Le jeune homme alors prit son sabre à deux mains et la fit voler au loin. […] Un coup de sabre trancha la tête de l’Ogre et la fit voler en éclats. […] — Prends ton sabre, répondit Cheikh Smaïn avec calme. Prends ton sabre, et battons-nous. […] Je crèverai ce boyau de mon sabre.