» Et la sœur Anne luy répondoit : « Je ne vois rien que le soleil qui poudroye et l’herbe qui verdoye. » Cependant, la Barbe-Bleuë, tenant un grand coutelas à sa main, crioit de toute sa force à sa femme : « Descens viste, ou je monteray là-haut. […] » Et la sœur Anne répondoit : « Je ne vois rien que le soleil qui poudroye et l’herbe qui verdoye. » « Descens donc viste, crioit la Barbe-Bleuë, ou je monteray là-haut.