Loundja le lui servit. […] Loundja fit mine de dormir. […] L’ogresse appela : — Loundja, Loundja ! […] Elle se mit à courir, à courir comme une démente en clamant par les chemins : — Loundja, Loundja tu m’as trahie. […] Loundja prit soin de celui qu'elle aimait.