ine Dis-lui : ‹ Ta mire chante et pleure. » Oiseau, sois vif comme le
vent
. Toi aux brillantes ailes, Et pose-toi dans la co
emme accomplie et épouse sa fille. Tombe la pluie Dans la brume et le
vent
O maître du champ, Œil de tourterelle ! Proverbes
s et se mit à courir, poursuivie par tous les chiens du voisinage. Le
vent
rabattit les flammes vers ses épaules. Le feu gag
scendit jusqu'à ses pieds. Elle ne fut bientôt qu’une torche en plein
vent
qui courait, qui courait en clamant par les chemi
s ! › une torche aux prises avec l'immense hurlement des chiens et du
vent
. Une mare se présenta enfin devant elle. Tseriel
s sujets de la lui attraper. Aîcha se mit à courir, à courir comme le
vent
. Son frère-gazelle la suivait de près. Un dattier
un songe. Et dès lors, elle connut la paix. C'était une nuit de grand
vent
. La reine, épuisée, venait juste de s'assoupir lo
s tendres berceuses qui prenaient naissance dans son cœur. Dehors, le
vent
soufflait, entassant contre portes et fenêtres de
ne. Il avait fallu les appeler et les chercher longtemps par pluie et
vent
, en dépit des éclairs et du tonnerre. La violence
orps d’Hacène, laissant ses os à nu. Le soleil les avait blanchis, le
vent
les avait dispersés. Les bêtes les avaient emport
itié ? La Grande Mosquée est dévastée. LES CHEVAUX D’ÉCLAIRS ET DE
VENT
Que mon conte soit beau et se déroule comme un
et sur nos biens. Et je partirai seul sur mon cheval d'éclairs et de
vent
. Je prendrai ma carabine, mon sabre et l’un de no
sa carabine, son lévrier et il partit sur son cheval d’éclairs et de
vent
. Il voyageait depuis peu lorsqu'il rencontra des
z-la moi, je reviendrai. Et il remonta sur son cheval d’éclairs et de
vent
. Il parcourait de grands espaces découverts, lors
i jusqu’à mon retour : Et il s’éloigna sur son cheval d’éclairs et de
vent
. Mais des chameliers l’arrêtèrent. Us lui dirent
moi, je reviendrai. Et puis il se confia à son cheval d’éclairs et de
vent
et se laissa emporter. Il voyagea, il voyagea la
-neuf jeunes filles montées sur des juments bleues aussi vives que le
vent
, sortirent du palais, l'une après l’autre. Un peu
leva dans les airs, l’assit devant lui sur son cheval d’éclairs et de
vent
, et la ramena au palais. Les noces durèrent sept
s l’aurore, accompagné de son lévrier, sur son cheval d’éclairs et de
vent
. Il chassait tout le jour et ne rentrait qu’à la
leva dès l’aube, emmena son lévrier, monta son cheval d’éclairs et de
vent
et s’éloigna dans la direction qu’il n’aurait jam
a forêt 1... Il avançait avec lenteur, sur son cheval d’éclairs et de
vent
, s’émerveillant de tant de richesses octroyées pa
Elle le saisit et l’avala. Elle avala aussi le cheval d’éclairs et de
vent
et le lévrier. Alors, les feuilles de l'arbre que
tes bénédictions m’accompagnent I Il monta son cheval d’éclairs et de
vent
, appela son lévrier, prit son sabre, sa carabine
oi, je reviendrai. Et il alla, il alla sur son cheval d'éclairs et de
vent
. Mais des bouviers l'aperçurent qui essayèrent en
e retrouver son frère, Ahmed s'abandonna à son cheval d’éclairs et de
vent
, franchit les fleuves, parcourut les plaines et g
resse et à l’en retirer. Ahmed remonta sur son cheval d’éclairs et de
vent
, appela son lévrier et se dirigea vers la forêt.
