à Colmar 19 may 1754 Savez vous le latin
madame
? Non. Voilà pourquoy vous me demandez si j'aime m
Voilà pourquoy vous me demandez si j'aime mieux Pope que Virgile. Ah
madame
touttes nos langues modernes sont sèches, pauvres
e se traduisent point. Peut-on traduire de la musique? Je vous plains
madame
avec le goust et la sensibilité éclairée que vous
que celles de L'empire. Si vous avez encor mr de Formont je vous prie
madame
de le faire souvenir de moy; et s'il est parti je
as d'avoir de grands avantages; elle délivre de la société. Pour vous
madame
ce n'est pas de même. La société vous est nécessa
nt.com/item/voltfrVF0990139_1key001cor/txt/001 Je vous écris rarement
madame
, quoy qu'après le plaisir de lire vos lettres cel
: pas tout à fait heureuse; mais où est le bonheur? Je n'en sçai rien
madame
. C'est un beau problème à résoudre.
ne par Genêve 15 janvier 1761 Je commence d'abord par vous éxcepter,
Madame
; mais si je m'adréssais à toutes les autres dames
me. Voilà ce que j'appelle n'avoir pas un moment de libre. Cependant,
Madame
, j'ai toujours le temps de vous écrire, et c'est
ma vie, après celui de lire vos Lettres. Vous méprisez trop Ezéchiel,
Madame
; la manière légère dont vous parlez de ce grand h
t.com/item/voltfrVF1060459b_1key001cor/txt/001 ne sçait ce qu'il dit,
Madame
, quand il prétend que je me porte bien; mais c'es
elles âmes, qui ne sont ni sottes, ni coquines, à commencer par vous,
madame
, et par mr le président Hainaut. Je tiens de plus
trepoids dans mon esprit à toutes les horreurs de ce monde. Vraiment,
Madame
, ce serait un beau jour pour moi, que le petit so
our des mille et une nuit, et qui pourtant sont très véritables. Oui,
Madame
, j'aurais le plus grand plaisir du monde à vous p
er à Paris, que le mois de Janvier et de février. Vous ne sçavez pas,
madame
, ce que c'est que le plaisir de gouverner des ter
je ne pourais jamais tenir à Paris plus de deux mois. Vous me parlez,
Madame
, de ma paix particulière; mais vraiment, je la ti
e ces viéillards là, peuvent s'adresser à d'autres qu'à moi. Eh bien,
madame
, ai-je répondu à tous les articles de vôtre Lettr
é Grisel, mais il pourait édifier des personnes tolérantes. A propos,
madame
, si vous vous imaginez que la pucelle est une pûr
pentateuque et L'Arioste, font aujourd'hui le charme de ma vie. Mais,
madame
, si jamais je fais un tour à Paris, je vous préfé
is je fais un tour à Paris, je vous préférerai au pentateuque. Adieu,
madame
, il faut joûer avec la vie jusqu'au dernier momen
27e 8bre 1760 aux Délices Cecy n'est point une Lettre,
Madame
, c'est seulement pour Vous demander si vous avez
. J'ignore pareillement si Mr d'Alembert a reçu le sien; voulez vous,
madame
, avoir la bonté de le lui demander? Il vous fait
plus d'imagination, et plus de connaissance que lui. Je vous disais,
madame
, que je ne vous écrivais point, mais je veux vous
solence le plustôt que je pourai; prenez toujours la vie en patience,
Madame
, et s'il y a quelques moments de bon, jouïssez-en
'une potence, et des valets de boureau; je vous adresse mes plaintes,
madame
, parce que vous avez du goust; et je vous prie de
t mon vin. J'ai fait pourtant d'assez bon vin, et beaucoup; je parie,
madame
, que vous ne vous en souciez guéres; voilà comme
/item/voltfrVF1060364_1key001cor/txt/001 Il y a plus de six semaines
madame
que je n'ay pu jouir d'un seul moment de loisir.
htenment.com/item/voltfrVF1060364_1key001cor/nts/003. Leur Shakespear
madame
est infiniment au dessous de Gille. Figurez vous
ur Shakespear madame est infiniment au dessous de Gille. Figurez vous
madame
que la tragédie de Richard trois qu'ils comparent
d, Vilain crapaud, je voudrais que mon crachat fut du poison. Eh bien
madame
tuez moy si vous voulez, voylà mon épée. Elle la
es de téâtre, ils les feraient plus honnêtes? Je vous conte tout celà
madame
parceque j'en suis plein. N'est il pas triste que
Neuton ait produit ces monstres et qu'il les admire? Portez vous bien
madame
, tâchez d'avoir du plaisir. La chose n'est pas ai
6e Janv: 1764 à Ferney Je ne m'étonne plus,
Madame
, que vous n'aiez pas reçû la Jeanne que je vous a
n n'ose pas même envoier des livres à l'adresse des ministres. Enfin,
Madame
, comptez que la poste est infiniment curieuse, et
ne pouvant plus lire du tout. Je ne suis pas précisément comme vous,
madame
, mais vous souvenez vous des yeux de l'abbé de Ch
ntre vous et lui, c'est précisément ma situation. Je pense avec vous,
Madame
, que quand on veut être aveugle, il faut l'être à
tout ce qu'on peut faire c'est de la supporter. Soutenez ce fardeau,
Madame
, tant que vous pourez, il n'y a que les grandes s
in de gens d'esprit qui ne sçavent comment ils doivent penser. Adieu,
Madame
, songez, je vous prie, que vous me devez quelque
Paris, 13 février 1778 J'ai deux devoirs,
madame
, à remplir auprès de vous. L'un est de vous remer
nd l'ouvrage sera imprimé, soit que j'aie fini ma carrière, j'espère,
madame
, que vous ne serez pas mécontente de la manière d
ral et d'un ministre qui faisait tant d'honneur à la France. Je suis,
madame
, avec un très profond respect &a. Voltaire
aux Délices route de Geneve 27 xbre [1758] J'apprends
madame
que votre ami et votre philosophe Formonthttp://w
autres ne les remplaçent qu'à moitié. Je ne vous écris presque jamais
madame
parce que je suis mort et enterré entre les alpes
avec ma nièce et avec moy. La douceur de ma retraitte sera augmentée
madame
en recevant une lettre que vous aurez dictée. Vou
ww.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1030306_1key001cor/nts/002 jamais
madame
. J'ay acheté des terres considérables autour de m
, son ancienne supériorité, qu'es ce que tout cela deviendra? Digérez
madame
, dormez, conversez, prenez patience, et recevez a
ent.com/item/voltfrVF0860196b_1key001cor/txt/001 Vous m'avez proposé
madame
d'acheter une charge d'écuyer chez madame la duch
xt/001 Vous m'avez proposé madame d'acheter une charge d'écuyer chez
madame
la duchesse du Maine, et ne me sentant pas assez
unesse et de poitrine s'en acquitera mieux que moy. Voicy une ocasion
madame
de montrer la bonté de votre cœur et votre crédit
e du Maine et pour l'amour de Formont qui vous en prie par moy. Adieu
madame
, je vous suis attaché comme l'abbé Linant vous le
18e juillet 1769 Ma nièce me dit,
madame
, que vous vous plaignez de mon silence, et que vo
scandaleux avec une Dame profane telle que vous l'êtes. Eh mon Dieu,
madame
, ne savez vous pas que je suis tolérant, et que j
rait penser bien fortement, et qui me fera bientôt oublier? Pour moi,
Madame
, je ne vous oublierai que quand je ne penserai pl
umé à porter les iniquités d'autrui. Je ressemble assez à vous autres
mesdames
à qui on donne une vingtaine d'amants quand vous
et de leurs agréments. Ils aiment ma campagne et moi je les aime. Ah!
