chagrin que vous connaissez. Ce chagrin m’empêchera de revoir jamais
Paris
. Je ne saurais souffrir les tracasseries et les f
que les neiges arrivent, et cependant je ne cherche point à revenir à
Paris
, parce que j’aime mieux souffrir chez moi, que d’
Il est vrai que les hommes ne se mangent pas les uns les autres dans
Paris
comme dans la nouvelle Zélande qui est habitée pa
ophages dans huit cent lieues de circonférence, mais on se mange dans
Paris
le blanc des yeux fort mal à propos. On dit même
ous envoier ma lettre. Vous avez diminué mon envie de faire un tour à
Paris
lorsque vous l'avez abandonné. Mais j'espère touj
ujours vous y retrouver quelque jour. La retraitte a ses charmes mais
Paris
a aussi les siens. Il vous paraît étonnant peutêt
où vous êtes. Cela vaut bien les orages ridicules que j'ay essuiez à
Paris
. M. le président Henaut m'écrit quelquefois mais
S'il s'était un peu plus souvenu de moy lorsqu'il eut le ministère de
Paris
, peutêtre n'aurais-je pas l'espèce de bonheur qu'
our votre santé et pour votre bonheur, quand vous comptez retourner à
Paris
, et comment vous prenez les choses de la vie. Je
étude comme luy, et comme moy son serviteur chétif. Quand il vient de
Paris
quelque Livre nouvau tout plein d'esprit qu'on n'
toutte force être digne de la postérité. On me mande que L'édition de
Paris
est incomparablement moins mauvaise que celle de
p plus correcte. J'aurais l'honneur de vous la présenter si j'étais à
Paris
. On veut que j'en fasse icy une à ma fantaisie, m
ns de m'exprimer tout naturellement et j'espère que quand je reverrai
Paris
on ne m'entendra plus. M. le président Henaut, po
e la mienne les sentiments que je vous ay vouez et j'aimeray toujours
Paris
à cause de vous et du petit nombre des élus. Mill
760] Si vous aviez voulu madame avoir le pauvre diable et le Russe à
Paris
et autres drogues, vous m'auriez donné vos ordres
ait ce beau discours à l'académie qui leur a valu les siflets de tout
Paris
. Leur projet était d'armer le gouvernement contre
tion. Si vous voulez vous amuser lisez le pauvre diable et le russe à
Paris
. J'imagine que le russe vous plaira davantage par
ir chez moy. On y joue des pièces nouvelles. On y rit des sottises de
Paris
et Tronchin guérit les gens quand on a trop mangé
Paris
, 11 février [1778] J'arrive mort, et je ne veux
/item/voltfrVF1210414_1key001cor/nts/002. A peine se souvient on dans
Paris
de cette horreur abominable. La légèreté français
paier les frais de leurs justices. Je sais bien encor une fois, qu’à
Paris
on ne fait pas la moindre attention à ce qui peut
grâce à personne, et je ne veux rien de personne. Si jamais je vais à
Paris
pour une opération qu’on dit qu’il faut faire à m
rs avant cette mort funeste, du plaisir qu'elle auroit de vous voir à
Paris
à son premier voiage. J'avois prié Monsieur le pr
suis. On m'entraîne à Cirey avec mr du Chastellet. De là je reviens à
Paris
sans savoir ce que je deviendray, et espérant bie
Paris
ce 27 juin 1772 J’attendois d’être à Paris pour
Paris ce 27 juin 1772 J’attendois d’être à
Paris
pour vous écrire; Je mettois ce plaisir en réserv
lieu charmant pour me retrouver dans le triste et ennuyeux désert de
Paris
. Je vous ay l’obligation des bones moments que J’
us ferez de moi tout ce que vous voudrez, éxcepté de me faire venir à
Paris
. Mon imagination m'y promène quelquefois parce qu
e, et laisser la place à la jeunesse. Il y a, et il y aura toujours à
Paris
beaucoup de jeunes gens qui font et qui feront tr
eine perdue. Je me suis indigné depuis quelques années de la prose de
Paris
, et surtout de la prose des avocats qui parlent p
man la lettre cy jointe. Je n’ai depuis huit jours aucune nouvelle de
Paris
dans mon enceinte de neiges. Enfermé dans mon sép
ntinue à faire ses fonctions; si l’opéra comique attire toujours tout
Paris
. Je suis mort au monde. Ce serait un état assez d
ns qui ont une âme ferme et un bon cœur. La chose est râre, même dans
Paris
. Cependant, j'imagine que c'est à peu près ce que
ie est prodigieusement ennuïeuse quand elle est uniforme. Vous avez à
Paris
la consolation de l'histoire du jour, et surtout
us les points que j'éxamine; si j'étais homme à venir faire un tour à
Paris
, ce serait pour vous y faire ma cour; mais je dét
un tour à Paris, ce serait pour vous y faire ma cour; mais je déteste
Paris
sincèrement, et autant que je vous suis attaché.