ndit au soleil. Et puis son frère. Et enfin le cheval d’éclairs et de
vent
. Ils étaient devenus tous trois d’une faiblesse d
ent les yeux. De la même manière, il ranima le cheval d’éclairs et de
vent
et le lévrier. Et puis il traîna le cadavre de l’
se et du sultan son père, ils montèrent leurs chevaux d’éclairs et de
vent
. Précédés de leurs lévriers, ils abandonnèrent le
be, la jeune princesse, montée sur une jument bleue aussi vive que le
vent
, son enfant dans les bras, sortit du palais. Les
u palais. Les jumeaux la suivirent, sur leurs chevaux d’éclairs et de
vent
, accompagnés de leurs lévriers. Ils voyagèrent to
de ses chamelons. Elle se rangea derrière les chevaux d'éclairs et de
vent
. Et les voyageurs s’éloignèrent. Le bruit de leur
les voyageurs s’éloignèrent. Le bruit de leur passage courut comme le
vent
et les précéda au village natal. Bientôt, ils vir
. Ils allaient, ils allaient joyeux sur leurs chevaux d’éclairs et de
vent
et la princesse, sur sa jument bleue, partageait
a même jusqu'à l'outre en peau de chèvre, au fond de la cour. Mais le
vent
lui renvoya au visage la bonne odeur de la sauce.
rbres. Elle l’appela. Ils s'étendirent à l'ombre et s’endormirent. Un
vent
frais les réveilla Ils repartirent et marchèrent
le. Et elle regardait sans se lasser les flammes. Et elle écoutait le
vent
. La cendre se posait comme une poussière d’argent
cha derrière les rochers. Il appela, il appela désespérément, mais le
vent
seul lui répondit, un vent qui hurlait à la mort.
l appela, il appela désespérément, mais le vent seul lui répondit, un
vent
qui hurlait à la mort. Alors, le père roula une é
ar tout le verger. Puis elles partirent droit devant elles, humant le
vent
et folâtrant. Elles allèrent, s’étonnant de ne re
t construit sa maison plus bas, dans la plaine. Mais un jour un grand
vent
se leva qui emporta la maison du Pou. Il se rendi
et aux émaux Dans les Monts Aydel, Tu es prisonnier De la neige et du
vent
. Bracelet d’argent clair Perdu à la fontaine, Dis
nous allons partir sur le champ. Et quand il arrivera, il trouvera du
vent
! Roundja se dépêcha d'écrire quelques mots et de
berger une poignée d’or. Il voyagea la nuit et le jour, par pluie et
vent
. Il traversa bien des contrées et entra dans un p
eine de mort. Ni même demain. Alors, la vieille femme courut comme le
vent
vers Cheikh Smaïn et le bon nègre qui l’attendaie
e sorcière. Elle dit : — C’est moi qui te renseignerai, sultan. Et le
vent
n’ira pas plus vite que moi I Elle prit un couffi
it fraîche. Cheikh Smaïn était seul avec le bruit ■des feuilles et du
vent
. Il n’avait pour se défendre qu’un bâton posé prè
ver, un soir d’orage, on entendit couvrant le bruit de la pluie et du
vent
, la voix puissante d’un mendiant. — Le pain de Di
uvrir la lumière. Mais à peine sa main toucha-t-elle l'assiette qu’un
vent
furieux renversa le vase, éteignant la bougie. Y-
roid autour d’elle. Ce n’était plus la sole qui l’enveloppait mais un
vent
méchant qui la glaçait jusqu’au cœur. Yamina étai
et l’emporta à travers la pluie et les éclairs. Yamina parla, mais le
vent
couvrit sa voix. L’Oiseau de l’Orage déchirait la
in songe, Les froids nous quitteront Et les nuages, les pluies et les
vents
. L'herbe repoussera Les prés en deviendront tout
fants se sont envolés Et lui ne cesse de pleurer. Pitié, ô maître des
vents
, Venez en aide à ceux qui souffrent. Je suis comm
ses frères. La tempête est arrivée Et le tonnerre, les éclairs et le
vent
, La tempête d'été Qui les a tous trois déracinés,