que tu ne cesses de psalmodier en pensant à moi, cette parole que les
vieilles
femmes de chez nous ont lancée vers le ciel, à to
loignèrent du village et ils attendirent, assis en rond. Settoute, la
vieille
sorcière, s’avança et leur dit : — Bienvenu soit
ue cette servante est vraiment notre sœur?... Us consultèrent donc le
Vieux
Sage. Ils lui racontèrent comment les chameaux dé
ils prenaient part & la peine de la servante qui les gardait. Le
Vieux
Sage les écouta et leur dit : — Une chose n’a pu
oir que l’aigle lâcherait sa proie. Et puis il décida de consulter le
Vieux
Sage. Le Vieux Sage le rassura et lui dit : — L'a
lâcherait sa proie. Et puis il décida de consulter le Vieux Sage. Le
Vieux
Sage le rassura et lui dit : — L'aigle n’aura pas
ille, ô ma tille Ah I la la Ne l’épouse pas Ah I la la Epousailles de
vieux
Ah I la la Sentent le crapaud Ah I la la. Epousai
revint en vomissant par les chemins. Alors, sa mère furieuse prit un
vieux
plat ébréché qu’elle remplit de braise, ramassa d
Alors, comme ils allaient entreprendre d’abattre l’arbre, Settoute la
vieille
sorcière, chuchota : — Pour cette nuit laissez-la
oignez-vous. Aîcha, le lendemain, regarda entre les palmes et vit une
vieille
femme toute voûtée : c’était Settoute qui avait a
vait un puits. Et ce puits, on n’y puisait plus d'eau : il était trop
vieux
. On ne tarda pas à apprendre dans le royaume que
e que le sultan était en voyage, elle attira la jeune sultane près du
vieux
puits, la fit asseoir sur la margelle, s’accroupi
our laisser passer le fils du roi qu’elle avait reconnu. Settoute, la
vieille
sorcière, fut seule à lui barrer le chemin. Comme
ndèrent au nom de Dieu une cruche d’eau et un morceau de galette. Une
vieille
servante leur apporta de l’eau, une galette de 'b
ent la tête coupée et offerte aux corbeaux. Bien des hommes jeunes et
vieux
accoururent de tous pays, les uns poussés par l'a
à la recherche de Soumicha, la princesse lointaine dont Settoute, la
vieille
sorcière, lui avait révélé l’existence. Voici sep
Proverbes Comme qui se plaint à sa marâtre. La motte de beurre de la
vieille
est tombée dans le feu. La vieille a dit : « Je l
marâtre. La motte de beurre de la vieille est tombée dans le feu. La
vieille
a dit : « Je l'offre à Dieu I » Chant religieux A
sultan, quelle est la plus précieuse ? . — Sa fille, répondit le plus
vieux
de l’assemblée, son unique fille qui surpasse en
t à la recherche de son frère sans même s'être reposé. H alla voir le
Vieux
Sage et lui demanda dès le seuil : — Pourquoi le
— Parce que c’est là que se trouve le jardin de Tseriel, répondit le
Vieux
Sage. Si Mehend s’y est aventuré, elle l’aura ava
I Aux temps anciens l’on raconte que, dans un village, il était deux
vieux
(un homme et une femme) et que ces vieux avaient
ns un village, il était deux vieux (un homme et une femme) et que ces
vieux
avaient deux garçons encore jeunes, l’un poli, su
ubtil, et l’autre toute candeur : c’était un innocent. Or ces pauvres
vieux
ne pouvaient plus travailler la terre. Ils dirent
es. — Les nôtres sont sûrement mûres ! déclarèrent à nouveau les deux
vieux
. Vous irez demain les cueillir. Le Subtil et l’In
ent à leur recherche. Le Subtil et l’Innocent aperçurent de loin leur
vieux
père appuyé sur un bâton. Ils coururent vers lui
me un long fil I L’on raconte qu’aux temps anciens il était un pauvre
vieux
qui s’entêtait à vivre et à attendre la mort tout
te, et cette porte, il en tirait la targette à l’aide d’un fil. Or ce
vieux
avait une petite fille, à peine au sortir de l’en
e Inoubba, ô mon père Inoubba 1 — Sauve-toi, maudit ! lui répondit le
vieux
. Crois-tu que je ne te reconnaisse pas ? L'Ogre r
il la fit tinter. La porte s’ouvrit. L’Ogre entra et dévora le pauvre
vieux
. Et puis il revêtit ses habits, prit sa place et
l était un homme et une femme qui avaient un enfant. Ils étaient déjà
vieux
lorsque Dieu les dota de cet unique enfant. Ils l
pagne. Ils atteignirent l’ermitage entouré de prairies qu’habitait un
vieux
Sage, ami du jeune homme. L’ami souhaita la bienv
le bien dans son cœur. Comment oses-tu lui sacrifier tes parents, tes
vieux
parents qui ont attendu si longtemps ta naissance
s’endormir tant il était inquiet. Il se rendit au petit jour chez le
Vieux
Sage, son ami, qui l’accueillit par ces mots : —
la pomme enchantée. — Dans le jardin de Tseriel, consentit à dire le
Vieux
Sage. Mais, afin que l’Ogresse ne t’avale pas, il
pieds et les mains, plus grand, il avance sur ses deux pieds. Devenu
vieux
, il s’appuie sur un bâton. Quant à l’arbre, c’est
mains et les pieds. Plus grand, il avance sur ses deux pieds. Devenu
vieux
, il s’aide d’un bâton. Et quant à l’arbre, c’est
n frère entrèrent dans le village au crépuscule. Ils remarquèrent une
vieille
femme qui avançait à quelques pas d’eux. Ils la r
