Il est vray que ces Contes donnent une image de ce qui se passe dans les moindres Familles, où la loüable impatience d’instruire les enfans fait imaginer des Histoires dépourveuës de raison, pour s’accommoder à ces mêmes enfans, qui n’en ont pas encore ; mais à qui convient-il mieux de connoître comment vivent les Peuples, qu’aux Personnes que le Ciel destine à les conduire ? […] Elles estoient toutes deux si desagréables et si orgueilleuses qu’on ne pouvoit vivre avec elles.