de tout vôtre cœur. Il est plaisant que vous vous donniez le droit de haïr tous ces messieurs, et que vous ne vouliez pas qu

lège exclusif de la haine; Eh bien, Madame, je vous avertis que je ne hais plus la Blétrie, que je lui pardonne, et que vous

plus la Blétrie, que je lui pardonne, et que vous aurez le plaisir de haïr toute seule. Vous ne m'avez rien répondu sur l'ét

je n’étais point leur ami. Je suis fidèle à toutes mes passions. Vous haïssez les philosophes, et moi je hais des tirans bourge

fidèle à toutes mes passions. Vous haïssez les philosophes, et moi je hais des tirans bourgeois. Je vous ai pardonné toujour

is qu'on représente tous les jours le Tartuffe. Ce n'est pas assez de haïr le mauvais goût, il faut détester les hipocrites

erre. Vous ne détestez pas assez ces monstres là, je vois que vous ne haïssez que ce qui vous ennuie; mais pourquoi ne pas haïr

vois que vous ne haïssez que ce qui vous ennuie; mais pourquoi ne pas haïr aussi ceux qui ont voulu vous tromper et vous gou

il n'y a pas grand mal, il n'a point d'enfans, mais surtout qu'il ne haïsse point les philosophes, parce qu'il a plus d'espri

u'il a plus d'esprit qu'eux tous; c'est une fort mauvaise raison pour haïr les gens. http://www.e-enlightenment.com/item/vo

ains, mais tout ce qui tombera entre vos mains. Où prenez vous que Je hais la philosophie? Malgré son inutilité Je l'adore;

où l'on est party. A l'égard des philosophes il n'y en a aucun que Je haïsse , mais il y en à bien peû que J'estime. Il y à une

15 may 1771 Non, non, Je ne haït point La Philosophie, mais j’estime peu, ceux qui

environne, tout ce que je rencontre qui me déplaît le plus, ce que Je hais le plus, ce que je voudrois pouvoir fuir, c’est m

t le goût en partage? Vous êtes sotte et mal avisée, vous vous faites haïr en contredisant, en blâmant. Eh que vous fait tou

contre la plus ancienne et la meilleure de vos amies. Votre livrée me hait , je sais bien pourquoi. Je n’ai point devant eux

érité pas laquelle des deux mérite la préférence; je crains l’une, je haïs l’autre. Ah si on avoit un véritable ami, on ne s

les gens qui pensent, orgueilleux, haineux, vindicatifs; ils feroient haïr la philosophie. Est il possible que votre rancune

L'a b c est trop l'éloge du gouvernement anglais. On sait combien je hais la liberté, et que je suis incapable d'en avoir f

30330_1key001cor/nts/003, on y Estime et admire vos talents sans vous haïr ni vous persécuter. Vous Jouissez encore d'un for

sprit malgré vous; vous dites ce que vous pensez avec sincérité. Vous haïssez trop les philosophes; mais vous avez plus d'imagi

arracher. Vous direz que Je vous dis toujours du mal d'Eux. Je ne les hait point Je vous le Jure, mais Je leur sçait bien ma

s; ces gens là ne sont pas tous philosophes. Mon Dieu, madame, que je hais ce que vous sçavezhttp://www.e-enlightenment.com/

re, je me débats contre mon éxistence que je maudis et que j'aime; je hais la vie et la mort; qui me consolera, qui me souti

de la Duchesse de Luxembourg me rendra la justice de croire que je ne hais point un homme qu'elle protège, et que je suis bi

t un mal avisé? Et vous, Madame, il faut que je vous gronde. Pourquoi haïssez vous les philosophes quand vous pensez comme eux?

sçay plus m'exprimer. Mais ne parlons plus de moi, je suis ce que Je hais le plus dans le monde.http://www.e-enlightenment.

s languissante que touchante, plus gourmé que majestueuse, et puis je hais les diables à la mort. Je ne sçaurois vous dire l

manière de penser; j'ai quelquefois des expréssions si téméraires; je hais si fort les pédants; j'ai tant d'horreur pour les