madame
, si vous pouviez jouïr de nos belles vues! Il n'y
p://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF0910208b_1key001cor/txt/002
Madame
, Si J'étois homme du monde, ce seroit avec vous q
peu de personnes qui pensent comme vous. Je suis avec bien du respect
madame
votre très humble et très obbeyssant serviteur V
22 juillet [1761] Mr Le président Hainaut,
Madame
, m'instruit de vôtre beau zèle pour Pierre Cornei
ion, Qu'on me le montre, et je promets d'aimer. Il faut en revenir,
Madame
, au siècle de Loüis 14 en tout genre. Celà me per
riture Sainte, quoique j'aime encor mieux Cinna. Je joüe avec la vie,
Madame
, elle n'est bonne qu'à celà, il faut que chaque e
citoyenne de nos rochers d'aller à Paris. Je vous regrette pourtant,
madame
, et beaucoup; mlle Clairon un peu; et la plus par
brasse cette belle idée si consolante, et si démontrée. En attendant,
madame
, vivez le plus heureusement que vous pourez; jouï
eilles Lettres tous les huit jours. Je mène une plaisante vie. Adieu,
Madame
, je vous aimerai, et je vous respecterai, jusqu'à
11e 8bre 1763 Je vous jure,
Madame
, que je suis aveugle aussi; n'allez pas me renier
et c'est ce qui fait que je ne regrettes guère dans Paris, que vous,
Madame
, et le très petit nombre de personnes de vôtre es
de grands sentiments de dévotion, et celà est bien consolant. Vivez,
Madame
, guaiment avec quatre sens qui vous restent; quat
mains, mais je ne sçais comment faire pour vous les envoier. Et vous,
Madame
, comment feriez vous pour vous les faire lire? Ce
court, et n'est point du tout pédant. Le grand malheur de notre âge,
madame
, c'est qu'on se dégoûte de tout. Un Pompignan amu
e la sainte écriture. Les hommes sont bien bêtes et bien fous. Adieu,
madame
, prenez les pour ce qu'ils sont, et vivez aussi h
24e juill: 1769 Je vous ai envoié en grand secret,
Madame
, la Tragédie des Guébres. Vous me feriez une pein
est très neuf, et qui aurait été encor plus utile. Gardez vous bien,
madame
, d'être aussi difficile que le procureur du Roi d
qu'ils pouront pour obtenir cette justice. Je vous mets à leur tête,
madame
, et je vous conjure d'emploier pour mon jeune hom
avec une passion malheureuse de vous voir et de vous entendre. Adieu,
madame
, cette vie n'est pas semée de roses. V.
item/voltfrVF0960233_1key001cor/txt/001 Votre souvenir et vos bontez
madame
me donnent bien des regrets. Je suis comme ces ch
s comme vous, j'aurais eu bien de la peine à me laisser enlever. Mais
madame
quand on a le malheur à Paris d'être un homme pub
ghtenment.com/item/voltfrVF0960233_1key001cor/nts/002. Avec tout cela
madame
, je vous regrette très sincèrement, vous, et m. l
Vous daignez me parler de Rome sauvée. Vous me prenez par mon faible
madame
. Des gens malins expliqueront ce que je vous dis
t que moy, il s'est bien donné de garde d'écrire en français. Apropos
madame
ne montrez point ma lettre, à moins que ce ne soi
0233_1key001cor/nts/006 sur le bureau, et messieurs du clergé…. Adieu
madame
, je suis si acoutumé à parler librement que je su
vertu à cela. J'ay le cœur meilleur que luy. Conservez moy vos bontéz
madame
et faittes moy bien sentir combien il serait doux
tre Envoiez moi des pâtes d’abricots de Genêve. Cela est bientôt dit,
Madame
, mais celà n’est pas si aisé à faire; vos confise
assiné un pauvre chevalier de ma connaissance. Passez moi l’émétique,
Madame
, et je vous passerai la saignéehttp://www.e-enlig
toujours besoin en France de se consoler. Ma plus grande consolation,
Madame
, a toujours été la bonté dont vous m’avez honoré
nos yeux nous ne pourons guères nous voir. Je ne peux pas vous dire,
Madame
, que je vous aime comme mes yeux, mais je vous ai
18e august 1761 au château de Ferney J'ai connu,
madame
, des gens qui se plaignaient de vivre avec des so
contiendra sept ou huit gros volumes. Celà fait trembler. Vous devez,
madame
, avoir actuellement Mr le Président Hainaut; il f
ion de L'académie. C'est une négociation que je mets entre vos mains,
Madame
; celle de Mr De Bussi sera plus difficile. Vous v
on sublime et par l'excèz de ses misères. Je vous sçais bien bon gré,
madame
, de Lire l'histoire d'Angleterre par Thoirashttp:
is actuellement laissez moi avec le grand Corneille. Je vous réïtère,
Madame
, les remerciements de ma petite élève, qui porte
e pas. Je me mets aux pieds de made la Duchesse de Luxembourg. Adieu,
Madame
, vivez aussi heureuse qu'il est possible; tolérez
3 février 1769 Voicy le tems
madame
où vous devez avoir pour moi plus de bontés que j
ous en demande pardon, car cela n'est pas Juste. Serait il bien vray,
madame
, que le marquis de Belesta qui est très Estimé da
à tromper, depuis le prédicateur Jusqu'a faiseur de madrigaux. Vous,
madame
, vouos ne trompez personne; vous avez de l'esprit
er les paquets sous l'enveloppe de son mari. Je vous prie instamment,
madame
, de me mander des nouvelles de la santé du présid
ensons point quand la moelle du cerveau est malade. Vous souciez vous
madame
d'un petit ouvrage nouveau dans lequel on se moqu
xemplaires à votre grand maman dès que vous me l'aurez ordonné. Adieu
madame
, Je suis à vos pieds. Je vous prie de dire à mr l
5e May 1770, à Ferney Je suis un ingrat,
Madame
, indigne de vous et de vôtre grand-maman. Je ne m
ightenment.com/item/voltfrVF1200186_1key001cor/nts/002 Figurez vous,
Madame
, que lorsque j'appellaishttp://www.e-enlightenmen
a dans le moment présent beaucoup de tems à elle; mais en avez vous,
Madame
, vous, qui malgré vôtre état de recueillement pas
la demander à vôtre grand-maman. Vous lui en parlerez si vous voulez,
Madame
; mais pour moi Dieu m'en garde; j'ai trop abusé d
faut que je m'aille cacher quand je songe à tout celà. C'est à vous,
Madame
, que je dois tous ces agréments qui se répandent
et sans ennui; et encor la chose est elle difficile. Je suis à vous,
Madame
, jusqu'à mon dernier soufle avec le plus tendre r
à Ferney par Geneve 22 x [1760] Il y a eu
madame
de la réforme dans les postes. Les gros paquets n
ssé dans d'autres mains que dans les vôtres. Comment vous amusez vous
madame
? que faittes vous de ces journées qui paraissent
ns le monde et à y être heureuse. Je vous souhaitte les bonnes fêtes,
madame
, comme disent les italiens mes voisins. Cependant
10e 8bre 1760 Si vous n'êtes point un grand Enfant,
Madame
, vous n'êtes pas non plus une petite vieille; je
ettres à écrire par jour, tout celà fait que vous devez me pardonnez,
madame
, si je ne vous ennuie pas aussi souvent que je le
ine; il vaut mieux que tous vos comédiens de Paris. Je suis fort aise
madame
, qu'on ait imprimé ma Lettrehttp://www.e-enlighte
eur demandera un jour compte de leurs talents. Vous avez bien raison,
madame
, d'aimer l'histoire de mon ami Humehttp://www.e-e
usses, et vous sçavez que je ne sacrifie la vérité à personne. Adieu,
Madame
, si vous aviez des yeux, je vous dirais, venez ph
nt des intendans; ces gens là ne sont pas tous philosophes. Mon Dieu,
madame
, que je hais ce que vous sçavezhttp://www.e-enlig
raisonnable que tous vos butors de la Sorbonne. Adieu encor une fois,
madame
, je vous aime beaucoup plus que vous ne pensez.
