/item/voltfrVF1070085a_1key001cor/txt/001 Tenez madame, faittes vous
lire
ce brimborion dans vos moments de loisir. Puisse
e est un fonds triste qu'il faut éguaier par des couleurs claires. Ne
lisez
un chant de la pucelle que quand vous aurez achev
tions voicy un petit billet pour Le Kain, que je mets dans ma Lettre.
Lisez
ce billet, ou plutôt faittes vous le lire, puis f
ue je mets dans ma Lettre. Lisez ce billet, ou plutôt faittes vous le
lire
, puis faittes le cacheter. Je ne vous parlerai po
es loix de Minos. Je vous avouerai, Madame, que j’aimerais mieux vous
lire
cette tragédie crétoise, que de la faire lire par
e j’aimerais mieux vous lire cette tragédie crétoise, que de la faire
lire
par un autre; mais j’ai fait vœu de ne point alle
été selon mon coeur, mais je ne vous passe point de vouloir me faire
lire
les romans anglais quand vous ne voulez pas lire
de vouloir me faire lire les romans anglais quand vous ne voulez pas
lire
l'ancien Testament. Ditesmoi donc, s'il vous plai
ble que le caractère d'un barbier. Vous me demandez ce que vous devez
lire
, comme les malades demandent ce qu'ils doivent ma
d on lit pour s'instruire, on voit tout ce qui a échappé lorsqu'on ne
lisait
qu'avec les yeux. Mais vous qui ne vous souciez p
vantes, mais parce qu'ils cultivaient la terre comme moi. Laissez moi
lire
l'Ecriture sainte, et n'en parlons plus. Mais vou
iture sainte, et n'en parlons plus. Mais vous, Madame, prétendez vous
lire
comme on fait la conversation? prendre un livre c
la conversation? prendre un livre comme on demande des nouvelles? le
lire
et le laisser là? en prendre un autre qui n'a auc
un quart d'heure d'amusement pour vous deux, et c'est beaucoup; vous
lirez
celà quand vous n'aurez rien à faire du tout, qua
i l'histoire de France est un beau morceau à traitter amplement, et à
lire
. Ce qui fait le grand mérite de la France, son se
endants, et vos premiers commis n'ont aucune part à cette gloire. Que
lirez
vous donc, Madame? Le Duc d'Orléans régnant daign
or/txt/002 qu'à demi que de n'oser penser qu'à demi. Avez vous jamais
lu
, Madame, la faible traduction du faible anti Lucr
je ne pourai. En attendant, seriez vous assez hardie pour vous faire
lire
seulement quarante, ou cinquante pages de ce Desc
us êtes de ce petit nombre; mais à quoi celà sert-il? à rien du tout.
Lisez
la parabole du Braminhttp://www.e-enlightenment.c
tera que deux Louïs parce que je veux que les pauvres connaisseurs le
lisent
, et que les rois le paient. Adieu, Madame, suppor
Adieu, Madame, supportez la vie et le siècle. Quand vous vous faites
lire
, ayez soin qu'on vous lise d'abord les nottes mar
a vie et le siècle. Quand vous vous faites lire, ayez soin qu'on vous
lise
d'abord les nottes marginales qui indiquent les m
ion nouvelle par Mr D'Ogny. Je vous conseille de ne vous jamais faire
lire
de vers; car outre qu'on en est fort las, ils son
de vers; car outre qu'on en est fort las, ils sont trop difficiles à
lire
; vous trouverez mieux Vôtre compte avec de la pro
s trouverez mieux Vôtre compte avec de la prose. Je vous prie même de
lire
une note qui se trouve à la fin de la Tactique da
la que ce que Je vous ay toujours dit, que mr de Choiseul ne cesse de
lire
ses ouvrages et de les admirer avec tout le plais
d qu'il me rend malade) c'est de ne sçavoir absolument ce que Je peux
lire
, tout m'ennuy à la mort; L'histoire, la morale, l
istoire, la morale, les Romans, les pièces de théâtre. Vous me direz,
lisez
moi; c'est assurément ce que Je fais, mais àforce
irez, lisez moi; c'est assurément ce que Je fais, mais àforce de vous
lire
et de vous avoir lû je vous sçay presque par cœur
