raître (1997). DE FADHMA AITH MANSOUR AMROUCHE sa mère Histoire de ma
vie
, François Maspero, 1968. Nouvelle édition, Éditio
l ne me regardera plus. L’enfant avait huit ans. Elle était pleine de
vie
et de grâce. Sa mère lui dit un soir : — Demain,
lit quarante jours et puis, un matin, elle se leva pour se mêler à la
vie
de la cour. Lorsqu'elle revint vers l'enfant, il
hantait à pleine voix : « Soumicha, notre princesse, est revenue à la
vie
; les esprits méchants l’on quittée. » Et l'eau l
a fait pour moi ce que je n’ai pu faire. Car celui qui a rappelé à la
vie
la princesse pour ta joie et la nôtre, ô roi, est
Nous nous quitterions. 76 ‹ Pour rien », signifie dans longtemps. La
vie
sépare, La mort sépare, Qu'il est avisé l'homme d
nt qu’il était déjà un petit homme. Car elle voulait le préparer à la
vie
rude qui l’attendait. Et puis, il faut le dire, e
ouci jusqu’à l’adolescence. Mais un jour l’un dit à l'autre : — Cette
vie
me déplaît. Me rendre, le matin, de la maison aux
e d’oiseau mais leur cœur battait. Ils gardaient encore un souffle de
vie
. Ahmed allongea son frère sur un lit d’herbe et s
ses paupières et pénétrèrent dans son nez. Ahmed le vit revenir à la
vie
, ouvrir doucement les yeux. De la même manière, i
ui dit : — Samedi nous serons de retour. Il devait revenir, mais sans
vie
, Le Seigneur l'ayant décidé. Car il est dans le v
ent : ‹ Tant mieux; il est en exil I › Mais si nous vivons une longue
vie
, L’argent affluera par portes et fenêtres. Et alo
pensa : « C’est comme si je voyais le jour pour la première fois. Ma
vie
est en elle et mon âme ! › Il la prit par la main
nné, tout accordé jusqu’ici. Tu m’es plus cher que le monde et que la
vie
et aussi cher que le Haut-Ciel mais cette jeune f
tre encore ébloui par son visage? Ne sais-tu pas qu'elle en veut à ta
vie
? — Si tu es mon ami, répondit Mehend, indique-moi
ui remit les pommes enchantées. Elle en mangea et sembla revenir à la
vie
, ce qui rassura Mehend. Elle retrouva son enjouem
sa cachette qu’au crépuscule. Mais il devait vite se lasser de cette
vie
et devenir plus exigeant, une fois sa blessure gu
, à midi sur deux et le soir sur trois, c’est l’homme. Au matin de sa
vie
, il rampe sur les pieds et les mains, plus grand,
es, à midi sur deux, le soir sur trois, c’est l’homme. Au matin de sa
vie
, il rampe sur les mains et les pieds. Plus grand,
s. (Il n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) La mort atteint le menton La
vie
le fuit, Il passera la nuit au tombeau. (Il n’est
r les cheveux. Il demeura là, immobile, jusqu’à ce qu’il eût senti la
vie
frémir en elle. Et puis il se leva. Il attendit l
n larmes. Or il l’aimait d’une tendresse infinie. Cet enfant était sa
vie
. Il lui demanda : — Vouïedhmim, mon fils, qu’as-t
e, appuie ta joue sur son ventre et tu sentiras le frémissement de la
vie
. » Ce sont les serpents qu’il sentit frémir, mais
J’ai juré de ne plus faire le bien Fût-ce à mon père à qui je dois la
vie
. Répandre ses bienfaits, C'est comme semer la pai
t parmi les dunes un Vieux Sage me dit : — Homme I tes filles sont en
vie
. Dirige tes pas vers de plus verdoyantes contrées
s parents à un jeune homme odieusement trahi par son propre père. Une
vie
nouvelle allait commencer pour tous. Une vie pais
par son propre père. Une vie nouvelle allait commencer pour tous. Une
vie
paisible et douce. ■Le lendemain, comme la vieill
lace n’est pas au combat. Je me battrai pour toi. — Non, mon fils. Ma
vie
, à moi, est finie mais la tienne commence. La mor
imes à mon égard : N’as-tu pas essayé par trois fois de m'arracher la
vie
? Tu as d’abord eu recours au poison ; un anneau m
e t’accorde encore huit jours. C’est tout ce que Dieu t’aura donné de
vie
: maigre ou gras, ce sera même chose. Je m’en vai
le est celle qui ne s’est réjouie 7 Celui qui jouit qu'il se hâte, La
vie
ne dure pas : La mort avance la main. Chant de mé
mis de dire la vérité Sans l'altérer jamais, Le temps que durerait ma
vie
. Voici deux ans que je néglige de taire le bien P
te voici sain et sauf ! A leur tour les rats s’avancèrent : — Que ta
vie
soit longue et prospère I lui dirent-ils. Béni so
itation J’ai juré de ne plus taire le bien Tant que ma tête serait en
vie
. J’ai planté une bouture d’olivier Surveillant de
etenait en elle le feu d’une curiosité dévorante. Le rêve qu'était sa
vie
ne lui suffisait plus, mais elle se rappelait sa
, la chèvre, la brebis, l’agneau et l’âne ! Maintenant, retourne à ta
vie
d’autrefois : pour avoir voulu connaître mon visa
êve Les enfants qui s’en sont allés, Pour qu'il les voie dans l'autre
vie
, Alors, peut-être, il connaîtra la paix. Génies d
s de répit. Soir et matin je pleure Les entants dont s'est retirée la
vie
: Seghir, l’arbre de douceur A la taille flexible
sang Mon collier d'ambre s’égrène à terre. Ils vont te trancher, ô ma
vie
bien-aimée, Aujourd'hui même, ils l'ont décidé, M