à Bale ce 23 may [1734] Vraiment
madame
quand j'eus l'honneur de vous écrire, et de vous
nge par malheur est baucoup plus puissant que luy. N'admirez vous pas
madame
tous les baux discours qu'on tient à l'égard de c
les baux discours qu'on tient à l'égard de ces scandaleuses lettres?
madame
la duchesse du Maine est elle bien fâchée que j'a
ui ne voulût me brûler dans ce monde cy et dans l'autre. De vous dire
madame
qui sont les plus fous, des jansenistes, des moli
ance lors que j'ay le plus d'envie d'y rester. Si je ne reviens point
madame
, soyez sûre que vous serez à la tête des personne
nlightenment.com/item/voltfrVF0960201_1key001cor/txt/001 Apparemment
madame
que mon camarade Damonhttp://www.e-enlightenment.
ce mois de juin où nous sommes ce voiage dont il parle, et en vérité
madame
vous en seriez un des principaux motifs. J'aurais
mes rebrochées et rebrodées avec du clinquant nouvau, savez vous bien
madame
ce que nous faisons? Nous ne le lisons point. Tou
n. Vous me parlez de deux éditions de mes sottises. Il est bien clair
madame
que la moins ample est la moins mauvaise. Je n'ay
ez qu'il est du siècle de Louis 14. Vous allez donc toujours à Sceaux
madame
? J'avais pris la liberté de donner une lettre à D
ux madame? J'avais pris la liberté de donner une lettre à Dammon pour
madame
la duchesse du Maine. Il la rendra dans quelques
12e Avril 1760 aux Délices Je ne vous ai envoyé,
Madame
, aucune de ces bagatelles dont vous daignez vous
t n'aurez rien de quelque temps. Il faudra seulement me faire écrire,
madame
veut s'amuser, elle se porte bien, elle est en tr
ue, ou historique, ou poëtique, selon l'espèce d'amusement que voudra
madame
, à condition qu'elle le jettera au feu dès qu'ell
condition qu'elle le jettera au feu dès qu'elle se le sera fait lire.
Madame
était si entousiasmée de Claricehttp://www.e-enli
e vie de l'homme, tout le reste est illusion. Je vous demande pardon,
Madame
, de vous parler d'un plaisir qu'on goûte avec ses
la place de ces passions la philosophie qui ne les vaut pas, et moi,
Madame
, j'y mets le tendre et respectueux attachement qu
w.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1070085a_1key001cor/txt/001 Tenez
madame
, faittes vous lire ce brimborion dans vos moments
e de Jean Jacques et le roman turc de la Popliniere. Portez vous bien
madame
et que votre estomac vous console de vos yeux.
Ferney, 18 May, 1772 Vraiment,
Madame
, je me suis souvenu que je connaissais votre Dano
gie, en politique, en philosophie. Ce que j’ai toujours aimé en vous,
Madame
, parmi plusieurs autres genres de mérites, c’est
s pour eux à Tendre sur enthousiasme, j’y resterai. Vous savés aussi,
Madame
, que je suis pour vous, depuis vingt ans, à Tendr
ger; & voilà ce que vous devriés dire à votre grand-maman. Adieu,
Madame
. Mes misères saluent les vôtres, avec tout l’atta
11e février 1771 Vôtre camarade le quinzevingt,
Madame
, affligé de la goute et de la fièvre, ramasse le
le peut être qui lui manquât, et qu’on appelle l’économie. Mais vous,
Madame
, comment vous êtes vous tirée d’affaire dans les
s une personne à devoir des trois millions. Comment vous portez vous,
Madame
? comment passez vous vos vingt quatre heures? com
entre deux montagnes 2 juillet [1754] J'ay été malade
madame
, j'ay été moine, j'ay passé un mois avec st Augus
demandé des gavotes à un homme qui a cassé son violon. Et vous aussi
madame
vous vous repentirez d'avoir voulu que je vous éc
en n'y croyant pas, comme j'ay lu les pères. J'exécuteray vos ordres
madame
auprès de mr Dargentalhttp://www.e-enlightenment.
Paris, c'est d'attraper le bout de la journée. Puissent vos journées,
madame
, être tolérables. C'est encor un beau lot, car de
ien ne dépend de nous. Nous sommes des horloges, des machines. Adieu,
madame
, mon horloge voudrait sonner l'heure d'être auprè
25e avril 1770 Vous voulez être Taupe,
Madame
, savez vous bien qu'il y a un proverbe Latin qui
lui cy, mais en vous regretant beaucoup. Vous avez deviné très juste,
Madame
, en devinant que Mr L'abbé Terray m'a pris six fo
major, dans le tripot de Genêve qu'on appelle République. Cependant,
Madame
, afin que vous ne m'accusiez pas de négligence, v
eut faire écrire un mot, consoler, encourager un pauvre homme. Enfin,
Madame
, grondez vôtre grand-maman si vous pouvez, mais o
on dit qu'il est impossible d'en avoir ce courage. Portez vous bien,
Madame
, aiez du moins cette consolation. Qu'importent mo
A Colmar 3 mars [1754] Vôtre lettre,
madame
, m'a attendri plus que vous ne pensez; et je vous
ui pensent et qui parlent librement avec vous. Je ne regrettais donc,
Madame
, dans vos yeux que la perte de leur beauté, et je
t deux têtes couronnées. Si vous avez des rentes viagères sur le Roi,
Madame
, ménagez-vous beaucoup, mangez peu, couchez-vous
kia qui avait voulu le guérir de sa folie par ses lénitifs? Qui donc,
Madame
, à pû vous dire que je me marie? Je suis un plais
trop ce que je deviendrai, et je ne m'en soucie guères; mais comptez,
Madame
, que vous étes la personne du monde pour qui j'ai
la Reine sur vous? Il est vrai que la Reine a bien de l'esprit. Adieu
madame
. Comptez que je sens bien vivement votre triste é
à l'aveugle Madame la Marquise Du Déffant. Les gens de nôtre espèce,
Madame
, devraient se parler au lieu de s'écrire, et nous
é les ailes. Nous voletons, mais nous ne volons pas. Je vous supplie,
Madame
, de vouloir bien lui dire combien je lui suis att
lie de vous en dire autant quand j'ai l'honneur de lui écrire. Adieu,
Madame
, je ne sçais si nous avons jamais bien joui de la
endant que je dicte des commentaires sur Agesilas et Attila. Et vous,
Madame
, à quoi vous amusez vous? Je vous présente mon tr
à Ferney 28 janvier 1770 Qui moi
madame
! que je n'aie point répondu à une de vos lettres!
