e à votre souvenir; nul autre que vous n'a si parfaitement parlé de L'
amitié
; La connoissant si bien vous devez Juger de ma do
é de ces vers qui sont dans votre discours de la modération, O divine
amitié
! félicité parfaite! &c. Je les disois sans ce
onsieur, si votre santé est bonne, si vous Jouissez des douceurs de l'
amitié
, le roy de Prusse a raison, vous êtes mille fois
monsieur, personne n'a pour vous plus de goût, plus d'estime, plus d'
amitié
, il y quarante ans que Je pense de même.
ire du président, lui donner des témoignages de regret, d'estime et d'
amitié
. C'est avec répugnance que Je me prête à une tell
ez moi votre conduitte, et, croyez moi ne perdez pas volontairement L'
amitié
du plus ancien, du plus aimable et du plus sincèr
ec justice qu'on m'a imputé son ouvrage. Jugez si j'ai été fidèle à l'
amitié
; si j'ai été offensé du mal qu'on disait de mr le
le serai jusqu'au dernier moment de ma vie, quand je croirai servir l'
amitié
et la raison. La Blétrie est encor plus coupable
vous envoyez à toutes sortes de gens, toute sortes de nouveautés; mon
amitié
en fut blessée Je vous trouvay coupable du crime
ridicule d'élever ma voix pour ou contre aucun party, il n'y a que l'
amitié
qui puisse engager dans ces sortes de querelles.
s ces sortes de querelles. Il y a quelques années J'en conviens que l'
amitié
m'auroit peutêtre fait faire beaucoup d'imprudenc
i ont de l'humanité, de la compassion, il en résulte L'apparence de l'
amitié
, Je m'en contente; J'écarte la tristesse autant q
ée à un cachot perpétuel Je n’avois de resourçe que la société, que l’
amitié
de La plus charmante personne qui ait Jamais Exis
lis et J’en feray usage. Adieu mon cher Voltaire, conservez moi votre
amitié
.
e tout le monde paroit bien malheureux si J’avois un ami véritable. L’
amitié
est la seule passion que l’âge n’amortit point. J
, que vous êtes la seule personne que J’admire, et dont l’estime et l’
amitié
me flateroient le plus.
s mignones du président. Quoi! ne vous pas laisser la mondre marque d'
amitié
dans son testament, après vous avoir dit pendant
n pitié. Mon cœur en a senti la cause véritable, On n'y parle point d'
amitié
. N'est-il pas vrai, Madame, que nous n'aurons po
tique, parce que je suis fort audessous de la prétention; C’est votre
amitié
que je veut mon cher Voltaire, et pour nouvelle p
ghtenment.com/item/voltfrVF1220038_1key001cor/nts/001; J’en excepte l’
amitié
, que je crois quoi qu’on en dise, le plus grand b
a beauté de vôtre esprit, et de vôtre imagination m’ont enchanté. Mon
amitié
n’est point éxigente, mais vous lui devez quelque
ure, Madame, par tout ce qu’il y a de plus sacré dans le monde, par l’
amitié
. Il m’est aussi impossible de les oublier que de
console, vous avez si bien démêlé combien la mienne est sensible à l'
amitié
qu'il est mal à vous de ne m'en pas accorder du m
quelques Jours retourné en Angleterre. Je me suis prise d'une grande
amitié
pour lui, Je me suis trouvé avec lui tant de conf
rticulières d'être attaché à quelques uns d'entr'eux, et une ancienne
amitié
est toujours respectable. Mais soyez bien persuad
est toujours respectable. Mais soyez bien persuadée que de toutes les
amitiés
la vôtre m'est la plus chère. Je n'envisage point
nc qu’il n’est pas changé en me traitant mieux que vous ne faite; mon
amitié
sincère et Constante me met en droit d’exiger de
Jura, alors j'écris régulièrement, et ma plume va comme une folle. L'
amitié
dont vous m'honorez me sera bien chère jusqu'à mo
contre Mr le Président Henaut; mais j'ai cent fois plus d'estime et d'
amitié
pour lui que je n'ai de colère. Adieu, madame, to
bien; écrivez moi tout ce qui vous plaira, et conservez moi un peu d’
amitié
.
