r Dupuy, sont des choses fort amusantes; mais il croit que le présent conte pourait aussi faire passer un quart d'heure de te

art d'heure de temps, attendu, comme il est très bien dit dans le dit conte , que les soirées d'hiver sont longueshttp://www.e

frVF1110075b_1key001cor/nts/001. Il faut que les aveugles fassent des contes , ou qu'ils jouent de la viélehttp://www.e-enlight

bonheur mais qui fait le malheur de bien d'autres. J'ay lû vos quatre contes dont vous ne m'avez envoyé que le premier. L'Educ

key001cor/nts/002 je la trouve un peu sérieuse; Je n'ay lû ce dernier conte qu'une fois et je n'ay pû en obtenir de copie. On

t qu'il ne sera point imprimé avant que vous n'ayez fait un nombre de contes sufisans pour en faire un volume. Ne me distingue

ars 1764 Vous dites des bons mots, Madame, et moi je fais de mauvais contes ; mais vôtre imagination doit avoir de l'indulgenc

nlightenment.com/item/voltfrVF1250074_1key001cor/txt/001 est un vieux conte que j'ai entendu faire avant que mad. de Choiseul

me flatte, madame, que vôtre petite-mère n'a rien à craindre des sots contes qu'on débite dans Paris contre son mari que je re

oins indigne de vous pour vous l'offrir. Vous serez bientôt lasse des contes des fées. Quoique vous en disiez je ne regarde ce

'Etablissemens des Manufactures, Je n'y vois qu'un très beau sujet de conte de fées, qui pouroit surpasser Cendrillon; Voilà

isaient des pièces de téâtre, ils les feraient plus honnêtes? Je vous conte tout celà madame parceque j'en suis plein. N'est

urez parvenir à en avoir des païs étrangers. Je m'amusais à faire des contes de ma mère l'oye, ne pouvant plus lire du tout. J

plaisanterie; adressez la à mr Le D. de Choiseul, ainsy que tous vos contes sous une double enveloppe et je vous assure que c

impossibles. C'est un galimatias qui fait pitié. J'aime mieux lire un conte de Lafontaine (quoique par parentèse ses contes s

. J'aime mieux lire un conte de Lafontaine (quoique par parentèse ses contes soient autant au dessous de l'Arioste que l'écoli

vous serez dans un de ces moments de loisir où L'on s'amuserait d'un conte de Bocace ou de la Fontaine, lisez la prose quand

est un cercle, Je me rapproche chaque jour de l'enfance. Je relis les contes de fées, ceux de mad. Daunoyhttp://www.e-enlighte

aut pas l'histoire du Lion d'Androclus. D'ailleurs, mon goût pour les contes est absolument tombé. C'était une fantaisie que l

vère, mais il se donne trop de peines et de soins; il ne sçait pas le conte de la Coutûre qui n'aimoit pas les sermons. Laiss

’en paraissent très plausibles, et c’est à quoi je me tiens. Le petit conte de la bégueulehttp://www.e-enlightenment.com/item

ey001cor/nts/004, je le lui adresserai pour vous. Il faut que je vous conte ce qu'on ne sait pas à Paris. Le singe de Nicoléh

rez aussy. Je vous le dirois mais je ne l'Ecriray pas. Revenons à vos contes .http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF11102

endant le souper, je vous assure, sans vanité, que je vous ferais des contes que vous prendriez pour des mille et une nuit, et

e jusqu'à leur mort. Ils passent leur vie à recevoir de bonne foi des contes de peau d'âne comme on reçoit tous les jours de l

r le bien que je vous veux, qu'on eût pû aumoins copier fidèlement le conte du Tonneauhttp://www.e-enlightenment.com/item/vol