ntimens d'estime et de reconnaissance que Je lui dois. Vous m'anoncez
madame
, que monsieur Robertson veut bien m'envoiér sa be
ançais, et vous vous en appércévez tous les jours. Vous avés la bonté
madame
, de m'anoncér une nouvelle cent fois plus agréabl
dissipation, elle vous est nécessaire, comme à moi la retraite. Adieu
madame
, jouissez de la vie autant qu'il est possible; et
6e juin 1774 Je vous dois un quartier,
Madame
, il faut que je me hâte de vous le paier, parce q
beaucoup d'encens quand il dit sa grand messe. Souvenez vous de moi,
Madame
, en cas qu'on m'honore jamais d'une messe des mor
12e 7bre 1760, aux Délices Vous êtes un grand et aimable enfant
madame
. Comment n'avez vous pas senti que je pense comme
vous ne l'avez point je vous l'enverrai, et je chercherai d'ailleurs
madame
tout ce qui poura vous amuser. Car c'est à l'amus
à faire pouffer de rire qui vous consolera de l'ennuy du livre. Adieu
madame
. Je suis malade, portez vous bien, soyez aussi gu
16e 7bre 1761,Ferney Puisque vous aimez l'histoire,
Madame
, je vous envoie cinqhttp://www.e-enlightenment.co
ns déjà toute la pesanteur d'un commentateur. Ce n'est pas seulement,
madame
, parce que je possède le don d'ennuier, comme tou
les pauvres connaisseurs le lisent, et que les rois le paient. Adieu,
Madame
, supportez la vie et le siècle. Quand vous vous f
à Ferney 18 juin 1770 On fait ce qu'on peut
Madame
dans nos déserts pour vous faire passer quelques
paradis terrestre de Chantelou. Il faut toujours que je vous remercie
madame
de touttes les bontez dont elle m'a comblé; car s
e. Est il possible qu'on s'égorge pour aller voir des lampions? Adieu
madame
, conservez du moins votre santé. La mienne est dé
20e 9bre 1765 à Ferney Il faut que vous sachiez,
Madame
, qu'il y a près d'un mois que made la Duchesse D'
i de nôtre faiblesse encor plus que la philosophie. Heureux vos amis,
Madame
, qui vous consolent et que vous consolez! Je vous
inze vingt, qui arrive tous les ans avec les neiges. Voilà la saison,
madame
, où nous devons nous aimer tout deux à la folie.
e parti est plus envenimé qu'un ulcère aux poumons. Portez vous bien,
madame
, et agréez mon tendre respect; daignez ne me pas
26e Mars 1770 Je ne vous ai point écrit,
madame
, depuis que j'ai obtenu la dignité de Capucin. Ce
si malade que je n'ai pas consulté Mr Tronchin. L'estomac, l'estomac,
Madame
, est la vie éternelle. Je ne suis pas mal, heureu
rer. Elle a eu pour moi des bontés dont je suis confus; c'est à vous,
Madame
, que je dois toutes les grâces dont elle m'a comb
je ne la connais que par son soulier. Jouïssez pendant quarante ans,
Madame
, d'une société si délicieuse. Je vous serai entiè
10e auguste 1772 J’ai tort,
Madame
, j’ai très tort; mais je n’ai pas pourtant si gra
ieux pour réjouïr ceux qui achêtent ses feuilles. Nous voicy bientôt,
Madame
, à l’anniversaire centenaire de la st Barthelémy.
an qui mord, Jean qui vole, Jean qui calomnie, Jean qui tue! Eh bien,
Madame
, n’avouerez vous pas à la fin que ma Catherine se
de toutes ses troupes. Voilà un bel éxemple pour nos Colberts. Adieu,
Madame
, quoiqu’en dise Mr Hubert, je n’ai pas longtems à
4e 8bre 1772 J’ai bien des remords,
Madame
, d’avoir été si longtems sans vous écrire; mais j
son tombeau, et de se mettre dedans au plus vîte. Quand je vous dis,
Madame
, que j’ai bâti une petite ville assez jolie, cela
stère nous mange et nous gruge, mais je n’en veux rien croire. Adieu,
Madame
, vivons l’un et l’autre le moins malheureusement
ne nous tuons pas, il est clair que nous aimons la vie. Je vous aime,
Madame
, je vous aimerai toujours, je vous serai inviolab
4e 9bre 1772 L’Epître à Horace, encor une fois, n’est point achevée,
Madame
, et cependant je vous l’envoie, et qui plus est,
l’envoie avec des notes. Soiez très sûre que ce n’est pas de moi que
Madame
la comtesse de Brionnehttp://www.e-enlightenment.