e le croirois si Je ne retrouvois pas encore infiniment de plaisirs à
lire
vos lettres et les petittes pièces que vous nous
faire ce que vous voulez, Madame, vous savez que je me fais toujours
lire
pendant mon diner. On m'a lu un éloge de Moliere
me, vous savez que je me fais toujours lire pendant mon diner. On m'a
lu
un éloge de Moliere qui durera autant que la lang
rera autant que la langue française, c'est le Tartuffe. Je n'ai point
lu
celuihttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF
principalement le théâtre où l'on aplaudit à des pièces qu'on ne peut
lire
; c'est la manie de donner des préceptes quand on
ls sont devenus Welches. Ce sont les derniers chapitres que vous avez
lus
qui sont assurément d'une autre main, et d'une ma
meilleur des mondes possibles. Je vous demande en grâce de vous faire
lire
le mémoire que Mr De Beaumont a fait pour cette f
tunée. Il sera bientôt imprimé. Je prie Mr Le Président Hainaut de le
lire
attentivement; vos suffrages serviront beaucoup à
er moi même ces pauvres gens auxquels il promettait sa protection; il
lut
ma Lettre devant un fils de Mr Tronchin qui est s
s encor, Madame, que feu Mr Le Dauphin, qu'on ne peut assez regreter,
lisait
Loke dans sa dernière maladie? J'ai apris avec bi
ans éxception, le plus susceptible d'un grand fracas. Faittes vous en
lire
les paroles qui sont dans mes œuvres, et vous ver
avec le goust et la sensibilité éclairée que vous avez de ne pouvoir
lire
Virgile. Je vous plaindrais bien davantage, si vo
e ne pouvoir lire Virgile. Je vous plaindrais bien davantage, si vous
lisiez
des annales. Quelques courtes qu'elles soient, l'
or/txt/001 Je vous écris rarement madame, quoy qu'après le plaisir de
lire
vos lettres celuy d'y répondre comme je peux soit
la me parviendra. Chargez vous de mon amusement. Je ne peux plus rien
lire
de tout ce qu'on Ecrit; ce n'est pas que je veuil
i le bel esprit, mais c'est que L'ennuy me surmonte. On me propose de
lire
les remontrances, les mandements, les instruction
e répond, qu'est çe que tout cela me fait? J'ay cependant éssayé d'en
lire
, mais le peu de bon raisonnement, de vérité qu'on
e sçay pas le titre; Je voudrois avoir tout cela. Je ne sçay plus que
lire
. Voilà pour la quatrième fois que je fais la tent
us que lire. Voilà pour la quatrième fois que je fais la tentative de
lire
mr de Buffon, et Je ne puis pas tenir à l'ennuy q
vous en à vous, si je suis devenüe difficile. Me soupçonnez vous, de
lire
tous les Ecrits dont nous sommes inondés? Pour me
e lire tous les Ecrits dont nous sommes inondés? Pour me forcer à les
lire
, on me dit qu’il y en a de vous; Je les parcourt;
6 aoust 1773 Depuis sept ou huit Jours, monsieur, Je me fais
lire
vos lettres. Je les ay toutes conservées. J’y ay
De Voltaire. Est elle longue? Oui, elle a quatre pages. A tant mieux,
Lisez
la promptementhttp://www.e-enlightenment.com/item
l n’y a que la clarté et le charme de votre stile qui puisse me faire
lire
les choses dont le fond ne m’intéresse point. Je
vous amuseront, et d'autres qui demandent un peu d'attention. Si vous
lisez
le cathéchisme des Japonois vous y reconnaîtrez a
incal, Calvin et Luther, et ainsi du reste. Je vous exhorte surtout à
lire
le cathéchisme chinois, qui est celui de tout esp
es sept premiers volumes de votre dernière Edition. Je m'en suis fait
lire
les tables. Tous vos ouvrages seront ils compris
que pour avoir connoissance des autres livres, bien déterminée à n'en
lire
aucuns Entierrement. C'est mad. de Luxembourg qui
d’maman en lui envoyant votre épître, que par parenthèse j’avais déjà
lue
quand elle l’a reçue: ‘Si cette épître trouvait
