Sa philosophie et la trempe de son âme doivent encor contribuer à son
bonheur
dans le plus beau lieu de la nature. Elle doit êt
dame, portez vous bien, allez voir vôtre amie, faittes toutes deux le
bonheur
l’une de l’autre, si le mot de bonheur peut se pr
e amie, faittes toutes deux le bonheur l’une de l’autre, si le mot de
bonheur
peut se prononcer. Conservez moi des bontés qui m
Prenez garde à la datte de cette Lettre et faites moi compliment du
bonheur
dont Je Jouis. Je voudrois que vous le partageass
seriez toute spéculation, vous vous en tiendriez à croire que le vrai
bonheur
est dans la paix de l’âme. Je suis ici depuis le
bitans bienheureux; cependant tout ce qui les environne Jouit du même
bonheur
, et dans ce monde cy la gloire consiste dans la p
dans la préeminence. Pour moi mon cher Voltaire Je fais consister le
bonheur
dans L’exemption de deux maux, les douleurs du co
qu'il eut le ministère de Paris, peutêtre n'aurais-je pas l'espèce de
bonheur
qu'on m'a enfin procurée. Cependant on aime toujo
t vous vous portez, ce que vous faites pour votre santé et pour votre
bonheur
, quand vous comptez retourner à Paris, et comment
iste état ne me permet pas de me remuer, et d’ailleurs je n’ai pas le
bonheur
d’être de ce païs que vous aimez, et où l’on va c
tous les chagrins attachez en France à la littérature, m'ôte tout mon
bonheur
. Ainsi tout est compensé. Je serais trop heureux
z son Emûle dans votre ville de Versoy et faites à qui mieux mieux le
bonheur
de tout ce qui vous environne. Faites le mien en
de ses montagnes vous est aussi tendrement attaché que s'il avait le
bonheur
de vous voir tous les jours. Le vieux malade de
i m'est possible, laisser à chacun sa façon de penser, ne troubler le
bonheur
ni la paix de personne. Eviter l'ennuy et les ind
me à la cour. Aurore des jours heureux Répandez de nouveaux feux. Le
bonheur
qui nous enchante, Se flétrit s'il ne s'augmente.
es en tout genre fait pitié. La France subsistera mais sa gloire, son
bonheur
, son ancienne supériorité, qu'es ce que tout cela
vôtre amitié, deux chôses très nécessaires à ma tranquilité et à mon
bonheur
. Je ne sçait pas mon cher Voltaire, de quel oeil
est en faire un grand éloge. Sans doûte J’aime ce Gustave, J’ay eu le
bonheur
de le connoitre pendant son séjour ici. Je puis v
is je vous aime de tout mon cœur. Quand je vois quelqu'un qui a eu le
bonheur
d'être admis chez vous, je l'interroge une heure
qu’à Paris on ne fait pas la moindre attention à ce qui peut faire le
bonheur
des provinces. Je sais qu’on ne s’occupe que de s
à 30 ans, et surtout de ce sixième dont vous me parlez qui fait votre
bonheur
mais qui fait le malheur de bien d'autres. J'ay l
me qui êtes monsieur de Voltaire, nom qui renferme tout les genres de
bonheur
: réputation, considération, célébrité, tous les p
ne chose assez plaisante qu'aucune personne d'esprit ne voudrait d'un
bonheur
fondé sur la sottise. Il est clair pourtant qu'on
t pour des moines, mais celà est bien faux pour ceux qui ont mis leur
bonheur
dans les douceurs de la société, et dans les devo
tenment.com/item/voltfrVF1200215_1key001cor/nts/002. Elle va faire le
bonheur
de ses vassaux aulieu d'avoir la tête étourdie du
e. Cela fait une vie pleine: pas tout à fait heureuse; mais où est le
bonheur
? Je n'en sçai rien madame. C'est un beau problème
tant que votre société charmante m'attire. Je n'avais point d'idée du
bonheur
réservé à la vieillesse dans la retraitte. Après
ne diminue rien de vos bontés. Il y a longtemps que je suis privé du
bonheur
de vous voir et de vous entendre. Je mourrai prob
ts, ils n'ont pas besoin de ceux des autres, ils portent partout leur
bonheur
, et peuvent se passer de tout. Souvenez vous mons
tous les lieux, tous les tems, tous les âges ne dérangent point votre
bonheur
. Vous êtes l'enfant gâté de la nature, c'est à di
les poëtes ont eu raison de faire l'éloge de la vie pastorale, que le
bonheur
attaché aux soins champètres n'est point une chim
iez vivre comme moi, et que vôtre société charmante pût augmenter mon
bonheur
! Vous voulez que je vous envoye les ouvrages auxq
entôt de s'écrire. Nous avons un grand objet à traitter, il s'agit de
bonheur
, ou du moins d'être le moins malheureux qu'on peu
our la sûreté des princes, pour la tranquillité des états, et pour le
bonheur
des particuliers. Voilà ce qui m'a lié avec des p
reux ceux qui vous entendent, madame. Je sens vivement la perte de ce
bonheur
. Je vous aime, malgré votre goust pour les feuill
avait une très aimable femme, et que celà contribuait beaucoup à son
bonheur
. Ce sont de petites confidences dont je ne me van
vous qui m'avez présenté à vôtre grandmaman que je n'ai jamais eu le
bonheur
de contempler. C'est à vous que je dois son souli
de Jouvence, Je ne désire de la santé et des forces que pour Jouir du
bonheur
de vivre avec mes amis; Jugez quel plaisir J’auro
z à peu près dans l'état de madame de Staal, aïant par dessus elle le
bonheur
inestimable d'être libre, de vivre chez vous, et
t aussy. Oh que vous êtes heureux d'être Voltaire, vous avez tout les
bonheurs
, les talents qui font l'occupation et la réputati
à votre santé madame, elle sera toujours prétieuse à ceux qui ont le
bonheur
de vous voir, et à ceux qui s'en souviennent avec
connoissance avec la grand maman, que vous adoreriez, vous feriez le
bonheur
de sa petite fille, vous la délivreriez de l'ennu
c'est presque toujours notre caractère qui contribue le plus à notre
bonheur
et à notre malheurs, mais comme vous sçavez nous
rd pas un moment à reprendre notre correspondançe. Ne parlons plus de
bonheur
, c'est la pierre philosophale qui ruine ceux qui
e sentir, et de vous exprimer, et que je me tiens malheureux dans mon
bonheur
de campagne, de passer ma vieillesse loin de vous
. Mettez moi aux pieds de vôtre grand-maman, mais, si elle n'a pas le
bonheur
d'être folle de l'Arioste je suis au désespoir de
r de vôtre vieux confrère en maladies. Il y a longtems que j'ai eu le
bonheur
de passer quinze jours avec Mr Turgot. Je ne sais
maman comme si vous la connoissiez. Vous seriez bien digne d'avoir ce
bonheur
, et vous seriez bien Etonné de trouver qu'elle su
is je vous suplie de lui dire combien je lui suis attaché. J'ai eu le
bonheur
de le voir assez longtemps, et je l'aimerai toute
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