ner cet ouvrage informe au jeune Monsieur de Brionne qui l’a envoié à
Madame
sa mère. J’en suis très fâché, mais qu’y faire? I
a vieillesse qui me détermine à rester chez moi et à y mourir. Vivez,
Madame
, le moins malheureusement que vous pourez. Je vou
25e juin 1774 Je vous ai fait des infidélités
madame
en faveur de Mr Delile. Mais aussi il me fesait m
14 malgré tout le mérite du siècle de Louis 15 et de Louis 16. Enfin
madame
vous vous humanisez avec moy, vous m'écrivez, vou
jamais l'erreur dans la quelle il est tombé sur mon compte. Pour vous
madame
je vous pardonne de ne m'avoir jamais instruit de
oy je vous écrirai tout ce que je saurai dans ma solitude. Vous voiez
madame
que je suis de meilleure composition que vous; et
30e Mars 1775 Je peux vous dire,
Madame
, que j'ai été très mal, je le suis encor http://w
n vient de parler. C'est comme quand on vous dit, Etes vous enrumées,
mesdames
? Elles doivent répondre, Nous le sommes, ou Nous
à. Etes vous la juive d'hier? Je suis elle. Voilà bien du pédantisme,
Madame
, mais vous me l'avez demandé; et vous ferez de mo
is probablement cette pièce de théâtre ne se jouera pas sitôt. Adieu,
Madame
, dissipez vous, soupez, mais surtout, digérez; do
p://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180150a_1key001cor/txt/001
Madame
, Un officier de dragonshttp://www.e-enlightenment
i a trop de vogue et qu'il faut absolument réfuter. Je vous souhaite,
Madame
, santé et fermeté. Méprisez le monde et la vie, t
aux Délices 14 fév. [1762] Il y a longtemps
madame
que le pédant commentateur de Pierre Corneille n'
très joliment les soubrettes. Si je savais de plus grandes nouvelles
madame
je vous en dirais pour vous amuzer, mais vous ave
et vous n'avez pas besoin de ce qui se passe au pied des alpes. Vivez
madame
, digérez, pensez, et même riez de touttes les sot
2e 7bre 1770 Je vous envoie,
Madame
, par vôtre grand maman la petite drôlerie en fave
nt, et après tout ma Catau vaut beaucoup mieux que Moustapha. Avouez,
Madame
, que dans le fond du cœur vous êtes pour elle. De
tiens une cordialité qui ne se trouve pas entre les ministres. Voilà,
Madame
, tout ce que sait un vieux solitaire qui voit ave
21e Mars 1764 Je ne vous dirai pas,
Madame
, que nous sommes plus heureux que sages, car nous
torze ans me donne les plus grandes espérances. Vous ferez fort bien,
madame
, de ne plus confier nos secrets à ceux qui les fo
uances ne change rien du tout à la couleur primitive. Je vous assure,
Madame
, que je voudrais bien voir une petite esquisse de
x et obscurs. Je vous promets d'ailleurs le secrèt. Vous sentez bien,
Madame
, que la belle place que vous me donnez dans nôtre
ns vôtre cœur, car je vous jure que vous êtes dans le mien. Je finis,
Madame
, parce que je suis bien malade, et que je crains
Vous serez étonnée
madame
de recevoir lettre sur lettre d'un homme que vous
ays de Gex, mais actuellemt c'est un fort bon party. Vous me demandez
madame
ce que c'est que madelle Corneille. Ce n'est ny P
oura. Ce ne sera pas chez madame de Volmar. Nous n'avons aucune envie
madame
d'aller à Clarencehttp://www.e-enlightenment.com/
ris le nom de Salomon dans l'ecclesiaste que vous ne lizez pas. Adieu
madame
consolez vous de votre existence et poussez la ce
12 mars 1766 Je suis enchanté,
madame
, de me rencontrer avec vous; ce n'est pas seuleme
e dispute, est d'une inutilité éternelle. Ai je bien pris votre idée,
madame
? Il me semble qu'elle est consolante; elle détrui
is persuadé que les animaux l'ont comme nous. J'avoue donc avec vous,
madame
, que les connaissances auxquelles nous ne pouvons
ésentations, et surtout de celui de la plupart de nos auteurs. Adieu,
madame
, conservez au moins votre santé, c'est là une cho
21e 9bre 1766 La Lettre au Docteur Pansophe,
Madame
, est de l'abbé Coyer. J'en suis très certain, non
ns un païs où l'on tourne tout en raillerie. Pour moi je vous assure,
Madame
, que je n'ai point du tout songé à railler quand
enment.com/item/voltfrVF1150096c_1key001cor/txt/001 Connaissez vous,
madame
, un petit abrégé de l'histoire de l'Eglise orné d
je me console en faisant mes tours de singe sur la corde. Pour vous,
Madame
, qui n'êtes ni de l'espèce des singes ni de l'esp
6e janv: 1769
Madame
, Voilà encor un thême; j'écris donc. Par une lett
ura m'en croire l'auteur; il ne faut qu'un mot pour me perdre. Voiez,
Madame
, si on peut s'adresser directement à vôtre petite
ui ordonne d'en envoier deux par la poste. Vous me parlez d'un buste,
Madame
. Comment avez vous pu penser que je fusse assez i
w.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180234_1key001cor/nts/009 Adieu,
Madame
, quand vous me donnerez des thêmes je vous dirai
21e février 1770 J'ai reçu,
Madame
, le Charlequint anglaishttp://www.e-enlightenment
capucin je ne laisse pas d'avoir pitié des huguenots. Mais mon Dieu,
Madame
, saviez vous que j'étais Capucin? C'est une digni
s chez moi ne changent point les mœurs. Vous pouvez toujours compter,
Madame
, sur mon attachement, comme si je n'étais qu'un h
voir. Recevez ma bénédiction. † frère V: Capucin indigne Vraiment,
Madame
, on prend bien son tems pour m'engager à traduire
em/voltfrVF1130060b_1key001cor/txt/001 Il faut donc que vous sachiez
madame
qu'il y avait un prêtre dans mon voisinage. Son n
mêler absolument de rien. M'entendez vous à présent? m'entendez vous
madame
? et ignorez vous combien l'inquisition est respec
en guérit; et le grand Tronchin en raisonne fort bien. Sachez encor,
madame
que les femmes commencent à inoculer la petite vé
ses amis, et de sentir le néant de touttes les brillantes illusions.
Madame
la duchesse de Luxembourg n'a point répondu au pe
ww.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1130060b_1key001cor/txt/002 voilà
madame
une un peuhttp://www.e-enlightenment.com/item/vol
e dire ce qu'on pense. Le contraire est un esclavage humiliant. Adieu
madame
, je suis honteux d'avoir recouvré un peu la vue p
24e avril 1769 Eh bien,
Madame
, je suis plus honnête que vous; vous ne voulez pa
je fesais très peu de cas de ses ordonnances. Vous ignorez peut être,
Madame
, qu'il écrivit contre moi au Roi l'année passée,
faut, comme disent les Italiens, donner cibo per tutti. Vous saurez,
Madame
, qu'il y a une trentaine de cuisiniers répandus d
it avec la plus grande éxactitude. Mais à propos de Romans, pourquoi,
Madame
, n'avez vous pas apris l'italien? Que vous êtes à
re où il a un beau mausolée, mais puisque je ne vais point vous voir,
Madame
, je n'irai point à Ferrare. Vous me faittes un gr
le de l'Arioste je suis au désespoir de sa sagesse. Portez vous bien,
Madame
, amusez vous comme vous pourez. J'ai encor la fiè
1er Janvier 1766 à Ferney Ah!
Madame
, Madame, qu'avez vous fait? vous laissez courir u
1er Janvier 1766 à Ferney Ah! Madame,
Madame
, qu'avez vous fait? vous laissez courir une Lettr
13 Juillet 1768, à Ferney Vous me donnez un thème,
Madame
, et je vais le remplir: car vous savez que je ne
e vérité triste qu'on puisse lui dire. Saint ou profane, dites-vous,
Madame
? Hélas je ne suis ni dévot ni impie. Je suis un s
lade qui n'a fait que du bien dans le pays sauvage qu'il habite. Oui,
Madame
, je sais très bien que le Janséniste la Blétrie d
des beautés de la nature et de l'art. Je vous plains tous les jours,
Madame
. Je voudrais contribuer à vos consolations. Que n
et justice dans le cœur. Je m'en rapporte entièrement à elle. Adieu,
Madame
, je vous respecte et je vous aime autant que je v
30e juillet 1768 à Ferney Voici des thêmes, Dieu merci,
madame
. Vous savez que mon imagination est stérile quand
s, ne valent pas bien quatre vingts ans? Nous sommes tous à plaindre,
madame
, il faut faire contre nature bon cœur. Les tracas
t. Sans justesse dans l'esprit, il n'y a rien. Souvenez vous toujours
Madame
, que lorsque je cherche et que j'envoie ces bagat
e et plus utile que les têtes qui reviennent aux limassons. A propos,
Madame
, le fait est très vrai, j'en ai fait l'expérience
t Denis porta sa tête comme vous savez, mais il ne mangea pas. Adieu,
Madame
, conservez la vôtre. Hélas! il revient des yeux a
/voltfrVF1080366_1key001cor/txt/001 Pour peu que vous soyez curieuse
madame
des affaires de la marine et des jésuites voicy d
me son oncle en faisait. Elle est très nécessaire à notre téâtre, car
madame
n'est il pas juste que j'aye un téâtre chez moy?
