Le pêcher du champ à l’ombre, Le coeur refuse de l'oublier. […] — N'oublie pas la porte ! […] Toi qui te nourris d'ombre, Demande au jeune homme Si je suis oubliée. […] Il a commencé par être adulte, Ayant oublié d'être enfant. […] N’oublie ni le sel, ni le poivre rouge, ni les épices et les aromates.