prouve, on le loüe fort injustement à mon avis. Je n'entend rien à la
critique
raisonnée, ainsy Je n'entreray point en détail su
frVF1110386b_1key001cor/txt/013Dites moi, je vous prie, Madame, vôtre
critique
de ma critique sur un endroit des Horaces, cela v
ey001cor/txt/013Dites moi, je vous prie, Madame, vôtre critique de ma
critique
sur un endroit des Horaces, cela vous amusera et
n de plus triste? Je viens de relire Heraclius. J'approuve toutes vos
critiques
, mais malgré cela cette pièce fait un grand Effet
tation; cela n'excuse pas les faûtes, il faut les faire sentir, et la
critique
est très nécessaire pour maintenir Le goût. Ce qu
t l'auteur, Je ne vois pas à quelques phrases près, qu'il méritât une
critique
aussi amer. Je ne connoit point Labletrie ni Je n
n êtes quite à bon marchez; ah qu'il vous seroit aisé de mépriser vos
critiques
! qu'est ce qui les Ecoute? Je suis au comble de m
st tout de bon que vous êtes fâché. Comment mon mécontentement et mes
Critiques
ne vous ont ils pas fait rire? Ne devoient ils pa
u’ils passent par moy; J’y souscrit en enfant perdû, sans craindre la
critique
, parce que je suis fort audessous de la prétentio
ccès de son livre (qui lui est fort prouvé) lui a fait mépriser cette
critique
; il vous a répondu ainsy je n'ay point à vous app
; il a ses partisans. Le goût est perdû parcequ'il n'y a plus de bons
critiques
, chacun loüe les ouvrages de son voisin pour obte
, ils n'y réussiroient pas, son livre a Eû trop de succès pour que la
critique
de quelques particuliers puisse lui paroitre fond
donnez des louanges à tout ce qui se fait, dont votre Exemple est la
critique
; Je suis désolée d'être si vieille non pas assuré
t à la vertu tendre et simple d'Alzire me console bien de touttes Les
critiques
de la petite ville qui est à quatre lieues de Par
vous lui feriés trop d’honneur; cet homme n’a pas l’idée du goût, ses
critiques
sur vous devroient lui valoir des oreilles d’âne.
u une tragédie nouvelle, Spartacus, de mr Saurin. Elle ne vaut pas la
critique
; enfin, de tous nos auteurs nouveaux, en y compre
utre cela me feroit plaisirs. Nous sommes abimés d'odes, d'Eloges, de
critiques
, d'Epigrames. De ces dernières, il y en a quelque
dernière lettre; ce n'est point Monsieur de Bellestat qui en fait la
Critique
; ce n'est point luy qui a Ecrit la lettre que vou
udaçe de vous faire quelques représentations sur quelques unes de vos
critiques
sur Corneille. Je les trouve presque toutes fort