gédies dont nous n'avons peutêtre que l'ombre. Je vous demande pardon
madame
de vous entretenir de mes plaisirs mais si vous ê
28 juillet 1774 Je n'ai point de thème aujourd'hui,
madame
, j'ai envie de vous écrire et je n'ai rien à vous
va peut-être détruire. Voilà des occupations graves. Portez vous bien
madame
, ayez du plaisir si vous pouvez, cela est bien pl
a sert il? Je vous suis inutile, je suis vieux, je vais mourir. Adieu
madame
, je vous aime comme si j'avais encore vingt ans à
25 avril [1760] Je suis si touché de votre lettre
madame
que j'ay l'insolence de vous envoyer deux petits
, des Russes, tous s'accordent à se moquer de nous. Vous ne savez pas
madame
ce que c'est que d'être français en pays étranger
une catin, mais qui ne voulait pas l'entendre dire aux autres. Tâchez
madame
d'être payée de vos mérites et de prendre en piti
sur tous les arts pour ne réussir dans aucun. Votre belle imagination
madame
et la bonne compagnie que vous avez chez vous, vo
7e auguste 1769 Vous me dites,
madame
, que vous perdez un peu la mémoire, mais assuréme
outent pas qu'ils seront égorgés, et que nous le savons. Il est vrai,
madame
, que j'ai quelquefois de petits avertissements; m
n héritier? Le rôle de ce prêtre est abominable. Avez vous jamais lu,
madame
, la Tragédie de Saül et de David? On l'a jouée de
a peine à un si brave officier qui est aussi aimable qu'utile. Adieu,
Madame
; vivez, digérez, pensez; je vous aime de tout mon
ce 3 xbre [1759] Je ne vous ai point dépêché,
Madame
, ces vieux chants de la pucelle (que le Roy de Pr
vers, ni en prose; je songe à ce que vous pouvez lire d'intéressant,
Madame
; lisez les gazettes, tout y est surprenant comme
ête la fayence à cû noir sur la quelle elle mange. Vous m'avez parlé,
Madame
, de la Lorraine, et de la terre de Craon. Vous me
es. Je ne me troquerais pas contre le général des Jésuites. Jouïssez,
Madame
, des douceurs d'une vie toute oposée, conversez a
eurs publics, quand vous n'aurez rien à faire, donnez moi vos ordres,
Madame
, et je vous enverrai de quoi vous amuser et de qu
la figure que j'y ferais, ni même celle qu'on y fait. Je dois aimer,
madame
, la retraitte et vous; je vous présente mon très
à Colmar 23 avril 1754 Je me sents très-coupable,
Madame
, de n'avoir point répondu à vôtre dernière Lettre
conspire contre eux avec de la rhubarbe et de la sobriété. Cependant,
Madame
, malgré l'envie extrème de leur jouer le tour de
rible, et je n'aime à présent que le soleil. Vous ne le voïez guères,
Madame
, dans l'état où sont vos yeux, mais il est bon du
étes souvent trouvée, en les lisant, en païs de connaissance. Adieu,
Madame
, souffrons nos misères humaines patiemment. Le co
6e aoust 1760 Si la guerre contre les Anglais nous désespère,
madame
, celle des rats et des grenouilles est fort amusa
heureuse qu'elle ne l'est; mais elle n'a jamais été si plate. Tâchez,
Madame
, de rire comme moi, de tant de pauvretés en tout
d'oublier tout le monde, puisqu'il est avec mr D'Argenson. A propos,
Madame
, digérez vous? Je me suis aperçu après bien des r
paremment pour ne pas nous entendre. Heureux ceux qui vous entendent,
madame
. Je sens vivement la perte de ce bonheur. Je vous
21e octobre 1770 Mr Crawford,
Madame
, a quelquefois de petites vélléités de sortir de
n éffet dans ce genre que des àpeuprès, mais quel est vôtre àpeuprès,
Madame
? Vous avez perdu deux yeux que j’ai vus bien beau
enment.com/item/voltfrVF1210039_1key001cor/txt/002. Vous me mandâtes,
Madame
, il y a quelque tems que celà allait à merveille,
w.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1210039_1key001cor/txt/004 Adieu,
Madame
, quelque chose que vous pensiez, de quelque chose
13e auguste 1773, à Ferney J’ai peur,
Madame
, que vous ne vous intéressiez pas plus à nos Indi
erce des idées est de contrebande. Je ne peux donc pas vous répondre,
Madame
, que mes Indes vous parviennent. Cependant, c’est
aviez pu y venir j’aurais été consolé. Je fais mille vœux pour vous,
Madame
, mais à quoi servent-ils? Je vous suis attaché te
t je vous souhaitte du moins de la santé dans vôtre St Joseph. Adieu,
Madame
, contre nature bon cœur.
15e févr: 1771 Je vous demande en grâce,
madame
, de vouloir bien me faire écrire sur le champ, s’
erai dévoué jusqu’à mon dernier soupir. Je voudrais vous accompagner,
Madame
, dans vôtre voiage, mais mon triste état ne me pe
Eh bien,
Madame
, que dites vous à présent de la cabale abominable
quand j’écris ce n’est qu’au milieu des souffrances. Soiez bien sûre,
Madame
, que mes maux ne dérobent rien aux sentiments qui
8e février 1768, à Ferney Je n'écris point,
Madame
, cela est vrai, et la raison en est que la journé
te faveur à laquelle je ne me serais jamais attendu. Vivez longtemps,
Madame
, vous qui avez un estomac et de l'esprit; vous qu
bien dans le commencement de ma Lettre, malgré mon respect pour vous,
Madame
, je vous aime de tout mon cœur. V.