de la main d’un diable forcé à honorer les saints. Quand vous l’aurez
lu
je voudrais que vous me dissiez de qui vous le cr
8b_1key001cor/nts/004 dont vous me parlez, je vous avoüerai que je ne
lis
que l'ancien Testament, trois ou quatre chants de
om/item/voltfrVF1040358b_1key001cor/nts/007, mais on ne peut pas tout
lire
, et il faut bien se livrer à son goût. Je vous fé
vôtre santé, continuez à faire le charme de la société, faittes vous
lire
des livres qui vous amusent. Vous ne pouvez lire
ociété, faittes vous lire des livres qui vous amusent. Vous ne pouvez
lire
L'Ariostehttp://www.e-enlightenment.com/item/volt
gue, et en celà je vous plains beaucoup; mais croyez moi faittes vous
lire
la partie historique de L'ancien Testament d'un b
; vous passerez les chapitres qui vous ennuieront, et vous vous ferez
lire
les autres.http://www.e-enlightenment.com/item/vo
voltfrVF1180299_1key001cor/txt/002 Vous me demandez, madame, si j'ai
lu
des lettres sur les animauxhttp://www.e-enlighten
voltfrVF1180299_1key001cor/nts/001 écrites de Nuremberg. Ouï, j'en ai
lu
deux ou trois il y a plus d'un an. Vous jugez bie
t rien, et les espèces sont éternelles. Je ne crois pas que vous aiez
lu
les Lettres de Memmius à Cicéron, dont la traduct
t s’amuser. J’ignore si vous avez le tems et la volonté de vous faire
lire
bien posément, ces lettres de Memmius. Les idées
de mes fluxions sur les yeux, mes journées entières sont consacrées à
lire
. Si je vois quelques étrangers ce n’est que pour
pas aussy à vôtre goût, et à vos jugements, J'ajoute à vôtre vérité.
Lisez
vous tous les mémoires dont nous sommes innondés?
son; La mienne s'accomode bien de la vôtre, Je voudrois toujours vous
lire
, et c'est le parti que je seray forcée de prendre
Je paye bien cher le plaisir que vous me donnez; Je ne peux plus rien
lire
; J'ouvre un livre qu'on me vante; ce sont des lie
s extravagances, un stile abominable; Je rejette le livre, Je me fais
lire
du Voltaire, quelquefois mad. de Sévigné, Hamilto
e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180355_1key001cor/nts/009&c. Je
lis
aussi parfois quelque traductions des anciens et
voir le goût dépravé que de m'ennuyer de leurs ouvrages; ce soir nous
lirons
votre Epitre à Boileauhttp://www.e-enlightenment.
re 1759 Je me plaignois à vous monsieur, de ce que je ne sçavois que
lire
. Hé bien, le gouvernement y a pourvû, on vient de
il y en a vingt sur la tête de sa femme. Quel conseil me donnez vous?
Lire
l'ancien testament! C'est donc parce qu'on n'aura
rois tout cela ennuyeux, je n'aime point à sentir que l'auteur que je
lis
songe à faire un livre. Je veux imaginer qu'il ca
s les Jours de nouveaux dégoûts? Je suis sans contredit La dernière à
lire
toutes vos petites brochures. Ne m'allez pas dire
La D. de Choiseul J'aurois la honte et encore plus l'ennuy de ne rien
lire
de vous. Est ce ainsy qu'on traitte sa plus ancie
ette Tragédie aura aumoins un avantage auprès de vous, ce sera d’être
lue
par le plus grand acteurhttp://www.e-enlightenmen
6 que nous aions. A l’égard de l’épitre, il est impossible de la bien
lire
sans être aufait. Vous n’aurez nul plaisir; mais
F1180150a_1key001cor/nts/003. Je vous envoie cela. Si votre ami avait
lu
cela et bien d'autres choses faites comme cela, i
tort si vous n'avez pas Eû de mes nouvelles; mon premier soin fut de
lire
votre préface et deux ou trois chapitres; Je vous
une de mes insomnies. Au Réveil de mon secrétaire Je le lui donnay à
lire
, il n'en pût presque rien déchifrer, Je ne me sou
vous me dites; et Dalambert sera bien surpris quand Je lui donneray à
lire
votre lettre, ce sera un grand triomphe pour moi.
