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1 (1966) Le grain magique
ient comme des images pour illustrer tes récits, et ces chants que ta voix m'a appris patiemment à chanter sur ces monodies
chance d’avoir en elle une admirable narratrice. J'entends encore sa voix inspirée prononcer sur le ton de l’incantation la
ue, lui répondait alors pour la rassurer. Et le Grain transmettait sa voix faible et lointaine. Lorsque furent en vue les fo
roit où il était tombé, 1« jeune fille entendait de moins en moins la voix de sa mère. Il arriva même un moment où elle ne l
efusa. Dès qu’elle eut atteint un rocher, elle se mit à chanter d’une voix plaintive : ‹ Elève-toi, élève-toi, rocher Rocher
ine arrivée sur la hauteur, la jeune fille se mettait à chanter d’une voix plaintive, entourée des sept chameaux confiés à s
qui formaient une pile sur une pierre. Et il l'entendit chanter d’une voix plaintive : ‹ Elève-toi, élève-toi rocher Rocher,
ée I Et elle partit à sa recherche. A la haie d’épines elle dit d’une voix furieuse : — Haie d'ordures, laisse-moi passer I
monde m’a délaissé I — Sois sans crainte, elle ne résistera pas à ma voix . — Dame Grenouille? appela-t-il. Suis-moi, je sui
tation Une des fidèles du Prophète Pleurait l'aîné de ses enfants. La voix de Dieu lui répondit : — Ne pleure plus ton fils
souci de Aïcha demeurait son frère-gazelle : Dès qu’elle entendait sa voix plaintive, elle levait la tête et lui répondait d
t la reine le supplièrent vainement de rester. Il leur répondit d'une voix ferme : — Je reviendrai avec Soumicha pour compag
sentit une main se poser doucement sur son épaule et il entendit une voix lui dire : — Lève-toi, Mehend et partons. Le sole
lle fille du monde. Et le jeune homme aux yeux de faucon reprit de sa voix la plus impérieuse, en regardant intensément la j
rent leur apparition à toutes les fenêtres. Le ciel chantait à pleine voix : « Soumicha, notre princesse, est revenue à la v
nc, ô Mehend, pour être si fier et me piétiner?» (j'entends encore sa voix sifflante). M’ayant planté cette épine dans le cœ
qu’au crépuscule. Une main ferme et tendre me touchait l'épaule, une voix persuasive me disait à l’oreille : «Mehend, lève-
, un svelte grenadier s’épanouissait au soleil. La reine entendit une voix lui murmurer à l’oreille : — Tant que cet arbre q
jument bleue aussi vive que l'éclair. Et elle tentait de percevoir la voix lointaine de la poudre tandis que Mehend, embrasé
ent d’apparaître. La reine, ce matin-là, s’était vêtue de pourpre. La voix de la poudre emplissait tout le ciel. Et la terre
omme la peur .11 avait un front bas et fermé, le regard fuyant et une voix dont nul ne connaissait le son ni la couleur car
n tirer des sons. Mais à peine porta-t-il la flûte à sa bouche qu’une voix cristalline sc mit à chanter : ‹ O berger, pourqu
ger se rendit au village pour faire entendre sur la place publique la voix merveilleuse de la flûte. Depuis longtemps la mèr
se demandaient que faire lorsque survint Tseriel. Elle leur dit d’une voix joyeuse : — Soyez les bienvenus, mes enfants, soy
s trois pour la veillée. C’est alors que le Subtil prit sa plus douce voix pour demander à Tseriel : — Maman-grand’mère, com
ngé, mangé... Ma sœur a rassemblé mes os. La petite fille reconnut la voix de son frère et se mit à trembler. ‹ Que va faire
je me suis inquiété pour la première fois du petit, dit l’homme d’une voix sombre. C'est alors que l'oiseau se posa sur le t
ha vers la femme. Mais alors l’oiseau chanta à nouveau, avec la douce voix de l’enfant : Garde-toi bien de la tuer, tuer...