7e xbre 1768 Puisque vous vous êtes amusée de celà,
Madame
, amusez vous de cecyhttp://www.e-enlightenment.co
vez tant connu et qui vous était bien tendrement attaché. Eh pardieu,
madame
, comment pouvais-je faire avec le président? Mill
bre et une belle anecdote. Celà ne tombera pas à terre. Je me flatte,
madame
, que vôtre petite-mère n'a rien à craindre des so
Ferney 26 mars 1774 J’aurais bien envie
madame
de vous payer votre quartier puisque vous dites q
i fait qu’on joue Zaïre en Russie et à Stokolm! Vous souviendrait il,
madame
, que vous m’écrivîteshttp://www.e-enlightenment.c
Vous ne vous souciez guère de tout cela, et vous faites bien. Vivez,
madame
, parlez et portez vous bien. Je suis à vos pieds.
om/item/voltfrVF0950161a_1key001cor/txt/001 Je viens de voir mourir,
madame
, une amie de vingt ans qui vous aimoit véritablem
oit acouchée et qui a causé sa mort ne m'intéressoit pas assez. Hélas
madame
nous avions tourné cet évènement en plaisanterie,
15 auguste 1772 Eh bien,
Madame
, vous voulez que je vous fasse hommage de toutes
je plains fort les pauvres mortels. Je vous souhaitte en particulier,
Madame
, toutes les consolations dont vous êtes susceptib
Ferney 18 novb 1761 Vous m'affligez
madame
, je vous voudrais heureuse dans ce plus sot des m
toujours quelque consolation ou quelque espérance qui soutient. Enfin
madame
je vous exhorte à être toutte la plus heureuse qu
ieux que de s'enuier en province avec une croix d'or. Je vous supplie
madame
de dire à monsieur le président Hénaut combien je
s de Genêve 3e 8bre 1764 Il y a huit jours que je suis dans mon lit,
Madame
. J'ai envoié chercher à Genêve le livre que vous
Je cherche encor un autre secrêt, c'est celui de digérer. Vous voiez,
Madame
, que je me bats les flancs pour trouver la façon
tant qu'on ferait un très bon marché. Faittes donc comme vous pourez,
Madame
, avec vos lumières, avec vôtre belle imagination,
ightenment.com/item/voltfrVF1200215_1key001cor/txt/001 Je soupçonne,
Madame
, que vous vous souciez peu de la métaphisique. Ce
e à souffrir patiemment, ce qui coûte un peu; et à vous être attaché,
Madame
, avec le plus tendre respect. Il ne faut assuréme
. Il ne faut assurément nul effort pour vous aimer. Voulez vous bien,
Madame
, avoir la bonté de me mettre aux énormes pieds de
6_1key001cor/txt/001 Je vous ai plus d'une fois parlé à cœur ouvert,
madame
; il est actuellement fendu en deux, et je vous en
ouscripteurs seront ma sauvegarde. J'aurai l'honneur de vous envoier,
Madame
, les articles de la petite enciclopédie que je cr
u il faut se chaufer doucement au coin du feu qu'on a préparé. Adieu,
Madame
, jouïssez du peu que la nature nous laisse. Soume
24e Mars 1772 Je vous écris,
Madame
, malgré le pitoiable état où mon grand âge, ma ma
r pour leur faire passer le contenu de ma Lettre. Je vous en conjure,
Madame
, par tout ce qu’il y a de plus sacré dans le mond
ous en fesant hardiment ce que je vous demande. Soiez bien persuadée,
Madame
, que vous n’avez pas dans le monde un homme plus
1er Juin 1770 Vous avez dû voir
madame
que je consume ma pauvre vie dans mes déserts de
uères, que des maisons pour les émigrants de Geneve. La protection de
madame
la duchesse de Choiseul leur a fait plus de bien
bontés! Et puis qu'on dise qu'il n'y a point de destinée! C'est vous
madame
qui m'avez valu cette destinée là. C'est à vous q
toujours se résigner. Je ne suis pas capucin pour rien. Résignez vous
madame
à la fatalité qui gouverne ce monde. Horace recom
6e janv. 1771
Madame
, Je suis enterré tout vivant, c’est la différence
ien pour lui faire la Lecture? Mais je commencerais d’abord par vous,
Madame
; ce serait vraiment un joli voiage à faire, que d
contre les Ottomans qu’à la guerre de plume du parlement. Cependant,
Madame
, je vous avoue que vous me feriez grand plaisir d
res de l’église vous savez que je ne m’en mêle pas. Portez vous bien,
Madame
, conservez moi une amitié qui fait ma plus chère
19e avril 1775 Vous me donnez donc,
Madame
, une charge de médecin consultant dans vôtre mais
de l'avis d'un médecin anglais qui disait à la Duchesse de Marlborou,
Madame
, ou soiez bien sobre, ou faittes beaucoup d'exerc
plaint, mais il a des sentiments vertueux et je l'estime. Vous voiez,
Madame
, que je réponds à tous les articles de vôtre Lett
ous quitte pour aller au chevet du lit de ma malade. Suportez la vie,
Madame
, et conservez moi vos bontés. A propos, Madame, o
lade. Suportez la vie, Madame, et conservez moi vos bontés. A propos,
Madame
, ou hors de propos, auriez vous entendu parler d'
nment.com/item/voltfrVF1130379_1key001cor/txt/001 Vous m'avez écrit,
Madame
, une Lettre tout animée de l'entousiasme de l'ami
point. Si vous voulez vous faire lire cet ouvrage, faittes provision,
Madame
, de courage et de patience. Il y a là une fanfaro
laisse pas de décrier leurs espèces. Vous me parlez de mes passions,
Madame
, je vous avoue que celle d'éxaminer une chose aus
ghtenment.com/item/voltfrVF1130379_1key001cor/txt/002 Ne doutez pas,
Madame
, que je n'aie été fort content de Mr Le Chevalier
ers si supérieurs viennent encor s'instruire chez nous. Nonseulement,
Madame
, je suis pénétré d'estime pour Mr Crafford, mais
la sienne. Sain, ou malade, clairvoyant ou aveugle, j'aurai toujours,
madame
, un cœur qui sera à vous, soiez en bien sûre. Je
31e auguste 1764 à Ferney J'apprends,
Madame
, que vous avez perdu Mr D'Argenson. Si cette nouv
n nous traitte comme des marionettes. Je vous crois assez philosophe,
Madame
, pour être de mon avis. Si vous ne l'êtes pas, br
5e Xbre 1770 Vous avez vu,
Madame
, finir vôtre ami que vous aviez déjà perdu. C'est
stament on ne parlât jamais que de ses parents et de ses amis. Adieu,
Madame
, conservez vôtre santé, et quelquefois même de la
19e janv. 1771 Vôtre grand Maman,
Madame
, me fait l’honneur de m’appeller son confrèrehttp
reçue. Je vous conjure de n’en point laisser prendre de copie. Adieu,
Madame
, je souffre beaucoup; je ne pourais rien écrire q
18 février [1760] L'éloquent Ciceron,
Madame
, sans lequel aucun Français ne peut penser, comme
assés passable quand il donne occasion de penser. Puisque vous avez,
Madame
, les poësies de ce roy qui a pillé tant de vers e
s livres valent mieux qu'eux. J'ai l'honneur de vous écrire rârement,
Madame
, ce n'est pas seulement ma mauvaise santé et ma c
nment.com/item/voltfrVF1050148_1key001cor/txt/003Songez à votre santé
madame
, elle sera toujours prétieuse à ceux qui ont le b
tp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180195_1key001cor/txt/001
Madame
, Madame, les imaginations ne dorment point, et qu
.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180195_1key001cor/txt/001 Madame,
Madame
, les imaginations ne dorment point, et quand même
ns il n'y en aura plus, croiez moi sur ma parole. Quoi qu'il en soit,
madame
, buvez et dormez, amusez vous le moins mal que vo
.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180195_1key001cor/nts/009. Adieu,
madame
, je baise vos mains avec mes lêvres fort plates;
6e 7bre 1769 Je viens de faire ce que vous voulez,
Madame
, vous savez que je me fais toujours lire pendant
ose une impertinence qui est d'un ennui mortel. Je vous promets bien,
madame
, de prendre toutes ces sottises en considération
rai l'honneur de vous envoier. Criez bien fort pour ces bons Guebres,
Madame
, criez, faittes crier; dites combien il serait ri
er l'être sans donner le bien être? C'est là ce qui est cruel. Adieu,
madame
, consolons nous.