ante, et Corneille m'ennuie. Je vous avouerai même que je n'ai jamais
lu
, ni le lirai, une douzaine de ses pièces, que grâ
orneille m'ennuie. Je vous avouerai même que je n'ai jamais lu, ni le
lirai
, une douzaine de ses pièces, que grâce au ciel je
laisir, faittes vous relire Racine par quelqu'un qui soit digne de le
lire
; mais pour bien le goûter rappellez vous vos bell
dicte ma lettre en Essayant mon habit de théâtre. Vous vous êtes fait
lire
sans doûte le 15ème Chapitre de Belisaire, c'est
ition, et Je vous prieray d'en Juger, pourvû que vous vous la fassiez
lire
par quelqu'un qui sache lire des vers, c'est un t
n Juger, pourvû que vous vous la fassiez lire par quelqu'un qui sache
lire
des vers, c'est un talent aussy rare que celui d'
z le moy et je vous donnerai l'absolution. Si vous voulez vous amuser
lisez
le pauvre diable et le russe à Paris. J'imagine q
se vous plaira davantage par ce qu'il est sur un ton plus noble. Vous
lisez
les ordures de Fréron. C'est une preuve que vous
rs. Je m'amusais à faire des contes de ma mère l'oye, ne pouvant plus
lire
du tout. Je ne suis pas précisément comme vous, m
qui paraissent tous les mois, il y en a un de passable, on se le fait
lire
, et c'est encor un petit amusement. Tout celà n'e
tre jour que Je ne serois nullement fâchée si l'on me condamnoit à ne
lire
qu'un seul auteur pourvû que l'on m'en laissât le
i j'avois reçû cette condamnation parcequ'en effet je ne pouvoit plus
lire
que vous. Je voudrois sçavoir si l'on oseroit m'a
e mets à profit les temps où mes fluxions sur les yeux m'empêchent de
lire
. Je voudrais surtout passer ces temps avec vous.
pêchent de lire. Je voudrais surtout passer ces temps avec vous. J'ai
lu
la réponse du roi au parlement. Je m'imagine que
y001cor/nts/001 très indignes de vous, tant je compte sur vos bontez.
Lisez
les vers, quand vous serez dans un de ces moments
de loisir où L'on s'amuserait d'un conte de Bocace ou de la Fontaine,
lisez
la prose quand vous serez un peu de mauvaise hume
grande diférence pour la société et la compagnie. Je ne sçay plus que
lire
. http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1050
m'interdiray de vous le dire. Permettez moi de finir par un conseil.
