Chant du berceau Et toi, ô Torkia, Petit monceau de fleurs. […] L’herbe et les fleurs poussèrent magnifiques et drues. […] Quand il aura des fleurs, ton fils sera dans la joie. […] Pendant sept ans, il ne donna que des fleurs. […] Les orphelines, dans la campagne, étaient aussi jolies que fleurs au soleil.