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1 (1966) Le grain magique
Que mon conte soit beau et se déroule comme un long fil I Dans un village , autrefois, étaient sept frères. Ils se réunirent
rons. Le jour où devait être délivrée leur mère, ils s’éloignèrent du village et ils attendirent, assis en rond. Settoute, la v
e jeune fille dut suivre à pied. Les voyageuses atteignirent enfin le village où vivaient les sept frères : on leur indiqua leu
mme sang étaient déjà loin. Us arrivaient en vue d’une hauteur. — Mon village est là-bas, dit le jeune homme en étendant le bra
ève la tête, répondit le Crapaud. Derrière cette colline se trouve le village . Nous allons bientôt voir les toits des maisons.
e et toutes deux partirent, emmenant la fillette. Elles laissèrent le village loin derrière elles et atteignirent une colline.
ui demanda avec douceur : — Quel est ton nom ? Quel est le nom de ton village et celui de tes parents pour que je te reconduise
le Jedjigha, mais je ne sais ni le nom de mes parents ni celui de mon village . Le serpent qui ne pouvait reparaître aux yeux de
e il approchait pour la mieux considérer, elle disparut. De retour au village , il raconta son aventure à qui voulait l’entendre
eillant de son visage épanoui comme une rose. Il l’interrogea sur son village , sur ses parents. Elle répondit : — C’est ici, da
t les soucis avaient mûrie. La veuve habitait une hutte, en dehors du village . Elle en partait avant le lever du soleil et n’y
oit beau et se déroule comme un long fil ! Autrefois, dans un certain village , il était un homme qui avait une femme et deux en
r. Au matin, ils se remirent en marche. Ils demandaient la charité de village en village. Ils rencontrèrent une source sur leur
, ils se remirent en marche. Ils demandaient la charité de village en village . Ils rencontrèrent une source sur leur chemin : l
mettait en marche. Mais voici que le sultan l’aperçut un jour dans un village . Il enjoignit à ses sujets de la lui attraper. Aî
à tour verdoyantes ou pauvres et pénétrèrent dans bien des villes et villages . Ils allaient, le visage tourné vers l’Orient, bu
lace de la peur ! LA FLUTE D’OS Aux temps très anciens, dans un village reculé de Kabylie, vivait une famille composée du
ice. La terre éboulée A recouvert mon corps. » Le berger se rendit au village pour faire entendre sur la place publique la voix
ard, comprit que son crime était découvert. Il quitta sur le champ le village pour n'y plus jamais revenir. Nul ne connut la fi
ière lui et il entra dans une fertile et verdoyante contrée. Un grand village lui apparut ; il y pénétra. Un crieur public y cl
n sabre, sa carabine et, à son tour, s’éloigna. A peine sortait-il du village que des chevriers l’appelèrent : — Ta chèvre s’es
énétra dans une riche et verte contrée, le soleil se levait. Un grand village lui apparut, le village que son frère avait déliv
verte contrée, le soleil se levait. Un grand village lui apparut, le village que son frère avait délivré du dragon. Le lévrier
sur nous et nous condamnait à mourir de soif. Ton frère entra dans ce village comme j'y faisais crier : « A celui qui nous déli
arcoururent sans hâte, en promeneurs ; ils atteignirent avant midi le village . La nouvelle de leur arrivée se répandit vite d'u
gèrent toute la nuit et tout le jour, laissèrent loin derrière eux le village et la belle contrée verdoyante. Ils parcoururent
rent. Le bruit de leur passage courut comme le vent et les précéda au village natal. Bientôt, ils virent sur la route, à l’ombr
tournait pour contempler ses biens. C’était encore le jour lorsque le village s’ouvrit enfin devant eux et qu'ils y pénétrèrent
nt escorte. Lorsque les derniers chevreaux eurent passé les portes du village , c’était la nuit. Mon conte est comme un ruisseau
é ! Chant d’amour A sa recherche, du matin à la nuit J’ai parcouru le village tout entier : Où s'est-il réfugié ? C'est un rame
roule comme un long fil I Aux temps anciens l’on raconte que, dans un village , il était deux vieux (un homme et une femme) et q
traversé la rivière. Ils purent aisément retrouver le chemin de leur village . Des gens étaient à leur recherche. Le Subtil et
à attendre la mort tout seul dans sa masure. Il habitait en dehors du village . Et jamais il n’entrait ni ne sortait, car il éta
les jours son déjeuner et son dîner. Aïcha venait de l’autre bout du village , envoyée par ses parents qui ne pouvaient eux-mêm
