t beaucoup. Vous avez deviné très juste, Madame, en devinant que Mr L' abbé Terray m'a pris six fois plus qu'à vous, mais c'e

e donne au Roi de nouveaux sujets; je fournis de l'argent même à Mr L' abbé Terray; et on ne me fait pas le moindre remerciem

il va même à Versailles dans le tems des fêtes. Ce n'est point à Mr L' abbé Terrai qu'il demandera cette grâce, car il ne s'a

demandera cette grâce, car il ne s'agit point d'argent, et Monsieur l' abbé le jette par les fenêtres. En un mot, je ne sais

lquefois; La bonne Compagnie Doit toujours plaire aux rois. Mon cher abbé , lui ai-je dit, je reconnais bien, à votre stile,

crédit. La personne dont je vous parle est un jeune homme nommé mr l' abbé de Linant à qui il ne manque rien du tout que de

la reine de Golconde, mais j'ay vu des vers très jolis de Monsieur l' abbé de Bouflers. Il faut en faire un abbé de Chaulieu

France, quoiqu'à présent nous n'aions pas trop de quoi rire. Si Mr L' abbé Terray vous a rogné un peu les ongles, il me les

ue d'être entièrement ruiné, surtout après les distinctions dont Mr l' abbé Terray m'a honoré. Il est donc très expédient qu'

ant. Ma Colonie serait bien plus nombreuse et plus brillante, si Mr L’ abbé Terray ne m’avait pas réduit à une extrême modest

las n'a été que l'effet d'une tracasserie entre Made Faideau de Brou, abbesse dans Abbeville, et un cuistre de juge subalterne,

d’étoffes de soie. C’est dans le fort de ces établissements que Mr L’ abbé Terrai m’a pris deux cent mille francs que j’avai

ardent les rentes viagères; J’y avoit converti tout mon bien, et mr L’ abbé Terray m’apprend que J’ay assez vécû; il dit à mo

our ceux qui croyent qu'il n'i a qu'un malheur, celui d'être né. M. L' abbé Bazin est un habile homme, je l'honore, Je le rév

e-enlightenment.com/item/voltfrVF1250049_1key001cor/nts/004, Le petit abbé . Je le connois un peu, il est fort aimable mais m

voir comment un petit juge de province, voulant perdre Made De Brou, abbesse de Villancour, suborna de faux témoins, et nomma

uis toujours prest à écrire une sottise. Vous voyez donc souvent mr l' abbé Chauvelin. Il me rend jaloux de mes ouvrages. Il

vez vous qu'un vieux maraut d'Abbeville nommé Belleval, amoureux de L' abbesse de Vignancourhttp://www.e-enlightenment.com/item/

tte colonie, j'aime mieux en avoir l'obligation à Mr Turgot qu'à Mr L' abbé Terray. J'ai dépensé quatre cent mille francs pou