en dirais pour vous amuzer, mais vous avez la meilleure compagnie de
Paris
chez vous, et vous n'avez pas besoin de ce qui se
de ce monde, depuis l'inquisition de Lisbonne jusqu'aux pauvretez de
Paris
, et agréés mon tendre respect. V.
et qui me touche infiniment. Vous n'êtes informée que des plaisirs de
Paris
, et je le suis des malheurs de trois ou quatre ce
Roi du Chatelet. Je crois que cette Tragédie sera bientôt imprimée à
Paris
. On la jouera si les honnêtes gens le désirent fo
échans confondus; il est assez plaisant d'envoïer du pied des Alpes à
Paris
des fusées volantes qui crèvent sur la tête des s
pre ses citations, aussi bien que mtre Joli de Fleuri. Il est bon que
Paris
vive de ces niaiseries, puisqu'il n'a pas de quoi
matelot, charpentier, législateur, surnommé le grand. Aiant renoncé à
Paris
, je me suis enfui aux frontières de la Chine, mon
es sont préférables à Cinna et à Phèdre, ou pourquoi made Denis est à
Paris
, et moi entre les Alpes et le mont Jura, alors j'
francs à ces œuvres profânes et pies. Enfin, d'illustres débiteurs de
Paris
et d'Allemagne voiant que ces magnificences ne me
est Naples en été, et la Laponie en hiver. Made Denis avait besoin de
Paris
; la petite Corneille en avait encor plus besoin.
Paris
ce 16 Juin 1774 Monsieur de L'Isle m'avois préve
atin à la Muette, il y fut très bien reçu; il revint diné et souper à
Paris
et partit le mardy à huit heures du matin pour re
que la justice. Quant à la musique j'avoue que je ferais un voiage à
Paris
pour entendre Roland et Armide après vous avoir e
peine; mais on n'en permettra jamais le débit en France. Si j'étais à
Paris
je vous lirais en français quelques unes de ces L
tres, aiant l'anglais sous mes yeux. Mais mon état ne me permet point
Paris
: et d'ailleurs, j'ai eu l'insolence de créer une
Paris
ce 5 8bre 1770 Sçavez vous mon cher Voltaire que
z l’hiver dans les provinces méridionales? Que ne venez vous plutôt à
Paris
? J’aurois une grande satisfaction de causer avec
palais d'Alcine. Je peux vous assurer que si tout le monde pensait à
Paris
comme vous, j'aurais eu bien de la peine à me lai
de la peine à me laisser enlever. Mais madame quand on a le malheur à
Paris
d'être un homme public dans le sens où je l'étais
espèce que de l'exposer au public. Il me semble qu'il y a si loin de
Paris
à l'ancienne Rome, et de nos jeunes gens à Caton
ue ce soit d'excellent vin. Personne de mon temps n'en avait de bon à
Paris
. L'avanture du président Hénaut est assurément bi
dresserai pour vous. Il faut que je vous conte ce qu'on ne sait pas à
Paris
. Le singe de Nicoléhttp://www.e-enlightenment.com
e st Cucufin. Je sais pourtant qu'il y a encor des hottentots, même à
Paris
; mais dans dix ans il n'y en aura plus, croiez mo
mment pouvais-je faire avec le président? Mille gens charitables dans
Paris
m'attribuaient cet ouvrage contre lui; on me le m
tre petite-mère n'a rien à craindre des sots contes qu'on débite dans
Paris
contre son mari que je regarde comme un homme de
ous aimer, à vous regretter, et à souhaitter qu'il y ait aumoins dans
Paris
cinq ou six Dames qui vous ressemblent.
