ient comme des images pour illustrer tes récits, et ces chants que ta
voix
m'a appris patiemment à chanter sur ces monodies
chance d’avoir en elle une admirable narratrice. J'entends encore sa
voix
inspirée prononcer sur le ton de l’incantation la
ue, lui répondait alors pour la rassurer. Et le Grain transmettait sa
voix
faible et lointaine. Lorsque furent en vue les fo
roit où il était tombé, 1« jeune fille entendait de moins en moins la
voix
de sa mère. Il arriva même un moment où elle ne l
efusa. Dès qu’elle eut atteint un rocher, elle se mit à chanter d’une
voix
plaintive : ‹ Elève-toi, élève-toi, rocher Rocher
ine arrivée sur la hauteur, la jeune fille se mettait à chanter d’une
voix
plaintive, entourée des sept chameaux confiés à s
qui formaient une pile sur une pierre. Et il l'entendit chanter d’une
voix
plaintive : ‹ Elève-toi, élève-toi rocher Rocher,
ée I Et elle partit à sa recherche. A la haie d’épines elle dit d’une
voix
furieuse : — Haie d'ordures, laisse-moi passer I
monde m’a délaissé I — Sois sans crainte, elle ne résistera pas à ma
voix
. — Dame Grenouille? appela-t-il. Suis-moi, je sui
tation Une des fidèles du Prophète Pleurait l'aîné de ses enfants. La
voix
de Dieu lui répondit : — Ne pleure plus ton fils
souci de Aïcha demeurait son frère-gazelle : Dès qu’elle entendait sa
voix
plaintive, elle levait la tête et lui répondait d
t la reine le supplièrent vainement de rester. Il leur répondit d'une
voix
ferme : — Je reviendrai avec Soumicha pour compag
sentit une main se poser doucement sur son épaule et il entendit une
voix
lui dire : — Lève-toi, Mehend et partons. Le sole
lle fille du monde. Et le jeune homme aux yeux de faucon reprit de sa
voix
la plus impérieuse, en regardant intensément la j
rent leur apparition à toutes les fenêtres. Le ciel chantait à pleine
voix
: « Soumicha, notre princesse, est revenue à la v
nc, ô Mehend, pour être si fier et me piétiner?» (j'entends encore sa
voix
sifflante). M’ayant planté cette épine dans le cœ
qu’au crépuscule. Une main ferme et tendre me touchait l'épaule, une
voix
persuasive me disait à l’oreille : «Mehend, lève-
, un svelte grenadier s’épanouissait au soleil. La reine entendit une
voix
lui murmurer à l’oreille : — Tant que cet arbre q
jument bleue aussi vive que l'éclair. Et elle tentait de percevoir la
voix
lointaine de la poudre tandis que Mehend, embrasé
ent d’apparaître. La reine, ce matin-là, s’était vêtue de pourpre. La
voix
de la poudre emplissait tout le ciel. Et la terre
omme la peur .11 avait un front bas et fermé, le regard fuyant et une
voix
dont nul ne connaissait le son ni la couleur car
n tirer des sons. Mais à peine porta-t-il la flûte à sa bouche qu’une
voix
cristalline sc mit à chanter : ‹ O berger, pourqu
ger se rendit au village pour faire entendre sur la place publique la
voix
merveilleuse de la flûte. Depuis longtemps la mèr
se demandaient que faire lorsque survint Tseriel. Elle leur dit d’une
voix
joyeuse : — Soyez les bienvenus, mes enfants, soy
s trois pour la veillée. C’est alors que le Subtil prit sa plus douce
voix
pour demander à Tseriel : — Maman-grand’mère, com
ngé, mangé... Ma sœur a rassemblé mes os. La petite fille reconnut la
voix
de son frère et se mit à trembler. ‹ Que va faire
je me suis inquiété pour la première fois du petit, dit l’homme d’une
voix
sombre. C'est alors que l'oiseau se posa sur le t
ha vers la femme. Mais alors l’oiseau chanta à nouveau, avec la douce
voix
de l’enfant : Garde-toi bien de la tuer, tuer...
