s femmes fut jalouse de Aïcha. Profitant de ce que le sultan était en
voyage
, elle attira la jeune sultane près du vieux puits
avec toi ! › Le Cheikh de la Mosquée alla trouver le sultan revenu de
voyage
, et lui dit : — Ton puits est hanté. Demain, à l'
es. Soumicha, remise de ses couches, put entreprendre au printemps le
voyage
. Le sultan lui donna une escorte de choix et une
lle et dit : — Gardez-la moi jusqu'à mon retour. Et il poursuivit son
voyage
, n alla, il alla et puis des bouviers l’aperçuren
; le bruit de ses exploits était parvenu jusqu'à moi. Le long de son
voyage
, il avait semé le bien, tué un chacal, un aigle e
anche et ses poulains. Mehend reconnut son bien. Il s’en empara et le
voyage
reprit. La princesse et les jumeaux traversaient
issa l’herbe verte pour se joindre à la jument et aux poulains. Et le
voyage
se poursuivit. La princesse, son bébé dans les br
fossé et se joignit avec ses agnelets à la vache et aux veaux. Et le
voyage
reprit encore plus lentement. Les jumeaux sentaie
es jambes. Alors elle le nourrit d’un peu de moelle et poursuivit son
voyage
. Elle suivait l’ombre et se sentait plus courageu
eau. Elle lui donna encore un peu de moelle et ils poursuivirent leur
voyage
. L’heure chaude les trouva sous les oliviers : Re
üir. Mars leur bec contenait si peu qu’elles durent faire de nombreux
voyages
, ce dont elle ne se plaignirent pas, bien au cont
caravane s'éloigna. Aïcha était seule à savoir ce que signifiaient ce
voyage
et l’allégresse de la marâtre. Car elle avait sur
leurs membres : ils n’aspiraient qu’à se reposer de leur interminable
voyage
, et le cheval aussi. Une vieille femme, vêtue pau
la fit asseoir près de Roundja sur son cheval noir, et poursuivit son
voyage
, toujours accompagné de son nègre fidèle. Et ils
erser avec son père le plus agréablement du monde et à lui conter son
voyage
au pays des Indes. Blanc de peur et de rage, le s