nature e
7_1key001cor/txt/001 Mr Dargenson arriva ici le 12 de Juillet à demi
mort
, une fièvre lente, la poitrine affectée, son état
elui qui me surprend le plus, c'est le compliment au président sur la
mort
de Mr Dargenson. Je vous mandois qu'il en recevoi
oint pourquoy J'ay tant tardé à vous répondre; si vous avez appris la
mort
de mad. de Luyneshttp://www.e-enlightenment.com/i
vidence d'y devoir rentrer je n'en aurois pas moins d'horreur pour la
mort
; expliquez moi à moi même, Eclairez moi, faites m
eur. Je ne sçait pas mon cher Voltaire, de quel oeil vous envisagé la
mort
; je m’en détourne la vûe autant qu’il m’est possi
ltaire, et Je vous en dois des remerciemens infinis. Je doûte que les
morts
soyent aussi contents de vous que le sont les viv
e. Ils préféroient Les modernes aux anciens, mais ces anciens étoient
morts
, et les modernes étoient Eux mêmes; moi Je suis v
on nage dans le doute. Vos amis les Chaulieu et les St Aulaires sont
morts
en paix.
tendre amour, mais envérité il y en a qui méritent qu'on les aime. La
mort
vient de me priver d'un vrai philosophe, dans le
et vous faire la lecture, mais je suis bien plus qu’invalide, je suis
mort
. Mr de Lisle qui est tout à fait en vie, doit vou
malade et m'a donné beaucoup d'inquiétude. Ensuitte la maladie et la
mort
de mad. de Pompadour, qui m'ont occuppés et intér
a été vingtquatre ans en prison, et qu'au bout de ce temps là il est
mort
de huit coups de poignard, la philosophie trouve
us, nous en avons grand besoin et moi en particulier qui m'ennuy à la
mort
. L'horrible avanture que celle de st Dominguehttp
t semblant d’être en colère de la manière honnête dont je parle de la
mort
. L’abbé Mabli sera fâchéhttp://www.e-enlightenmen
'a dédiée. Vous remarquerez que cet abbé Bazin, que son neveu croiait
mort
, ne l'est point du tout, qu'il est chanoine de st
la pluspart des hommes sont plongés depuis leur enfance jusqu'à leur
mort
. Ils passent leur vie à recevoir de bonne foi des
la vie, toute malheureuse qu'elle est, et que vous n'aimiez point la
mort
. Presque tout le monde en est réduit là, c'est un
VF1190318_1key001cor/txt/001 Je vois qu'on me regarde comme un homme
mort
, les uns s'emparent de mes sottises, les autres m
ont faittes, et elles n'en valent pas mieux. Je n'ay jamais été moins
mort
que je le suis àprésent. Je n'ay pas un moment de
itre était admirable. Nous sommes des victimes condamnées toutes à la
mort
. Nous ressemblons aux mountons qui bêlent, qui jo
à ce que je crois), mais fort ennuieux (à ce que j'affirme). Je serai
mort
avant qu'il soit imprimé, attendu que de mes deux
en du tout. L'abbé de Chaulieu avait précisément mon âge quand il est
mort
; et il ne m'en a pas apris d'avantage. Les suitte
souvent dans ses Lettres, et quelquefois même au sénat romain, que la
mort
n'est que la fin des douleurshttp://www.e-enlight
, et si vous ne le sçavez pas, n’y pensons plus. Vous aurez appris la
mort
de Ducloshttp://www.e-enlightenment.com/item/volt
iment comme vous la vérité. Je me suis mis à juger les vivants et les
morts
; j’ai fait un précis historique du procez de Mr d
inutilement. Nous sommes tous condamnés aux privations suivies de la
mort
. Je l’attends sur mon fumier du mont Jura, et je
en eût point. On parle beaucoup aussi de la lettre d'un avocat sur la
mort
du chevalier de la Barrehttp://www.e-enlightenmen
e ayez pitié de moy, tous les vivans m'ennuyent, indiqué moy quelques
mort
qui puissent m'amuser; J'ay rélüe vingt fois les
emander pour Eviter que nos lettres se croisassent, surtout depuis la
mort
du président. Je ne doûte pas de vos regrets; c'é
ent Hénaut et moi; il n’a été enterré que lorsqu’il a été tout à fait
mort
. http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1210
c'est de ne sçavoir absolument ce que Je peux lire, tout m'ennuy à la
mort
; L'histoire, la morale, les Romans, les pièces de
tes viagères sur deux souverains, et que je serais inconsolable si ma
mort
enrichissait deux têtes couronnées. Si vous avez
iner qu'il cause avec moi. Sans la facilité tout ouvrage m'ennuy à la
mort
. Nos écrivains d'aujourd'huy ont des corps de fer
elle soit bien faite? Je vous diray que je suis très convaincû que la
mort
et L'apparition du père Berthier, n'est pas de Mr
nde cy et sur l'autre, le tout, pour mon usage, et peut être après ma
mort
, pour l'usage des honnêtes genshttp://www.e-enlig
e moins mal que vous le pourez, suportez la vie, ne craignez point la
mort
que Cicéron appelle la fin de toutes les douleurs
ois lire, hors vous et les auteurs du siècle passé tout m'ennuye à la
mort
. Je me recommande à vous Mon cher et ancien amy,
r. Je vous mandois que J'avois été fort occupé de sa maladie et de sa
mort
, et que je m'y intéressoit autant que tant d'autr
y jamais qu'après tout le monde. Vous sçavez toutes nos nouvelles. La
mort
de Mr de Luxembourghttp://www.e-enlightenment.com
un jour. J’ai connu un homme qui était fermement persuadé qu’après la
mort
d’une abeille son bourdonnement ne subsistait plu
r/nts/001, vous mentiez au st Esprit, et ne pouvant pas vous punir de
mort
subite, Je pris la résolution de ne vous plus Ecr
elui dont on a affublé le Duc de Parme; mais enfin j'y suis menacé de
mort
subite. Vous savez que je n'ai pas deux cent mill
chante, plus gourmé que majestueuse, et puis je hais les diables à la
mort
. Je ne sçaurois vous dire le plaisir que j'ay eû
t que vous le pourez de la vie qui est peu de chose, sans craindre la
mort
qui n'est rien. Comme vous n'avez guères que des
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