ier. — Voici, lui dit-il, il y a un vieil impotent qui habite hors du village . Il ne veut pas m'ouvrir parce que ma grosse voix
chemin la galette et le plat de couscous qu’elle tenait, et courut au village alerter ses parents. — L’Ogre a mangé mon grand-p
ne l'accueillerai pas. Choisis une fiancée parmi les jeunes filles du village et pose la main sur elle. Je ne regarderai ni à l
conte soit beau et se déroule comme un long fil I Autrefois, dans un village , il y avait un homme qui possédait une perdrix, u
le ne consentit à se reposer qu’au crépuscule, devant les portes d'un village . Elle mit un peu de moelle sur les lèvres de l’en
on premier pas. Alors, elle le souleva dans ses bras et entra dans le village . Elle était si fatiguée qu’elle s’arrêta devant l
t se tenant par le bras. Ils allèrent, ils allèrent en direction d’un village qu’ils apercevaient au loin. Ils l’atteignirent e
homme, mon frère est un homme I Reskia et son frère entrèrent dans le village au crépuscule. Ils remarquèrent une vieille femme
te choisir une fiancée parmi les jeunes filles les plus accomplies du village . Le mariage eut lieu. Et Zahoua, la jeune épouse,
voisins et nous n’oserions plus nous adresser à âme qui vive dans le village . Ali dormit mal cette nuit-là. Il se réveilla dès
arbres ou au bord d’un ruisseau pour manger, boire et se reposer. Le village de l’oncle était tout proche, lorsque la mère dit
des os mêmes de la mère et en fit un homme. Une nuit, à l’entrée d’un village inconnu, le frère et la sœur rencontrèrent une vi
filles au comble de la surprise, elle courut apprendre la nouvelle au village et emprunter, de maison en maison, les riches vêt
en marche à peine reposées, tant elles avaient de hâte à atteindre ce village de leur mère, derrière la montagne, où chantaient
ce trou?... C’est par là qu’il nous faut descendre pour atteindre le village de votre mère, si nous ne voulons pas manquer le
usqu’à la fontaine. Mais le Pou, 'lui, alla tout près, à l’endroit du village où l’on jette les détritus, ramasser quelques bri
Cheikh Smaïn lui tendit une poignée de pièces d’or et elle courut au village acheter des légumes, de la viande et des fruits.
dons sera pour toi. Cheik Smaïn et le bon vieillard entrèrent dans le village . Ils s’arrêtèrent devant la première maison : ell
mon conte soit beau et se déroule comme un long SI I Dans un certain village , autrefois, il était un petit garçon que l'on app
conte soit beau et se déroule comme un long fil ! Autrefois, dans un village , il y avait un chat qui exterminait tous les rats
in il sortit, se montra et fit crier sur la place publique et hors du village : — Je suis allé à la Mecque ; je me suis purifié
nous réconciliions et devenions des amis. La nouvelle se répandit de village en village. Les souris et les rats qui se rencont
ciliions et devenions des amis. La nouvelle se répandit de village en village . Les souris et les rats qui se rencontraient se d
méfiance prit une corde et suivit son fils. La forêt était proche du village ; il l’atteignirent de grand matin. Ils ramassère
é. Car pour plaire à ma femme, j’ai assassiné ma mère I Et depuis, de village en village, à travers les Kabylies, se raconte le
plaire à ma femme, j’ai assassiné ma mère I Et depuis, de village en village , à travers les Kabylies, se raconte le miracle du
Que mon conte soit beau et se déroule comme un long fil I Dans un village reculé, il y a fort longtemps, vivaient au milieu
lle comme un oiseau sous l’orage. Il vola, il vola longtemps, loin du village , loin du pays de Yamina. Ce n’est que vers la fin
, mon mari reviendra me chercher. Ses frères et sœurs accoururent des villages voisins pour fêter son retour. Et la maison fut p
isseau, je l’ai conté à des Seigneurs. Chant d'amour Me voici dans le village des Aith Ouerthiran Je m'appelle Othman Et mon pa
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
    LE PETIT CHAPERON ROUGE   Il estoit une fois une petite fille de village , la plus jolie qu’on eut sçû voir ; sa mere en es
aussi tost pour aller chez sa mere-grand, qui demeuroit dans un autre village . En passant dans un bois, elle rencontra compere
ar delà le moulin que vous voyez tout là-bas, à la premiere maison du village . — Et bien ! dit le Loup, je veux l’aller voir au
n (car c’estoit une fée qui avoit pris la forme d’une pauvre femme de village , pour voir jusqu’où iroit l’honnesteté de cette j
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