Lisez
la fable du Rat, de la grenouille et de l'aigleht
lation. Vos Lettres y suppléent, je crois vous entendre quand je vous
lis
. Jamais personne n'a eu l'esprit plus vrai que vo
digérez; tout le reste en vérité est bien peu de chose. Faittes vous
lire
, madame, le rogaton que je vous envoie; et ne le
agréables. La Grand Maman ne veut laisser à personne le soin de vous
Lire
, elle s'en acquitte supérieurement, avec un sons
nlightenment.com/item/voltfrVF1180405_1key001cor/nts/003 me charment;
Lisez
la princesse printannière, je suis persuadée qu'e
gence, voicy trois feuilles qui me tombent sous la main. Faittes vous
lire
seulement les articles Adam et adultère. Nôtre pr
est toujours quelque chose de piquant. Vous pouriez aussi vous faire
lire
l'article adorer, parce qu'il y a réellement une
r les autres. Si mr Walpole est à Paris, je vous prie de lui donner à
lire
la page 76 de la feuillehttp://www.e-enlightenmen
le peut) les choses que comme elles sont. Si vous daignez vous faire
lire
la feuille que je vous envoie (laquelle n’est qu’
épartement est l'abîme du néant éternel où je vais bientôt entrer. Je
lis
tous les ouvrages philosophiques de Ciceron sur c
ron sur ce sujet plus usé qu'aisé, et je ne vous conseille pas de les
lire
, car quoi que ce grand homme soit très éloquent i
://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1040423_1key001cor/txt/001 Je
lis
l'histoire parcequ'il faut sçavoir les faits jusq
ir pensé tout cela car je l'ay toujours eû en horreur; enfin quand je
lis
vos jugemens sur quelque chose que ce puisse être
e président vous fait mil tendres compliments. Il a bien du plaisir à
lire
ce que vous m'écrivez.http://www.e-enlightenment.
temps présent. Je crois qu'il vaut mieux commenter Corneille, que de
lire
ce qu'on fait aujourd'hui. Toutes les nouvelles a
et par l'excèz de ses misères. Je vous sçais bien bon gré, madame, de
Lire
l'histoire d'Angleterre par Thoirashttp://www.e-e
d vous recevrez ce paquet, je voudrais que vous pussiez vous le faire
lire
ensemble, c'est une de mes dernières volontés. J'
cor/nts/005 que j'avais trouvé un admirable secret, c'est de me faire
lire
et relire tous les bons livres à table, et d'en d
est très juste, et tombe sur le plus détestable fou que j'aie jamais
Lu
. Son Héloïse me parait écrite moitié dans un mauv
int de Dieu. Ce livre effraie tout le monde, et tout le monde veut le
lire
. Il est plein de longueurs, de répétitions, d'inc
enlightenment.com/item/voltfrVF1210039_1key001cor/nts/004 que vous ne
lisez
point, et que je lis pour mon plaisir. Vous devez
voltfrVF1210039_1key001cor/nts/004 que vous ne lisez point, et que je
lis
pour mon plaisir. Vous devez être informée de la
dit, je reconnais bien, à votre stile, l'auteur de ces fameux noëls,
Lisez
la loi et les prophêtes, Profitez de ce qu'ils on
me, à condition qu'elle le jettera au feu dès qu'elle se le sera fait
lire
. Madame était si entousiasmée de Claricehttp://ww
llumait le sang; il est cruel pour un homme aussi vif que je suis, de
lire
neuf volumes entiers, dans lesquels on ne trouve
n'en permettra jamais le débit en France. Si j'étais à Paris je vous
lirais
en français quelques unes de ces Lettres, aiant l
t on accable Louis 16. Je le plaindrais fort s'il était obligé de les
lire
. Vous devez être instruite, Madame, si Monsieur l
ne le croirait pas; vous ne m'en croirez pas vous même en vous fesant
lire
ma Lettre. Cependant, rien n'est plus vrai. Cette