la fillette, l’Ogre se présenta devant la masure et dit de sa grosse
voix
: — Ouvre-moi la porte, ô mon père Inoubba, ô mon
i habite hors du village. Il ne veut pas m'ouvrir parce que ma grosse
voix
me trahit. Indique-moi le moyen d'avoir une voix
parce que ma grosse voix me trahit. Indique-moi le moyen d'avoir une
voix
aussi fine, aussi claire que celle de sa petite f
entreront et racleront ta gorge. Mais ce n’est pas en un jour que ta
voix
s’éclaircira et s’affinera I L’Ogre fit ce que lu
égions de fourmis aller et venir dans sa gorge. Le quatrième jour, sa
voix
fut aussi fine, aussi claire que celle de la fill
porte, ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba ! L’Ogre répondit de sa
voix
fine et claire : — Fais sonner tes petits bracele
celets, ô Aïcha ma fille I La fillette qui ne reconnut pas dans cette
voix
celle de son grand-père, posa sur le chemin la ga
e tenant sur le seuil, Mehend regarda la jeune femme et lui dit d’une
voix
terrible : — Pour toi j’ai abandonné père et mère
ous que l’on nomme à raison ‹ les belles du pays › ! dit de sa grande
voix
le lion. Les perdrix prirent- leur vol. Et dès lo
re homme. — La maison est pleine de tes filles, lui disait-elle d’une
voix
acerbe. Elles entourent si étroitement le plat de
aux et enfants ? — Moche est mort ! annoncèrent les sept filles d'une
voix
forte. Moche a brûlé vif dans son repaire I — Lou
des pèlerins. Aïcha courut vers lui : — O ma fille, lui dit-il d’une
voix
humble, je n’osais croire que la joie de te revoi
vit disparaître sous une tente. Il approcha de la tente et dit d’une
voix
forte : — Donnez-moi ma chasse I Une jeune fille
en choisit une qu’il plaça bien en face. Et, s’adressant à elle d’une
voix
persuasive il dit : — Parle, bougie, et raconte l
nfant? demanda Settoute du ton le plus engageant. Si j’en juge par ta
voix
qui est douce et par ta main qui est parfaite, tu
n se battait comme un lion. Il accomplissait tant de prouesses qu’une
voix
ne put s'empêcher de monter et de dire à la foule
uerrier les arrêta. Se plaçant devant la victime, il dit d’une grande
voix
: — Cet homme est mort et son corps me revient. Q
igne et juste que le sultan épouse les veuves de son fils I Une seule
voix
, inexorable et froide comme une lame, clama à son
épouser les veuves de son fils, car il commet un sacrilège I Et cette
voix
était celle du septième Notable. Le sultan eut un
oi de Dieu permet l’union du père avec ses brus. Et par sept fois, la
voix
du septième Notable clama de plus en plus pathéti
Ange de la Mort. — Descends de ce trône ! jeta-t-il à son père, d’une
voix
méprisante. Car il faut que justice soit faite !
les pieds. — Qu’on allume un feu lent à ses pieds, ordonna-t-il d'une
voix
sombre, afin que lentement il brûle et se souvien
d’eux. Velâjoudh descendit et se porta à leur rencontre. Il imita la
voix
de Vetellis et souhaita la bienvenue à tous et à
e donc ! lui répliqua sa mère. Mais l’ogrillonne reprit en élevant la
voix
: — Je te dis que c’est l’œil de cousine Vetellis
ne m’attaquer à aucun rat. Aux souris les plus timides, il dit de sa
voix
la plus engageante : — Approchez, approchez, asse
i : sa mère, prenant à témoin le ciel, l’accablait, le raillait d’une
voix
inexorable comme le destin. Sa mère le piquait da
e mendiant était appelé : ‹ L’hôte de Dieu ›. A peine entendait-on sa
voix
, que l’un des enfants se levait pour aller à son
oir d’orage, on entendit couvrant le bruit de la pluie et du vent, la
voix
puissante d’un mendiant. — Le pain de Dieu, û hom
diant. — Le pain de Dieu, û hommes de bonne volonté I implorait cette
voix
. La mère regarda ses enfants et son mari assis au
it l’Oiseau de l’Orage. Il était là, tout près, et il demandait d'une
voix
tendre et basse : — Es-tu heureuse ? Parle, y a-t
mme qui accepterait pour mari un être dont elle ne connaîtrait que la
voix
, sinon toi, malheureuse? Yamina baissa la tête. A
Yamina autrefois. On entendit au plus fort de la tourmente une grande
voix
clamer : — Le pain de Dieu, ô hommes de bonne vol
ns une forêt, offerte à l’orage et au froid. Alors, elle entendit une
voix
bien connue, une voix sombre comme la mort lui di
à l’orage et au froid. Alors, elle entendit une voix bien connue, une
voix
sombre comme la mort lui dire : — Tu as manqué à
u connaître mon visage, tu me perds tout entier, toi qui possédais ma
voix
et ma présence à tes côtés. Yamina pleura, suppli
ravers la pluie et les éclairs. Yamina parla, mais le vent couvrit sa
voix
. L’Oiseau de l’Orage déchirait la nuit de ses gra
tèrent sans qu’elle entendît jamais, dominant la tourmente, la grande
voix
clamer : — Le pain de Dieu, ô hommes de bonne vol