très estimable N'est plus regardé qu'en pitié. Mon cœur en a senti la
cause
véritable, On n'y parle point d'amitié. N'est-il
à cause de son éloquence, car je le crois un peu trop simple; mais à
cause
des vérités qui m'y semblent prodiguées assez sag
vous ne vouliez plus venir. Pourquoy cela, monsieur? et quelle est la
cause
de ce changement? Est ce que Je ne suis pas assez
e de lire mr de Buffon, et Je ne puis pas tenir à l'ennuy que cela me
cause
. Enfin sans le Journal Enciclopédique Je ne sçaur
uissiez dire c'est le seul véritable puisqu'il est le princippe et la
cause
de tout les autres, mais comme il est inutile de
à cette heure, que tous nos sophistes de philosophes prétendent faire
cause
commune avec vous? Ces pauvres gens là sont bien
tions, ce sont des armes que vous me donnerez pour deffendre la bonne
cause
. Adieu, aimez moi toujours un peu et Je vous aime
ais si par hazard vous l'avez remarqué il faut que vous en sachiez la
cause
. Premièrement le président a été malade et m'a do
uelques particuliers puisse lui paroitre fondée, il en attriburoit la
cause
à une basse Jalousie, il la mépriseroit et il aur
s désiré, et nommément sur votre affaire de st Claude; elle trouve la
cause
que vous deffandé très juste; mais elle ne peut v
de La Borde; et l’irruption faitte sur ces deux cent mille francs me
cause
une perte de trois cent mille. Celà est embarassa
de parler, La nécessité de manger, et de d’ormir qui sont pour moy la
Cause
de mille incommodité; Je voudrois sçavoir pour qu
cesse de lire ses ouvrages et de les admirer avec tout le plaisir que
cause
Une admiration véritable. Vous pouvez assurer mr
ue l'auteur que je lis songe à faire un livre. Je veux imaginer qu'il
cause
avec moi. Sans la facilité tout ouvrage m'ennuy à
me, ce n'est pas seulement ma mauvaise santé et ma charüe qui en sont
cause
. Je suis absorbé dans un compte que je me rends à
on silphe en rêve, et que l'imprudence que j'ay Eû de m'en vanter est
cause
qu'il n'est pas revenû. J'aimerois bien à causer
s. Je suis bien loin de murmurer; je ne plains que vous. Pourquoi les
causes
secondes vous ont elles si maltraittée? pourquoi
e que l'instance est au conseil. Le sujet en est très intéressant; la
cause
qu'il défend est certainement bonne en soy, mais
ils étaient tous aimables, ils ne seraient pas si attachés à la bonne
cause
; les gens de bonne compagnie ne se font point pro
uprès de vous, mais c'est un Egarement que Je lui pardonne et dont la
cause
mérite quelque indulgence. C'est le plus honnête
pour que J'y puisse consentir. Je vous dirai seulement que vous êtes
cause
que Je relis toutes les pièçes de Corneille. Je n
aille. Mais je n'ai pas osé lui envoier ces trois têtes couronnées, à
cause
des notes qui sont un peu insolentes, et de plus
ue des avocats subtils et véhéments de la plus mauvaise de toutes les
causes
. Vous voiez avec quelle sincérité je vous parle;