la pluralité de deux voix. Il y avait six mille pages de procédures à
lire
. Vous sentez bien que Messieurs n'en eurent pas l
mad. La D. de Choiseul m'avoit encouragée à prendre la liberté de la
lire
, J'avois bien envie de pousser la témérité plus l
core pû parvenir à le voir. Je m'éveille tout le Jours à 6 heures, Je
lis
Jusqu'à dix ou onze; rien ne m'attriste autant qu
a point d'auteur qui ne s'en soit enrichi. J'admire votre patience de
lire
les ouvrages les plus ennuyeux du monde. Je ne su
ance ait jamais eus. Si je ne peux voir mr le président Henaut, je le
lis
, et je croi que je sçai son livre àprésent mieux
utte la patience dont je suis capable. J'aimerais bien mieux la faire
lire
à des personnes de votre espèce que de l'exposer
Je ne le devine pas. Nous avons les poésies du Roy de Prusse, J'en ay
lu
très peu de choses, et Je vous prie de ne me poin
lu très peu de choses, et Je vous prie de ne me point condamner à en
lire
davantage. Si vous reveniez dans ce paÿs cy monsi
discours de l'académie, Comment tout cela vous paroit il? Vous ne les
lisez
point et vous faite bien; pour moy je ne sçaye pl
oint et vous faite bien; pour moy je ne sçaye plus ce que je pourrois
lire
, hors vous et les auteurs du siècle passé tout m'
la tournure que vous voudrez lui donner), sur notre Moliere. L'on me
lût
hier l'Ecrit qui a remporté le prix à L'académieh
om/item/voltfrVF1110429_1key001cor/txt/002que la lecture; que peut on
lire
? que les réflexions;http://www.e-enlightenment.co
01cor/nts/006 de Rousseau, où il parle de mr de Luxembourg? J'ay fait
lire
à mad. de Luxemb͞. ce que vous m'avez écrit pour
e st Lambert m'ont rendu la campagne encor plus précieuse. Je me fais
lire
à diner et à souper de bons livres par des lecteu
respect, est précieux, parce qu'il est corrigé en marge. Faittes vous
lire
la prison de La Bourdonnaishttp://www.e-enlighten
jeune homme toute votre éloquence et toutes vos bontés. Faittes vous
lire
la pièce par un bon récitateur de vers. Vous verr
e volume énorme du Systême de la nature, que sûrement vous n'avez pas
lu
. Car la matière a beau être intéressante, je vous
Paris ce 26 avril 1772 Pouvez vous croire que Je ne
lise
point votre enciclopédie? J'ay été toute des prem
embrasser encore une fois avant nôtre entière séparation. Je viens de
lire
une brochure de soixante et trois pages. Si elle
ien, Madame, j'écris très souvent quand j'ai des thêmes. Faittes vous
lire
la Lettrehttp://www.e-enlightenment.com/item/volt
atières, c'est le philosophe ignorant et la religion naturelle que Je
lis
avec [le] plus de plaisir. Je ne me tourmente poi
de vos contemporains, c’est un genre tout neuf et qui me renvoye à ne
lire
que le siècle de Louis XIV, et à ce qu’on a Ecrit
/voltfrVF1180419b_1key001cor/nts/005. Je parie que vous n'avez jamais
lu
Cléliehttp://www.e-enlightenment.com/item/voltfrV
vous pas apris l'italien? Que vous êtes à plaindre de ne pouvoir pas
lire
dans sa langue L'Arioste si détestablement tradui
savante, et était certainement plus tracassière. Si vous vous faites
lire
l'histoire, vous aurez remarqué que depuis Franço
ssible. Ayez la bonté de m'en dire des nouvelles. Vous étes vous fait
lire
le père de famillehttp://www.e-enlightenment.com/
le dis aujourd’huy pour la dernière, qu’il n’y a que vous que je peut
lire
. Envoyé moy donc généralement tout ce que vous fa
i, il faut le bien dire, et puis celà n’est bon que pour ceux qui ont
lu
Tibulle en latin, et vous n’avez pas cet honneur.