ent profondément. Le jeune homme s’éveilla le premier. H alla vers la
vieille
femme et lui déclara : — Ma sœur et moi nous voud
s ce pays. Où pourrais-je trouver une petite maison et du travail? La
vieille
femme répondit : — Je suis âgée, fatiguée, seule
les champs. Ils restèrent et vécurent heureux et paisibles près de la
vieille
femme. Mais elle vint à mourir et ils cessèrent d
n reposée : — Toi et moi, si tu veux, nous allons nous rendre chez le
Vieux
Sage. Lui, j’en suis sûr, nous révélera la vérité
era la vérité. A peine jeta-t-il un regard sur la jeune fille, que le
Vieux
Sage annonça : — Ce sont des serpents que cette p
l’entrée d’un village inconnu, le frère et la sœur rencontrèrent une
vieille
femme. Ils lui dirent : ‹ Notre mère, abrite-nous
ac. Qui a bonne langue A mieux qu’un champ d'oliviers. HISTOIRE DU
VIEUX
LION ET DU VOL DE PERDRIX Que mon conte soit b
le comme un long fil 1 Aux temps où parlaient les bêtes, un lion déjà
vieux
se chauffait au soleil sur la pente d'une colline
la tailla en quatre parties égales. Et il entreprit alors de faire au
vieux
lion des mocassins qui enveloppent étroitement se
l eût été roué de coups, aussi impuissant et désarmé qu'un agneau, le
vieux
lion humilié gémissait, maudissant du fond de son
cas, reconnaîtrait son ennemi ! Le lion, embarrassé, alla trouver le
Vieux
Sage et lui raconta le vilain tour que lui avait
tour que lui avait joué le chacal. — Ne te désespère pas, lui dit le
Vieux
Sage, car nous tenons déjà ton ennemi. Procure-to
surtout pas, car c'est lui qui a voulu ta mort ! Le lion remercia le
Vieux
Sage et se mit immédiatement en quête de la génis
et les larmes vaines. C’est alors que se dressant parmi les dunes un
Vieux
Sage me dit : — Homme I tes filles sont en vie. D
mourir, en était fort aise. Settoute seule verdissait de jalousie (la
vieille
sorcière en voulait à Cheikh Smain depuis ce jour
qu’à se reposer de leur interminable voyage, et le cheval aussi. Une
vieille
femme, vêtue pauvrement les rencontra. Cheikh Sma
sommes fourbus. Donne-nous asile pour cette nuit, au nom de Dieu. La
vieille
femme les fit entrer dans sa maison et se désola
ur grande faim. Au cours de la veillée, le prince se tournant vers la
vieille
femme, demanda : — Notre mère, sais-tu si des étr
re du mal, et elle te recevra, j'en suis sûr, ajouta Cheikh Smaïn. La
vieille
s’habilla décemment et s’en alla trouver le sulta
lus merveilleux visage qui se puisse voir sous la lumière de Dieu. La
vieille
femme lui sourit de loin et lui fit des signes d’
de se tenir prêt à m’enlever dès que je passerai devant sa maison. La
vieille
retourna auprès du sultan pour lui dire : — Dieu
sortira dans la ville, sous peine de mort. Ni même demain. Alors, la
vieille
femme courut comme le vent vers Cheikh Smaïn et l
e demandait-il avec anxiété. C’est alors que se présenta Settoute, la
vieille
sorcière. Elle dit : — C’est moi qui te renseigne
é. — Mon père, lui dit le prince, veux-tu que je sois ton fils? Tu es
vieux
et je te vois travailler. ' — Mon fils, répondit
es fruits et du café pour fêter cette heureuse rencontre. Et les deux
vieux
et le prince rendirent grâce à Dieu d’avoir donné
mmencer pour tous. Une vie paisible et douce. ■Le lendemain, comme la
vieille
femme se disposait à faire son beurre dans une co
et tout le lait se changea en une énorme motte de beurre. Eblouie, la
vieille
femme appela les voisines : elles accoururent par
. Cela il le comprit le jour où il vit son père adoptif extraire d'un
vieux
coffre un vieux fusil rouillé et entreprendre de-
prit le jour où il vit son père adoptif extraire d'un vieux coffre un
vieux
fusil rouillé et entreprendre de-le fourbir. — Mo
avec plus d’ardeur le prince. Et le débat menaçait de durer, quand la
vieille
femme y mit fin : — Partez tous les deux, dit-ell
ne montre pas son chemin à l’orphelin. Chant satirique J'ai trouvé le
vieux
en toilette Une ceinture de cachemire à la taille
pris au piège qui tentaient vainement de fuir. Un seul rat (il était
vieux
) avait refusé d’entrer. Il se tenait debout, sur
e leurs enfants ne les aimaient. Comme je me tournais un jour vers ma
vieille
amie Gida Nana, m'étonnant de ce que notre voisin
nciens, aux temps très anciens, il était un homme qui vivait entre sa
vieille
mère et sa jeune femme. Comme dans l’Arche de Noé
I dit Yamina, la plus jeune des filles. Elle jeta sur ses épaules une
vieille
couverture, traversa la cour sous l'averse, ouvri
blanc comme neige ou noir comme corbeau ? Parle. Est-il jeune, est-il
vieux
et fait-il de ton bras un oreiller? Est-il beau c
ui qui tire sur la corde Sache que j’en tiens le bout. Le lion devenu
vieux
, Les chacals le battent. Chant de méditation O mo
engendré la haine Et versé le goudron entre belles-mères et brus ? La
vieille
pousse sa clameur Comme un bouc par les ruelles.