770, à Ferney Je suis un ingrat, Madame, indigne de vous et de vôtre
grand-maman
. Je ne mérite pas de voir le jour, aussi je ne le
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inconstante, volage, cruelle, elle me comblait to
005, que vous pourez jetter dans le feu s'il ne vous plait pas. Vôtre
grand-maman
me dira si elle veut, ce que c'est que sa jolie â
et je ne prendrai pas certainement la liberté de la demander à vôtre
grand-maman
. Vous lui en parlerez si vous voulez, Madame; mai
t, Fais moi rire, et qui ne peut en venir à bout. J'imagine que vôtre
grand-maman
est une vraie philosophe; elle s'en va voir sa co
ersonne ne s'attendait. C'est de quoi éxercer la philosophie de vôtre
grand-maman
. La mienne consiste à souffrir patiemment, ce qui
bien, Madame, avoir la bonté de me mettre aux énormes pieds de vôtre
grand-maman
? V.
22e fevrier 1769 Vôtre
grand-maman
, Madame, doit vous avoir communiqué la canonisati
lé les singularités de la nature, je vous l'enverrai ainsi qu'à vôtre
grand-maman
; vous passerez les chapitres qui vous ennuieront,
m/voltfrVF1180299_1key001cor/nts/007 qu'on a faittes au mari de vôtre
grand-maman
. Vous ne m'en parlez jamais; vous avez tort, car
je ne cesserai jamais de vous répéter ma profession de foi pour votre
grand-maman
. Je vous dirai toujours qu’indépendament de ma re
gloire à ne pas bouger; & voilà ce que vous devriés dire à votre
grand-maman
. Adieu, Madame. Mes misères saluent les vôtres, a
e j'écrivais quand j'avais des Thêmes. J'ai hazardé d'envoier à vôtre
grand-maman
ce que vous demandiez. Celà lui a été adressé par
'avez jamais voulu me dire si Messieurs de la poste faisaient à vôtre
grand-maman
la galanterie d'afranchir ses ports de Lettres. I
de personne. Je repasse dans ma mémoire toutes les bontés dont vôtre
grand-maman
et son mari m’ont comblé. J’en parle tous les jou
moi, plus sensible à vôtre mérite, plus entousiaste de vous, de vôtre
grand-maman
et de son mari. V.
devez avoir une consolation bien touchante dans le commerce de vôtre
grand-maman
, mais elle ne peut vous voir que rârement; elle e
s grand plaisir, Madame, de me dire que vous ne craignez rien pour Mr
grand-maman
. J'ai un peu à me plaindre d'une personnehttp://w
es. Le seul homme presque, de l'âme de qui je fasse cas, est monsieur
grand-maman
; mais je me garde bien de le lui dire. Pour vous,
is je l'ai égaié selon ma coutume; on meurt comme on a vécu. Si votre
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est chez vous quand vous recevrez ce paquet, je v
s parts qu'elle a un cœur charmant. Tout cela joint ensemble fait une
grand-maman
fort rare. Malgré le penchant qu'ont les gens de
nt. Vous me devez justice, et je vous demande justice auprès de vôtre
grand-maman
. Puisque vous m’envoiez ce qu’elle vous écrit pou
lui donc ce que je vous écris pour elle, et songez que vous et vôtre
grand-maman
vous êtes mes deux passions, si vous n’êtes pas m
reste pour vous écrire, et pour vous suplier de faire passer à vôtre
grand-maman
la lettre cy jointe. Je n’ai depuis huit jours au
je réponds en vingt pages à deux gros volumes. Je me flatte que vôtre
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s'est enfin réconciliée avec Catherine seconde. T
ieu rendit tout à Job, et il n’a pas la mine de me rien rendre. Vôtre
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a de la santé et bonne compagnie. Sa philosophie
saisir les confitures d’un ministre anglais. Quand vous verrez vôtre
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je vous prie de me mettre à ses pieds. Elle m’a p
ne réputation viagère. Je suis très persuadé que l'âme noble de vôtre
grand-maman
trouvera celà bien infâme. Vous voulez des vers p
bienfaiteur, mon protecteur, et que je partage mon encens entre votre
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et lui. J’ai soixante et dix sept ans, quoi qu’on
ais depuis vingt ans, Madame, en petit dans ma chaumière ce que votre
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fait avec tant d'éclat dans son palais délicieux.
point aller à Paris tant qu’on me soupçonnera d’avoir manqué à vôtre
grand-maman
. Je suis toujours très ulcéré, et ma blessure ne
it nombre des élus? Ne savez vous pas que je vous ai envoié par vôtre
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les lettres d'Amabed, dont j'ai reçu quelques éxe
oute deux; j'en ai pour l'hiver. J'aime passionément le mari de vôtre
grand-maman
, c'est une belle âme. Croiez moi, il vaut mieux q
ettres que j'écris, de la reconnaissance que je dois au mari de vôtre
grand-maman
. Adieu, Madame, soupez, digérez, conversez, et qu
e rire, car tout y est pris mot pour mot de la sainte écriture. Votre
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est donc toujours à la campagne? Je suis bien fâc
t, consoler, encourager un pauvre homme. Enfin, Madame, grondez vôtre
grand-maman
si vous pouvez, mais on dit qu'il est impossible
em/voltfrVF1220029b_1key001cor/txt/001 Dieu soit béni, Madame, vôtre
grand-maman
me rend justicehttp://www.e-enlightenment.com/ite
ans prendre la liberté de dire adieu à celle que vous appelliez vôtre
grand-maman
. Comme il faut se réconcilier dans ces moments là
lle iniquité; mais je vous répéterai ce que je viens d'écrire à vôtre
grand-maman
. Il y a autant de friponeries parmi les gens de L
e me dire que vôtre ami se porte mieux. Mettez moi aux pieds de vôtre
grand-maman
, mais, si elle n'a pas le bonheur d'être folle de
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