veux épouser la négresse. — Comment oserons-nous regarder en face nos
voisins
? s’indigna le père. Tu veux notre honte. Mais le
. On l’appela Jedjigha : Fleur. Chaque jour augmentait sa beauté. Les
voisines
disaient à sa mère : — Certes, belle tu l’es. Mai
ande couverture. Nous irons planter les montants dans la campagne. La
voisine
nous accompagnera. Au matin, elle prit deux monta
x montants bien solides et une grosse pelote de laine. Elle appela sa
voisine
et toutes deux partirent, emmenant la fillette. E
puis 11 les reconduisit. Et la femme courut rapporter un tamis qu’une
voisine
lui avait prêté. Alors, Zaïna s’approcha du grand
urveillant ? Ce serait une honte. Nous deviendrions la risée des pays
voisins
I — Si je ne l’épouse pas, dit le prince, je ne m
nous : elle nous couvrirait de honte. Elle nous salirait aux yeux des
voisins
et nous n’oserions plus nous adresser à âme qui v
en vain. Mais un cavalier vint & passer qui revenait d’un marché
voisin
. Il l'entendit pleurer. Il descendit de cheval et
bord en vain. Mais un cavalier vint à passer qui revenait d’un marché
voisin
: c’est Dieu qui le lui envoyait. Il délivra la j
la dévorer qu’elle trouva le courage de se rendre chez son redoutable
voisin
. Elle fit craintivement le tour du repaire : le f
lui-même. Pour avoir une armée innombrable qui ruinerait les royaumes
voisins
et les asservirait, il exigea des femmes qu’elles
es, à l'exception de Aïcha, épousèrent des princes venus des royaumes
voisins
. Aïcha régna seule sur l'empire de Moche avec jus
nd au dehors ses bienfaits Comme la source dont les eaux vont chez le
voisin
. HISTOIRE DE LA PUCE ET DU POU Que mon cont
s pleines, charge sur ses épaules les bâts et abandonne ses ânes. Une
voisine
qui s’apprêtait à cuire des galettes, sort de sa
escendu aux enfers. Il est tombé dans la marmite et il a disparu ! La
voisine
se plaque une galette sur chaque joue. La maison
u ! La voisine se plaque une galette sur chaque joue. La maison de la
voisine
se déplace et dit : — Qu’as-tu, Dame Puce ? — Hou
-tu, Dame Puce ? — Hou ! hou ! Que n'est-il arrivé ! Ce que j’ai ? La
voisine
aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le Chevri
Ce que j’ai? Hou I hou I Que n'est-il arrivé I La maison écroulée, la
voisine
aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le Chevri
! hou ! Que n'est-il arrivé ! La source tarie, la maison écroulée, la
voisine
aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le Chevri
rrivé ! La brebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la
voisine
aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le Chevri
noyée, la brebis dépouillée, la source tarie ,1a maison écroulée, la
voisine
aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le Chevri
noyée, la brebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la
voisine
aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le Chevri
noyée, la brebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la
voisine
aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le Chevri
noyée, la brebis dépouillée, la source tarie, la maison écroulée, la
voisine
aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le Chevri
e d’épines, la maison écroulée. Elle emporte la brebis dépouillée, la
voisine
aux galettes, le Porteur aux deux bâts, le Chevri
a en une énorme motte de beurre. Eblouie, la vieille femme appela les
voisines
: elles accoururent par groupes pour constater le
faire le bien Puisqu'il ne se moissonne pas, Depuis que m’a trahie la
voisine
Que j'aimais comme père et mère. Négligeant de me
is un jour vers ma vieille amie Gida Nana, m'étonnant de ce que notre
voisine
adorât et protégeât son dadais de fils, de qui el
i reviendra me chercher. Ses frères et sœurs accoururent des villages
voisins
pour fêter son retour. Et la maison fut pleine co
ruelles. ‹ Mon fils, ta femme m'a battue Sous les yeux de toutes les
voisines
. Je lui souhaite d'enfanter sept filles Mangées d