a retraitte rend les passions plus vives et plus profondes; La vie de
Paris
éparpille toutes les idées, on oublie tout, on s'
sentiriez à en être soupçonnée. Il n'y a pas d'aparence que j'aille à
Paris
au printems. Songez vous bien qu'il y a quatre gr
éxcepter, Madame; mais si je m'adréssais à toutes les autres dames de
Paris
, je leur dirais, c'est bien à vous, dans vôtre he
du pédantisme. Mais je vous avertis que je ne pourais jamais passer à
Paris
, que le mois de Janvier et de février. Vous ne sç
ort en colère contre les fanatiques, que je ne pourais jamais tenir à
Paris
plus de deux mois. Vous me parlez, Madame, de ma
rd'hui le charme de ma vie. Mais, madame, si jamais je fais un tour à
Paris
, je vous préférerai au pentateuque. Adieu, madame
Paris
, 13 février 1778 J'ai deux devoirs, madame, à re
La butte St Roc, et mes montagnes qui fendent les nües, les riens de
Paris
, et les riens de la retraitte, tout celà est si é
e d'aller dans les Alpes, ni à une citoyenne de nos rochers d'aller à
Paris
. Je vous regrette pourtant, madame, et beaucoup;
ce cas. Je ne conçois pas non plus comment on a le front de donner à
Paris
des pièces nouvelles; celà n'est pardonnable qu'à
ses amis et devant ses amis, mais je ne voudrais pas me hazarder dans
Paris
avec des gens de mauvaise humeur. Je voudrais que
oi même, et jouïr de la consolation de vous revoir; mais je n'aime ni
Paris
, ni la vie qu'on y mène; ni la figure que j'y fer
ence n'est elle pas pour vous comme pour les plus sottes bégueules de
Paris
? Si la moitié de st Domingue vient d'être abiméeh
peuvent être jugés par les pairs et par le roi, sans le parlement de
Paris
, me paraissent ignorer l'histoire de France. Il s
dans le parlement. Nos sottises et nos désastres à Pondichéri et dans
Paris
, peuvent fort bien ne vous point toucher. Aussi j
tout les objets que je vous présente valent bien tous les rogatons de
Paris
, et tous les détestables journaux que vous vous f
, m’a mandé qu’il ne voulait pas se charger d’une seule brochure pour
Paris
. Mon village de Ferney envoie tous les ans pour c
de marchandises au bout du monde, et ne peut pas envoier une pensée à
Paris
. Le commerce des idées est de contrebande. Je ne
Paris
ce 6 février 1770 Ne soyez point Effrayé de rece
me permettrait pas de vous voir ce qu’on appelle en visite. La vie de
Paris
serait nonseulement affreuse, mais impossible à s
en pure perte. J’aimerais autant vivre parmi des guêpes que d’aller à
Paris
par le tems qui court. Tout ce que je puis faire
Paris
ce 17 8bre 1769 Mad. Denis m'avoit annoncée sont
Paris
27e 9bre 1769 Dieu et les hommeshttp://www.e-enl
ire, un cultivateur enterré dans un pays barbare. Beaucoup d'hommes à
Paris
ressemblent à des singes. Ici ils sont des ours.