usceptible. Hélas! elles sont en petit nombre. Conservez moi un peu d’
amitié
du fond de votre st Joseph à mes Alpes et à mon g
t seray toujours, modèle en tout genres; ne négligez pas de l’être en
amitié
; et conservez en pour la personne qui vous admire
us m'avez écrit, Madame, une Lettre tout animée de l'entousiasme de l'
amitié
. Jugez si elle a échauffé mon cœur qui vous est a
toutes les causes. Vous voiez avec quelle sincérité je vous parle; l'
amitié
que vous me témoignez m'enhardit, je suis bien sû
sur moi le plus d'impression. J'aurai pour vous la plus respectueuse
amitié
jusqu'à l'instant où l'on s'endort véritablement
Si vous ne l'êtes pas, brûlez ma Lettre, mais conservez moi un peu d'
amitié
pour le peu de temps que j'ai encor à ramper sur
mité que nous avons ensemble qui est un des plus forts liens de notre
amitié
. Vous verrez monsieur dans la lettre de mad. La D
s. Sérieusement, je ne vous comprends pas, et je ne retrouve ni vôtre
amitié
ni vôtre équité, quand vous me dites que je devai
j'envoie ces bagatelles pour vous amuser, je vous conjure au nom de l'
amitié
dont vous m'honorez depuis si longtemps, de ne le
e. Rendez la moi, Madame, après cinquante années de connaissance ou d’
amitié
. J’avais infiniment à cœur que vôtre grand maman
n plaisir infini; elles me soutiennents, me consolent; la raison et l’
amitié
, ont tout pouvoir sur moi. Je vous seray infinime
es point pretté à ce que je désirois et à ce que j'attendois de votre
amitié
. Je croiois aussi vous faire plaisir en vous proc
lus grand Egard qu'il puisse marquer à notre situation et la marque d'
amitié
qu'il puisse nous donner à laquelle nous serons l
'auteur, non pas, hélas! sur les yeux de votre tête, mais par toute l'
amitié
, par le tendre attachement que Le vieux Pellegrin
ien, on n’a de chagrin que ceux qui viennent de l’attachement et de l’
amitié
; mais c’est beaucoup trop J’en conviens, Je l’Epr
rance est le païs où il doit y avoir le plus d’amis; car après tout l’
amitié
est une consolation, et on a toujours besoin en F
us ingrat et le plus indigne des hommes si vous ne répondez point à L'
amitié
que J'ay pour vous et si vous ne vous faites pas
ion de croire que vous êtes ingrat et injuste, elle est témoin de mon
amitié
et de mon admiration pour vous, repentez vous et
e, dormez, conversez, prenez patience, et recevez avec votre ancienne
amitié
les assurances tendres et respectueuses de l'atta
Mes misères saluent les vôtres, avec tout l’attachement & toute l’
amitié
imaginables. V. à Ferney 18 may
n honteuse. Gardez vous, d'ailleurs d'aimer trop les étrangers; leurs
amitiés
sont comme eux, des oiseaux de passage. Fourmont
ne vous eûs fâchée; mais tout va bien Dieu mercy, vôtre santé, vôtre
amitié
, deux chôses très nécessaires à ma tranquilité et
uis; Je luy ay fait mille questions qui partoient toutes de ma tendre
amitié
pour vous; Je vois que nos santés sont assez semb
sévère. Il est bien vrai qu'il y a des personnes fort paresseuses en
amitié
, & très actives en amour. Il est vrai encore
peu fatiguante mais il y a des morceaux sublimes. Si vous aviez de l'
amitié
pour moi, comme vous voulez m'en flater, vous pou
, ils seroient ravis de me faire perdre votre correspondance et votre
amitié
. J'espère qu'ils n'y réussirons pas, qu'ils se co
://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1170433_1key001cor/nts/003; L'
amitié
que j'ay pour les deux auteurs me garantit de tou
pas obéi aux ordres de celle qui m'honore depuis si longtemps de son
amitié
! de celle pour qui je travaille jour et nuit, mal
ges du mari de votre grand maman. Vous devriez bien si vous avez de l’
amitié
pour moy envoier cette page 7 à madame Barmécide.
