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1 (1966) Le grain magique
Mon bien s’en est allé. Il m’a laissée. Veux-tu que nous quittions La ville des mensonges ? Veux-tu que nous allions Nous éve
sée. Veux-tu que nous partions ? Embarquons-nous sur l'heure. Dans la ville des treilles, Nous nous éveillerons. O Mali, Mali
a. Qui se blesse soi-même ne se manque jamais. Chant du berceau Bône, ville des treilles, ma mère, Gardienne de la mer, Quatr
trées tour à tour verdoyantes ou pauvres et pénétrèrent dans bien des villes et villages. Ils allaient, le visage tourné vers
orsqu'un jour d’été ils se trouvèrent devant les murs d’une puissante ville . Le Cheikh, du haut de son minaret, appelait les
. Et le passant, après un long silence dit encore : — Jadis, en cette ville , nous vivions heureux et calmes car notre seigneu
passant se recueillit et puis il ajouta : — Le malheur est sur notre ville I Alors le jeune homme à la taille imposante et a
rent, s’étonnant de ne rencontrer aucun être vivant. Les portes d’une ville leur apparurent, d’énormes portes aux clous de cu
ux joues fraîches et aux yeux transparents qui vous aventurez dans la ville que Moche-le- Cruel a dévastée ? Ne savez-vous pa
Mes filles, Moche était le seigneur et maître tout puissant de cette ville . C’était un prince d'une beauté merveilleuse mais
impitoyable lorsqu’il était homme. H contraignit ses sujets à fuir la ville et même le pays. Loué soit Dieu mille fois qui no
et souffert d’exil revinrent à leurs maisons et à leurs biens. Et la ville et tout le pays connurent la paix et la prospérit
fit un bond prodigieux et Cheikh Smaïn se trouva à l’intérieur de la ville . De la fumée montait d’une maison toute proche do
e je descende de ma tour et sois vraiment sa femme, il ordonne que la ville soit déserte tout le jour, car je désire la trave
ndre de sa tour. Mais elle exige que nul ne sorte aujourd’hui dans la ville , car elle projette de s’y promener en voiture. —
, loué soit Dieu qui t’a envoyée ! Aujourd'hui nul ne sortira dans la ville , sous peine de mort. Ni même demain. Alors, la vi
s tenait toutes trois sur son cheval noir, entrant avec elles dans sa ville natale, la plus jeune au visage de lait lui dit :
laires fontaines qui ne tariront ni jour ni nuit. Les habitants de la ville furent saisis d’effroi lorsqu’ils virent au lever
e inquiétante rumeur, crut à quelque ennemi devant les remparts de sa ville : « Qui va pouvoir me renseigner habilement ? › s
s de son fils, le sultan convoqua dès le lendemain les Notables de la ville : — J’ordonne, leur dit-il, que vous déclariez de
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
and besoin, et le prince la quitta, dès le matin, pour retourner à la ville , où son pere devait estre en peine de luy. Le pri
sa femme dans son chasteau. On luy fit une entrée magnifique dans la ville capitale, où elle entra au milieu de ses deux enf
BLEÜE   Il estoit une fois un homme qui avoit de belles maisons à la ville et à la campagne, de la vaisselle d’or et d’argen
et que c’estoit un fort honneste homme. Dés qu’on fust de retour à la ville , le mariage se conclut. Au bout d’un mois, la Bar
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