onde est-il bien sûr que ce monde ne les envenimera pas? La société à
Paris
a-t-elle d'autres alimens que la médisance, la pl
s sots cesseront de poursuivre les sages? On marche continuellement à
Paris
entre des insectes littéraires qui bourdonnent co
age, et plus souvent. Mais songez que vous êtes dans le tourbillon de
Paris
, et que je suis au milieu de quatre rangs de mont
Paris
ce 29 aoust 1769 Ah, monsieur de Voltaire, il me
jourd'huy en vous répétant ce que Je vous disois. Mr Crauford étoit à
Paris
, c'étoit vers le 20 décembre, Je vous disois mill
latte qu'elle était dans son Roiaume dans le temps que les badauts de
Paris
se tuaient au milieu des fêtes assez près de son
l'affaire c'est que nous joüons des pièces nouvelles de ma façon, que
Paris
ne verra pas, àmoins qu'il ne soit bien sage et b
dans l'orphelin de la Chine; il vaut mieux que tous vos comédiens de
Paris
. Je suis fort aise madame, qu'on ait imprimé ma L
ai rien sçu de ce qui se passe depuis un an dans aucun des tripots de
Paris
. J’ai conservé, j’ai affiché hautement la reconna
uelquefois. Durest, je sais beaucoup plus de nouvelles du nord que de
Paris
. Je suis fort aise que vous vous soiez remise à r
Paris
ce 10 7bre 1764 Vous n'avez point eû de mes nouv
Paris
ce 8 may 1770 Vous reconnoissez vos torts avec l
Paris
ce 26 avril 1772 Pouvez vous croire que Je ne li
Paris
ce 22e xbre Faisons la paix mon cher Voltaire,
lus d'éxemplaires de la première à Geneve. Tout est allé, je crois, à
Paris
. Vous recevrez probablement l'éxemplaire de l'édi
demandez l'a b c. Je vous proteste à toute deux, et à l'archevêque de
Paris
, et au sindic de la Sorbonne, que l'a b c est un
anglais, très difficile à digérer par beaucoup de petits estomacs de
Paris
. Et sérieusement, je serais au désespoir qu'on me
Paris
ce 5 septembre 1760 J'étois en colère contre vou
Paris
19 février 1771 Votre lettrehttp://www.e-enlight
Paris
le 15 Juin 1771 Je ne vous Ecris plus si Exactem
t dit, Madame, mais celà n’est pas si aisé à faire; vos confiseurs de
Paris
s’opposent à ce commerce. Il n’a jamais été si di
car c'était un petit laquais natif du village d'Etrée, lequel vint à
Paris
faire des brochures, se mettre dans ce qu'on apel
le ait la permission de prendre un parlement à partie? On a imprimé à
Paris
une lettrehttp://www.e-enlightenment.com/item/vol
Paris
16 avril 1760 Vous ne sçavez pas monsieur pourqu
en un mot, toute cette grande révolution que vous ignorez peut être à
Paris
, ne sont qu'un point sur la carte de l'univers. S
Paris
28 Xbre 1770 Vous sçavez déjà tout nos malheurs,
vos lettres. Si vous avez quelque nouvel ouvrage addressez les moi à
Paris
, on me les enverra ici, on a continuellement des
histoire, vous aurez remarqué que depuis François 1er le parlement de
Paris
a cru toujours ressembler au parlement d'Angleter
Paris
28 février 1766 Vos lettres, et surtout la derni
lé que M. de Bernstorf, qui se connaissait en hommes, l’avait placé à
Paris
; & que ce pauvre Struenzée, qui ne se connais
voulez que je vous envoie les miennes, vous en aurez. On a imprimé à
Paris
les cabales, la bégueule, Jean qui pleure et qui
Paris
ce 12 8bre 1772 Jamais lettre n’est arrivée si à
de la faire lire par un autre; mais j’ai fait vœu de ne point aller à
Paris
tant qu’on me soupçonnera d’avoir manqué à vôtre
Paris
18 9bre 1772 J’ay tout entendu mon cher Voltaire
Paris
ce 24 9bre 1774 Il y a mille ans que je vous ay
Paris
ce 15 Janvier 1775 J'ai voulû, monsieur, faire v
Paris
20 7bre 1760 Non, non, monsieur, Je ne suis pas
t à vôtre santé et à la sienne. Car enfin, il faut que ce qui reste à
Paris
de gens aimables vive longtemps, quand ce ne sera
jours de m'être retiré à la campagne depuis quinze ans. Si j'étais à
Paris
les tracasseries me poursuivraient deux fois par
et que je préfère même le petit nombre qui fait la bonne compagnie de
Paris
au petit nombre des élus? Ne savez vous pas que j
u tout entendu parlér de monsieur Crafort. Si j'avais sçu qu'il fût à
Paris
, je vous aurais supliée très instament de me prot
a crainte des impôts et du pouvoir arbitraire, ont fait regreter dans
Paris
l’ancien parlement, mais pour moi, Madame, j’avou
ne n’était qu’une héroïne de gazette? Ce n’est pas de nos gazettes de
Paris
qu’elle est l’héroïne, elles ne lui sont pas favo
choisi ma retraitte. Tout autre genre de vie me serait insuportable.