20e Juin 1764 aux Délices Il faut,
Madame
, que je vous parle nethttp://www.e-enlightenment.
x admirables, je suis alors au comble de ma joie. Jugez de tout celà,
Madame
, si je suis un homme fait pour made De Jeaucour.
n vieil enfant plein d'un tendre et respectueux attachement pour vous
madame
.
21 septbr[1764] Eh bien oui
madame
il serait tout aussi bon pour le moins de n'être
ce que son fils ne m'écrirait pas sur la mort de mon père. Savez vous
madame
qu'il m'en coûte infiniment d'écrire? Je vois à p
n secret de la vieillesse, qu'ils vivent pour eux et pour vous. Adieu
madame
, je vous aime de loin, et je vous aime encor plus
1er 9bre 1769 Si je suis en vie au printems,
Madame
, je compte venir passer dix ou douze jours auprès
s courez, vous soupez, vous conversez, et surtout vous pensez; ainsi,
Madame
, vivez. Je vous enverrai bientôt quelque chosehtt
r. On aime la vie, mais le néant ne laisse pas d'avoir du bon. Adieu,
madame
, je suis à vous jusqu'au moment du néant. Made De
16e 9bre 1773 Vous voulez absolument,
Madame
, que je vous dise si je suis bien content d’un ou
poli et le plus doux des hommes. Vous me parlez de cailloux, eh bien,
Madame
, je vous envoie un petit caillou de mon jardin, q
rVF1240181_1key001cor/nts/004 lui même. Je vous prie de vouloir bien,
Madame
, me mander des nouvelles de la santé de Madame de
17 septb [1759] Il est vrai,
Madame
, que vous êtes dans un couventhttp://www.e-enligh
ightenment.com/item/voltfrVF1040358b_1key001cor/nts/003. Plût à Dieu,
Madame
, que vous pussiez vivre comme moi, et que vôtre s
rages auxquels je m'occupe quand je ne laboure ni ne sème. En vérité,
Madame
, il n'y a pas moyen, tant je suis devenu hardi av
laires; mais je serai bien surpris si l'ouvrage est intéressant. Non,
Madame
, je n'aime des Anglais que leurs livres de philos
as tout lire, et il faut bien se livrer à son goût. Je vous félicite,
Madame
, vous et Mr le Président Hainaut, de vivre souven
s, et vous verrez qu'on ne peut rien vous envoyer qui en approche. Ah
madame
, que le monde est bête! et qu'il est doux d'en êt
nlightenment.com/item/voltfrVF0970242_1key001cor/txt/002 Je me sers,
madame
, des correspondans des négocians de Berlin, pour
persécuter autant que la fortune me favorise. Si l'état de ma santé,
madame
, me permet jamais de revoir la France, un de mes
30e juin 1771 Croiez moi,
Madame
, si quelque chose dépend de nous tâchons tout deu
es détester; mais il me suffit de leur rendre justice. Rendez la moi,
Madame
, après cinquante années de connaissance ou d’amit
0386b_1key001cor/txt/002 May 1764 Vous me faittes une peine extrème,
Madame
, car vos tristes idées ne sont pas seulement du r
p://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1110386b_1key001cor/txt/012,
Madame
, ce que j'imagine pour remêde. Il n'a dépendu ni
.com/item/voltfrVF1110386b_1key001cor/txt/013Dites moi, je vous prie,
Madame
, vôtre critique de ma critique sur un endroit des
ours plus mauvaise, tout le monde n'est pas comme Fontenelle. Allons,
Madame
, courage, trainons nôtre lien jusqu'au bout. http
13 oct. [1759] Il est bien triste,
madame
, pour un homme qui vit avec vous, d'ètre un peu s
entend pas qui est le plus malheureux. Je n'écris à Paris qu'à vous,
Madame
, parce que vôtre imagination a toujours été selon
Laissez moi lire l'Ecriture sainte, et n'en parlons plus. Mais vous,
Madame
, prétendez vous lire comme on fait la conversatio
ltfrVF1040397b_1key001cor/nts/002. Si vous êtes une honnête personne,
Madame
, comme je l'ai toujours crû, j'aurai l'honneur de
remiers commis n'ont aucune part à cette gloire. Que lirez vous donc,
Madame
? Le Duc d'Orléans régnant daigna un jour causer a
lais aussi mal que nous nous battons contre eux sur mer. Plût à Dieu,
Madame
, pour le bien que je vous veux, qu'on eût pû aumo
xt/002 qu'à demi que de n'oser penser qu'à demi. Avez vous jamais lu,
Madame
, la faible traduction du faible anti Lucrece du c
15, à commencer par Joly de Fleuri. Vous me demandez ce que je pense,
Madame
; je pense que nous sommes bien méprisables, et qu
irey par Vassy en Champagne ce 18 mars 1736 Une assez longue maladie
madame
, m'a empêché de répondre plutôt à la lettre charm
s vous dès les premiers vers que ce Gusman feroit pendre son père. Eh
madame
le premier vers qu'il dit est celuy cy, Quand vo
nœuds avec les autres femmes, mais parlez moy raison. Je vous suplie
madame
de me ménager les bontez de mr le p. Henaut. C'es
aux Délices, 5 may [1756]
Madame
, Je suis rempli d'étonnement et de reconnaissance
se plaindre, et il faut souffrir ses coliques patiemment. Je présume
madame
que vous tirez un bien meilleur parti encore de v
t.com/item/voltfrVF1010176_1key001cor/txt/002 qu'elle se rende. Adieu
madame
, soyez sûr que le bord du lac Léman n'est pas l'e
tfrVF1110447_1key001cor/txt/001 Nôtre commerce à tâtons devient vif,
madame
. Vôtre grande tante faisait très bien de prendre
trouve. Vous ne vous attendiez pas à être chargée d'une négociation,
Madame
. C'est icy où le quinze vingt des alpes a besoin
la fortune a fait à l'un, et que la nature a fait à l'autre. aAdieu,
Madame
, pour moi je serai consolé si vous me déffendez d
frVF1140055b_1key001cor/txt/001 janv. 1766 Je me jette â vos genoux,
Madame
; je vois par vôtre Lettre du 6e http://www.e-enli
qui n'est pas dans ce caractère me glace et me révolte. Je vous aime,
Madame
, parce que j'aime le vrai; en mot, je suis au dés
ez; tout le reste en vérité est bien peu de chose. Faittes vous lire,
madame
, le rogaton que je vous envoie; et ne le donnez à
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