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1 (1966) Le grain magique
s’est renversé C’est mon pied qui l'a heurté Le pot s’est renversé Le vieillard s'est remarié. Le pot s'est renversé La première
cheveux d'or qui jouaient et se poursuivaient de façon charmante. Un vieillard élevait dans ses bras le septième enfant aux chev
ux cheveux d’or. La princesse cherchait des yeux le serpent. Alors le vieillard s’avança et lui dit : — Ne le cherche pas, c’est
a la. Ma mère, ô ma mère Ah I la la J'ai déjà prié Dieu Ah ! la la Un vieillard est venu Ah I la la Pas un jouvenceau Ah I la la.
u’il demandera. › Mehend se rendit à l’endroit où se réunissaient les vieillards et les notables. Il s’avança vers eux et demanda
irer le dragon. Et il suivit le chemin de la fontaine, accompagné des vieillards et des notables. A leur approche, la fontaine se
e avec leurs cruches et leurs outres, et les bêtes se désaltérer. Les vieillards et les notables, muets d’admiration, conduisirent
e, envoyée par ses parents qui ne pouvaient eux-mêmes prendre soin du vieillard . La fillette, portant une galette et un plat de c
ïcha entrait, balayait la masure, aérait le lit. Puis elle servait au vieillard son repas, lui versait à boire. Après s’être long
moi la porte, ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba I Il entendit le vieillard répondre : — Fais sonner tes petits bracelets, ô
je ne te reconnaisse pas ? L'Ogre revint à plusieurs reprises mais le vieillard , chaque fois, devinait qui il était. L’Ogre s’en
Ouvre-moi la porte, ô mon père Inoubba, ô mon père Inoubba ! Mais le vieillard le reconnut encore. — Eloigne-toi, maudit 1 lui c
aussi claire que celle de la fillette. L'Ogre se rendit alors chez le vieillard et chantonna devant sa masure : — Ouvre-moi la po
eu qu'Allah.) La mort a touché les mains On repousse les meubles, Les vieillards sont allés tailler le linceul. (Il n’est pas d’au
nt médusées, elles aperçurent sur le seuil d’une misérable demeure un vieillard paralytique. Sa “bouche sèche qu’entourait une ba
e. Moche a brûlé vif dans son repaire I — Loué soit Dieu I s’écria le vieillard . Il a eu la mort qui depuis toujours l'attendait
te son histoire. Et les sept filles formèrent une guirlande autour du vieillard qui commença ainsi : — Mes filles, Moche était le
devant de beaux champs labourés, il s’arrêta pour souffler un peu. Un vieillard , poussant un troupeau le remarqua sur le bord du
fils? Tu es vieux et je te vois travailler. ' — Mon fils, répondit le vieillard , c’est Dieu qui t’envoie, car nous sommes seuls m
mort, tout ce que nous possédons sera pour toi. Cheik Smaïn et le bon vieillard entrèrent dans le village. Ils s’arrêtèrent devan
accueillante. — Dieu nous a envoyé un fils I annonça dès le seuil le vieillard à sa compagne. Une femme âgée mais encore robuste
ieux et le prince rendirent grâce à Dieu d’avoir donné un fils à deux vieillards solitaires et des parents à un jeune homme odieus
ierai pour que vous me soyez bien vite rendus. Ils partirent donc, le vieillard armé d’un bâton et le fils d’un fusil. Un nègre g
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