connoissance; d'ailleurs vos Exemples en sont le corectif; qu'on vous
lise
avec attention et que l'on Juge après si l'on vou
e, ni sur mer, ni en vers, ni en prose; je songe à ce que vous pouvez
lire
d'intéressant, Madame; lisez les gazettes, tout y
i en prose; je songe à ce que vous pouvez lire d'intéressant, Madame;
lisez
les gazettes, tout y est surprenant comme dans un
votre histoire du czar, J'ay grand besoin de lecture qui m'amuse, Je
lis
six ou sept heures par Jour ou par nuit et J'ay t
on la lû devant un certain mr Turgot qui retient tout ce qu'il entend
lire
, et Je fus confondüe quelques Jours après d'appre
rop bien traitté en me laissant voir le soleil et en me permettant de
lire
http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF11700
très grand gré de m'avoir justifié; sans celà, prèsque tous ceux qui
lisent
ces petits ouvrages m'auraient imputé le complime
vous en disiez je ne regarde ce goût que comme une passade. Avez vous
lu
l'histoire d'Angleterre de mr Hume? Il y a là de
es, mais qui sont toutes d’une vérité incontestable. Faittes vous les
lire
, elles vous amuseront aumoins autant qu’une feuil
éresse. Votre société doit faire l'unique charme de sa vie. Avez vous
lu
la conversation de l'abbé Grizel, et d'un intenda
nsolez moi, Ecartez les vapeurs noires qui m'environnent. Je viens de
lire
une histoire d'Ecosse qui n'est pour ainsi dire q
lle console, et c'est beaucoup. Il y a encorun autre secrêt, c'est de
lire
les gazettes. Quand on voit, par éxemple, que le
peine, j'en seray fort aise, parce que j'auray toujours du plaisir à
lire
ce que vous Ecrirez; laissez, laissez au Présiden
e vous envoiasse quelques chapitres. Mais j'ai peur qu'aiant beaucoup
lu
et beaucoup réfléchi, vous ne soiez plus amusable
aimez Horace, si vous souffrez encor les vers, si vous avez envie de
lire
les miens. Vous n’aurez cette épitre que quand vo
erait un écu, et elle ne le vaut pas. Je voudrais savoir si vous avez
lu
le livre de Nekrehttp://www.e-enlightenment.com/i
c'est le temps le plus agréablement emploié de ma vie, après celui de
lire
vos Lettres. Vous méprisez trop Ezéchiel, Madame;
répondu à tous les articles de vôtre Lettre? suis-je un homme qui ne
lise
pas ce qu'on lui écrit? suis-je un homme qui écri
r; sans vous, mes nuits serait insupportable. Je les passe à me faire
lire
ce que vous m'envoyé; vos correspondans en Hollan
ightenment.com/item/voltfrVF1200045_1key001cor/nts/001. Je n'en ai pu
lire
que quelques pages. Mes yeux me refusent le servi
nment.com/item/voltfrVF1180381_1key001cor/txt/003 aussi. Faittes vous
lire
s'il vous plait l'article nécessaire, dans un cer
calculs impossibles. C'est un galimatias qui fait pitié. J'aime mieux
lire
un conte de Lafontaine (quoique par parentèse ses
rir à Plombières. Je prendray les eaux en n'y croyant pas, comme j'ay
lu
les pères. J'exécuteray vos ordres madame auprès
œur au pied des Alpes; et de dépit, je fais faire un baldaquin, et je
lis
assidüement L'Ecriture Sainte, quoique j'aime enc
les envoier. Et vous, Madame, comment feriez vous pour vous les faire
lire
? Ces petits ouvrages sont pour la plupart d'une p
illars dans ses dernières années; la pauvre femme allait au salut, et
lisait
en bâillant les méditations du père Croizethttp:/
être regardé comme le plus méchant des hommes. Je n'ai pas même voulu
lire
un seul des écrits qu'on a faits contre lui dans
i ne le leur ressemblent pas ne sçauroit me séduire. Quand je ne vous
lis
pas, sçavez vous quelle est ma lecture favorite?
e son héritier? Le rôle de ce prêtre est abominable. Avez vous jamais
lu
, madame, la Tragédie de Saül et de David? On l'a
s d’accadémie, vous sçavez que le p. de Beauvau y va être reçû; il me
lût
hier son discourshttp://www.e-enlightenment.com/i
vivent comme des fous, et meurent comme des sots; celà fait pitié. Ne
lisez
vous pas quelquefois l'histoire? Ne voiez vous pa
.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1180275_1key001cor/nts/001, eût osé
lire
à l'accadémie de Toulouse un ouvrage qu'il aurait
Si vous l'avez lû dites m'en votre avis, et si vous ne l'avez pas lû
lisez
le Je vous suplie. Le stile est entre le vôtre et
je vous parle de cette histoire du parlement que vous vous êtes fait
lire
. Vous vous apercevrez aisément que les deux derni
▲