Paris
vous est nécessaire; et il me serait mortel. Il f
quatorze ans. Si celà est, Moncrif est le Doyen des beaux esprits de
Paris
, mais il veut toujours paraître jeune, et dit qu'
Paris
20 7bre 1769 Vous avez beau dire Monsieur, vous
'abbé Grizel. On dit que les dévotes se trémoussent prodigieusement à
Paris
et à Versailles. Je m'intéresse passionnément à c
x mois. J’ai cru toujours que vous y étiez. J’aprends que vous êtes à
Paris
. Vous m’aviez promis de me mettre aux pieds de vô
u’au milieu de mes montagnes je devais être aufait de tout comme dans
Paris
. Vous m’avez cru toutes deux ingrats, et vous vou
Paris
ce 24 8bre 1773 Il me prend une Envie à laquelle
en n'est plus rare. J'ay sçu que M. le duc de Choiseul était revenu à
Paris
en triomphateur, et qu'il était reparti en philos
s/004. Si vous vouliez m'honorer de votre souvenir écrivez chez moy à
Paris
vis à vis st Gervais. Les lettres me seront rendu
olmar sans sortir de ma chambre: et je crois que j'en ferais autant à
Paris
si vous n'y étiez pas. Je me suis apperçu à la lo
e, madame, que vous ne vous en souciez guéres; voilà comme l'on est à
Paris
.
y l'honneur d'être à moitié suisse, indépendant, heureux. Les mots de
Paris
et de couvent m'effrayent autant que votre sociét
e avec vous, Madame, que quand on veut être aveugle, il faut l'être à
Paris
; il est ridicule de l'être dans une campagne avec
Paris
18 Juillet 1764 Vous vous trouvez peut être fort
onnête, qui après avoir fait un calcul du bien et du mal, s'est tué à
Paris
d'un coup de pistolethttp://www.e-enlightenment.c
Paris
ce 4 février 1770 http://www.e-enlightenment.com/
aucoup familiarisé avec les rois; mais je crains un certain public de
Paris
qu'il est beaucoup plus difficile d'aprivoiser. D
Paris
24 aoust 1772 Oh pour le coup Je suis fort conte
'est que ma retraitte m'a fait penser qu'un homme qui avait renoncé à
Paris
ne devait pas se joüer à ce qu'il a connû dans Pa
avait renoncé à Paris ne devait pas se joüer à ce qu'il a connû dans
Paris
de plus aimable. J'ai été sensiblement affligé de
e touttes Les critiques de la petite ville qui est à quatre lieues de
Paris
, à cinq cent lieues du bon goust et qu'on apelle
la vie! Savez vous bien vous autres, ce qu'il y a de plus difficile à
Paris
, c'est d'attraper le bout de la journée. Puissent
les plaisirs ne naissent que des besoins. Il vous fallait absolument
Paris
. Vous auriez péri de chagrin à la campagne, et mo
de la viellesse avec une fortune des plus médiocres. J'aurois quitté
Paris
, Je me serois Etabli en province; Là J'aurois Jou
on peut entendre; et c'est ce qui fait que je ne regrettes guère dans
Paris
, que vous, Madame, et le très petit nombre de per
impossible de faire parvenir aucun livre imprimé des païs étrangers à
Paris
, http://www.e-enlightenment.com/item/voltfrVF1110
x très grands plaisirs, celui de vivre avec la meilleure compagnie de
Paris
, et celui de vivre avec vous même; je vous défie
Paris
ce 25 Juin 1764 Vous êtes bien récalcitrant de R
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