. Mais leurs ouvrages, parfaitement documentés, ne font cependant pas
vivre
nos légendes dans la mémoire de chacun à la façon
dant pas vivre nos légendes dans la mémoire de chacun à la façon dont
vivent
, par exemple, les Contes de Perrault. L’idée de d
le dut suivre à pied. Les voyageuses atteignirent enfin le village où
vivaient
les sept frères : on leur indiqua leur maison. Us
s eux, les embrassa et leur dit : — Mes frères bien-aimés, j’ai assez
vécu
puisque je vous vois ! Settoute m’a insultée. Ell
les jaunies O coeur jaloux I Proverbes Si tu rencontres deux être qui
vivent
en harmonie Sois sûr que l’un des deux est bon. L
s sont en fleur, leur joie est pleine. Il y en a qui en leurs enfants
vivent
: Ils espèrent qu’en tous lèvera le bien. Mais no
où parlaient les bêtes, la Grenouille était l’épouse du Crapaud. Ils
vivaient
très heureux. L'abondance et la prospérité emplis
s. Tifas est au paradis, Uni à Dieu dans sa splendeur. Si tu préfères
vivre
en ce monde, Je te donnerai des dents et une autr
écrasé. Tu deviendras serpent comme moi et tu le resteras tant que je
vivrai
, afin que les hommes te foulent aux pieds I C’est
onde et se réfugia dans la forêt. Il se rapprocha des bêtes, se mit à
vivre
à leur façon, à se nourrir de chair et de sang. M
es parents. Elle répondit : — C’est ici, dans cette caverne, que j’ai
vécu
et grandi. Le serpent m'a élevée : je suis sa fil
u t’en repentiras. Elle s’en retourna tout effrayée vers le roi. Elle
vécut
heureuse à la cour durant quelques mois. Le princ
nça vers lui et déclara : — La vache qui a frappé ma fille ne saurait
vivre
dans ma maison. Homme, tu la vendras. Tu la vendr
endre, tu l’égorgeras. Car la vache qui a frappé ma fille, ne saurait
vivre
dans ma maison. Il égorgea la vache. Les orphelin
en gazelle. Le sultan fit d’elle sa femme. Aïcha et son frère-gazelle
vécurent
heureux quelque temps. Le sultan possédait un imm
d'y goûter, que des viandes sans os. Mehend grandit à l’abri du mal,
vécut
en reclus et atteignit l’adolescence ignorant tou
it de retirer de l'eau un poisson aussi grand qu’un homme. Ce poisson
vivait
encore et se débattait farouchement pour sortir d
ant, après un long silence dit encore : — Jadis, en cette ville, nous
vivions
heureux et calmes car notre seigneur était le plu
douce que l'herbe et le souffle des fleurs. Elle était sa joie. Il ne
vivait
que par elle. Il lui cherchait patiemment un épou
surent que le temps de la confiance était revenu : ils se reprirent à
vivre
et à travailler. Les sources que le malheur avait
miracle à la surveillance tyrannique d'un père qui me contraignait à
vivre
en reclus. Car pour m’isoler du monde et de toute
fleurs. La mère confiante se dit : «Mon fils est florissant.) Et elle
vécut
heureuse et paisible dans le voisinage de l’arbre
TE D’OS Aux temps très anciens, dans un village reculé de Kabylie,
vivait
une famille composée du père, de la mère et de de
chansons et de ses rires, car il était comme les oiseaux, heureux de
vivre
et plein d'insouciance. Un jour d’orage, l’aîné r
urent, les enfants allèrent aux champs et gardèrent les troupeaux. Us
vécurent
sans souci jusqu’à l’adolescence. Mais un jour l’
ultan le regarda longuement et finit par dire : — Mon fils, ton frère
vivait
heureux parmi nous. Sa renommée l’avait précédé j
, car tous ceux qui ont suivi cette voie ne sont pas revenus I › Nous
vivions
en paix. Nous vivions heureux. Ma fille allait bi
t suivi cette voie ne sont pas revenus I › Nous vivions en paix. Nous
vivions
heureux. Ma fille allait bientôt nous donner un e
a fillette cessa de trembler. Mais l’homme perdit à jamais le goût de
vivre
. PROVERBE Qui sait la vérité ?... Celui qui a fra
aconte qu’aux temps anciens il était un pauvre vieux qui s’entêtait à
vivre
et à attendre la mort tout seul dans sa masure. I
riomphent. Ils disent : ‹ Tant mieux; il est en exil I › Mais si nous
vivons
une longue vie, L’argent affluera par portes et f
orsque Dieu les dota de cet unique enfant. Ils l’appelèrent Mehend et
vécurent
les yeux fixés sur lui. Dieu régnait dans le ciel
des volailles. Lève- toi, aujourd'hui est le jour de nos noces I Ils
vécurent
un temps dans le bonheur et la prospérité. Mais u
et courut vers son ~mi fidèle : — Voici maintenant qu’elle exige pour
vivre
du lait de lionne as une outre en peau de lioncea
un énorme festin. Durant plusieurs années, le prince et la princesse
vécurent
heureux à la cour. Et quand le roi vint à mourir,
re. ■Le roi et la reine se comprirent. Ils revinrent au palais pour y
vivre
heureux jusqu’à la mort. 'Mon conte est comme un
ers la vieille femme et lui déclara : — Ma sœur et moi nous voudrions
vivre
dans ce pays. Où pourrais-je trouver une petite m
que tu soigneras les bêtes et cultiveras les champs. Ils restèrent et
vécurent
heureux et paisibles près de la vieille femme. Ma
blait de présents, afin qu’elle oubliât ses anciennes tristesses. Lui
vivait
suspendu à ses moindres souhaits, heureux s’il la
ourant, elle laissa tous ses biens aux orphelins. Le frère et la sœur
vivaient
unis et heureux. Mais la sœur voulut pour son frè
uasive il dit : — Parle, bougie, et raconte l’histoire des frères qui
vivaient
ensemble dans ce jardin de montagne où se trouvai
disait le plus comblé des hommes : il avait retrouvé son pays. Et il
vivait
parmi des épouses aussi belles que sages qui, loi
durerait ma vie. Voici deux ans que je néglige de taire le bien Pour
vivre
en prodigue à travers les pays, Et cheminer dans
s. » Aux temps anciens, aux temps très anciens, il était un homme qui
vivait
entre sa vieille mère et sa jeune femme. Comme da
rienne de femme. Et durant des semaines, des mois, des années l’homme
vécut
en enfer. Mais un jour, l'attirant dans un coin,
dans un coin, l'épouse finit par lui dire : — Homme, tant que ta mère
vivra
, nous ne serons jamais en paix et nous ne connaît
le comme un long fil I Dans un village reculé, il y a fort longtemps,
vivaient
au milieu de leurs nombreux enfants un homme et u
à moi par ce temps, j’ai voulu ton bonheur et je t’ai emmenée. Tu vas
vivre
au cœur même du paradis terrestre. Il te suffira
endre. — Et toi, pauvre naïve, s'écrièrent ses sœurs indignées, tu as
vécu
tout ce temps sans oser lever ton regard sur lui