la fillette, l’Ogre se présenta devant la masure et dit de sa grosse voix : — Ouvre-moi la porte, ô mon père Inoubba, ô mon
i habite hors du village. Il ne veut pas m'ouvrir parce que ma grosse voix me trahit. Indique-moi le moyen d'avoir une voix
parce que ma grosse voix me trahit. Indique-moi le moyen d'avoir une voix aussi fine, aussi claire que celle de sa petite f
entreront et racleront ta gorge. Mais ce n’est pas en un jour que ta voix s’éclaircira et s’affinera I L’Ogre fit ce que lu
égions de fourmis aller et venir dans sa gorge. Le quatrième jour, sa voix fut aussi fine, aussi claire que celle de la fill
porte, ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba ! L’Ogre répondit de sa voix fine et claire : — Fais sonner tes petits bracele
celets, ô Aïcha ma fille I La fillette qui ne reconnut pas dans cette voix celle de son grand-père, posa sur le chemin la ga
e tenant sur le seuil, Mehend regarda la jeune femme et lui dit d’une voix terrible : — Pour toi j’ai abandonné père et mère
ous que l’on nomme à raison ‹ les belles du pays › ! dit de sa grande voix le lion. Les perdrix prirent- leur vol. Et dès lo
re homme. — La maison est pleine de tes filles, lui disait-elle d’une voix acerbe. Elles entourent si étroitement le plat de
aux et enfants ? — Moche est mort ! annoncèrent les sept filles d'une voix forte. Moche a brûlé vif dans son repaire I — Lou
des pèlerins. Aïcha courut vers lui : — O ma fille, lui dit-il d’une voix humble, je n’osais croire que la joie de te revoi
vit disparaître sous une tente. Il approcha de la tente et dit d’une voix forte : — Donnez-moi ma chasse I Une jeune fille
en choisit une qu’il plaça bien en face. Et, s’adressant à elle d’une voix persuasive il dit : — Parle, bougie, et raconte l
nfant? demanda Settoute du ton le plus engageant. Si j’en juge par ta voix qui est douce et par ta main qui est parfaite, tu
n se battait comme un lion. Il accomplissait tant de prouesses qu’une voix ne put s'empêcher de monter et de dire à la foule
uerrier les arrêta. Se plaçant devant la victime, il dit d’une grande voix : — Cet homme est mort et son corps me revient. Q
igne et juste que le sultan épouse les veuves de son fils I Une seule voix , inexorable et froide comme une lame, clama à son
épouser les veuves de son fils, car il commet un sacrilège I Et cette voix était celle du septième Notable. Le sultan eut un
oi de Dieu permet l’union du père avec ses brus. Et par sept fois, la voix du septième Notable clama de plus en plus pathéti
Ange de la Mort. — Descends de ce trône ! jeta-t-il à son père, d’une voix méprisante. Car il faut que justice soit faite !
les pieds. — Qu’on allume un feu lent à ses pieds, ordonna-t-il d'une voix sombre, afin que lentement il brûle et se souvien
d’eux. Velâjoudh descendit et se porta à leur rencontre. Il imita la voix de Vetellis et souhaita la bienvenue à tous et à
e donc ! lui répliqua sa mère. Mais l’ogrillonne reprit en élevant la voix : — Je te dis que c’est l’œil de cousine Vetellis
ne m’attaquer à aucun rat. Aux souris les plus timides, il dit de sa voix la plus engageante : — Approchez, approchez, asse
i : sa mère, prenant à témoin le ciel, l’accablait, le raillait d’une voix inexorable comme le destin. Sa mère le piquait da
e mendiant était appelé : ‹ L’hôte de Dieu ›. A peine entendait-on sa voix , que l’un des enfants se levait pour aller à son
oir d’orage, on entendit couvrant le bruit de la pluie et du vent, la voix puissante d’un mendiant. — Le pain de Dieu, û hom
diant. — Le pain de Dieu, û hommes de bonne volonté I implorait cette voix . La mère regarda ses enfants et son mari assis au
it l’Oiseau de l’Orage. Il était là, tout près, et il demandait d'une voix tendre et basse : — Es-tu heureuse ? Parle, y a-t
mme qui accepterait pour mari un être dont elle ne connaîtrait que la voix , sinon toi, malheureuse? Yamina baissa la tête. A
Yamina autrefois. On entendit au plus fort de la tourmente une grande voix clamer : — Le pain de Dieu, ô hommes de bonne vol
ns une forêt, offerte à l’orage et au froid. Alors, elle entendit une voix bien connue, une voix sombre comme la mort lui di
à l’orage et au froid. Alors, elle entendit une voix bien connue, une voix sombre comme la mort lui dire : — Tu as manqué à
u connaître mon visage, tu me perds tout entier, toi qui possédais ma voix et ma présence à tes côtés. Yamina pleura, suppli
ravers la pluie et les éclairs. Yamina parla, mais le vent couvrit sa voix . L’Oiseau de l’Orage déchirait la nuit de ses gra
tèrent sans qu’elle entendît jamais, dominant la tourmente, la grande voix clamer : — Le pain de Dieu, ô hommes de bonne vol
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
te Aurore, qui demandoit pardon pour son frere. L’ogresse reconnut la voix de la reine et de ses enfans, et, furieuse d’avoi
d’avoir esté trompée, elle commanda, dés le lendemain matin, avec une voix épouventable qui faisoit trembler tout le monde,
vôtre fille, le petit Chaperon rouge (dit le Loup en contrefaisant sa voix ), qui vous apporte une galette et un petit pot de
toc. « Qui est là ? » Le petit Chaperon rouge, qui entendit la grosse voix du Loup, eut peur d’abord, mais, croyant que sa m
que ma mere vous envoye. » Le Loup luy cria, en adoucissant un peu sa voix : « Tire la chevillette, la bobinette cherra » Le
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