elque chose d’aussi sacré pour moi que cette vérité, c’est l’ancienne
amitié
. Je compte sur la vôtre en vous répondant de la m
té, et dans les devoirs de la vie. Je trouve que la vieillesse rend l'
amitié
bien nécessaire, elle est la consolation de nos m
les vertus théologales, mais je ne voudrois pas devoir à la charité l'
amitié
dont vous m'assurez. Adieu mon bon et ancien ami.
ts de plainte à vous faire. Que dois-je penser de vos protestations d’
amitié
quand vous vous en tenez aux simples assurances s
ce sont les assurances qu’il m’a donné de votre souvenir et de votre
amitié
; confirmez les en reprenant une correspondance qu
Il faut que vous vous accomodiez de moi telle que Je suis et que mon
amitié
suplée au génie que je n'ay point; cependant je n
vous ferez toujours le charme. Daignez me conserver toujours un peu d'
amitié
, celà console à cent lieues. V:
nez vous monsieur et soyez en bien persuadé que votre souvenir, votre
amitié
, me sont absolument nécessaire.
a beaucoup d'esprit, beaucoup de goût, et de justesse; il à un peu d'
amitié
pour moy, et de l'adoration pour vous; il m'a pri
is Justice. Je seray parfaitement contente si vous me conservez votre
amitié
, votre souvenir et si vous m'en donnez des marque
ent maintenir notre correspondance; il faut qu'elle soit fondée sur L'
amitié
et la confiance, sans cela ce n'est pas la peine.
que vous avez communiéz; on l'affirme comme certain; vous devez à mon
amitié
cet aveü; et de me dire qu'elle ont été vos motif
je fait. Le président reçoit avec plaisir ce que Je lui dis de votre
amitié
pour lui; sa santé n'est pas mauvaise, sa tête n'
oint à l'admiration et à l'estime, qu'elle y joint une très véritable
amitié
; elle voudroit vous satisfaire sur toutes les cho
nce par vous remercier de votre souvenir, de la continuation de votre
amitié
. J’y suis infiniment sensible, car il est certain
in. Je lui dois tout. Puissiez vous jouïr longtems des charmes de son
amitié
et de sa conversation! Quand il y aura quelques a
à Chanteloup; c’est un grand voyage pour quelqu’un de mon âge, mais l’
amitié
est la fontaine de Jouvence, Je ne désire de la s
e et vous n'y en trouveriez aucun, si l'estime la plus parfaitte et l'
amitié
la plus tendre que Je vous ay vouée pour ma vie,
a permission avant que de fermer cette lettre. Adieu, monsieur; votre
amitié
, votre correspondance est ce qui m'attache le plu
que toute l'Enciclopédie. Adieu monsieur, soyez persuadé de ma tendre
amitié
, elle est plus tendre et plus sincère que celle d
sophie il y a quelque dix huit cent ans, mais il recommandait aussi l'
amitié
et la vôtre fait le charme de ma vie.
que je ne m’en mêle pas. Portez vous bien, Madame, conservez moi une
amitié
qui fait ma plus chère consolation, écrivez moi t
étes la personne du monde pour qui j'ai le plus tendre respect, et l'
amitié
la plus inaltérable. Permettez que je fasse mille
s adoucissez mes malheurs par l'assurance que vous me donnez de votre
amitié
et par le plaisir que me font vos lettres.
vous êtes destiné à me donner de la considération, à me marquer de L'
amitié
et à adoucir mes peines. Pour moi je sens monsieu
rs, et vous êtes un an sans m’écrire. Qui de vous ou de moi a tort en
amitié
? Tout ce que je puis vous dire, c’est que je n’ai
e plus souvent que vous pourrez. Je voudrois devoir vos soins à votre
amitié
, mais que je les doive dumoins à vos vertus. htt
m/item/voltfrVF1180419b_1key001cor/nts/010, comme dit l'autre; mais l'
amitié
est chose véritable.
F1180381_1key001cor/txt/005. Ces deux points doivent leur concilier l'
amitié
de tous les honnêtes gens. http://www.e-enlighte
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