it que vous m'avez fait du père de Menou très exact et très fidel. Je
comprend
très aisément que vous ne regrettiez point ce paÿ
ce paÿs cy, mais Je vous prie d'avoir assez bonne opinion de moi pour
comprendre
combien Je vous regrette. Vous seriez bien nécess
aisser entrainer à affirmer moi même. Tout ce que nous ne pouvons pas
comprendre
nous doit être aussi inutile qu'impossible à croi
retranchez rien, Excepté Les articles sciences où Je ne pourrois rien
comprendre
. Je ne sçay point encore ce que le grand papa aur
ordée, mais plus diférente de celle qu'on espéroit. Vous n'avez point
compris
ma demande, il n'était pas question de poupon, de
tion. Je m'en suis fait lire les tables. Tous vos ouvrages seront ils
compris
dans la suitte? Je ne veux que cette seule lectur
w.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1140097_1key001cor/txt/001 Je n'i
comprend
rien; m'a t'on fait de nouvelles tracasseries? D'
je vis dans mes terres, je ne vais jamais à Genêve; en un mot, je ne
comprends
point sur quel prétexte Rousseau put m'écrire une
ctez leur rôles? Ce trait est si nouveau, si inéffable que je ne puis
comprendre
quel a été votre dessein. Je me sçais mauvais Gré
uader. Qu'est ce que la foi? C'est de croire fermement ce que l'on ne
comprend
pas. Il faut laisser ce don du ciel à qui il l'a
t aux choses scientifiques, je ne crois pas que tout ce qu'on ne peut
comprendre
, soit inutile. Personne ne sçait comment une méde
Hardyon; quels beaux discours, quels beaux Eloges cela nous annonce;
comprenez
vous que la prétentions au bel esprit puisse réso
n ne tient point à ces bonnes plaisanteries. Sérieusement, je ne vous
comprends
pas, et je ne retrouve ni vôtre amitié ni vôtre é
pour les choses sacrée, qu'on respecte d'autant plus que l'on ne les
comprend
pas; Il y a un petit indouze, dont le titre est:
/nts/001. Vous avez bien mal lû ma dernière lettre, puisque vous avez
compris
que J'étois en liaison avec mad. de Pompadour. Je
eureux que lui, Je préférerois vos occupations à ses dissipations. Je
comprend
le plaisir que vous donne l'agriculture; si je n'
de Voltaire, Je suis intimement persuadée que ce que nous ne pouvons
comprendre
ne nous est pas nécessaire à sçavoir, ce qu'il no
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