/ 2
1 (1966) Le grain magique
ine dirent alors à leur fils : — Remarie-toi I Quel bien peut-il nous venir de la fille du serpent ? Mais le prince qui mettait
rs, il atteignit le bord de la mer et vit sur la plage un pêcheur qui venait de retirer de l'eau un poisson aussi grand qu’un hom
et ma mère. — Mon fils, répondit gravement le sultan, tout ce que tu viens de dire est juste. Je garderai près de moi le petit
ui est passé est passé : je n'aurais jamais pu vous punir comme' Dieu vient de vous punir. Allons vite retrouver votre mère : el
eveux d’angoisse, Ali, son petit garçon, poussa la porte et entra. Il venait de courir dans les champs et de boire à la source. I
ce, qui lui apportait tous les jours son déjeuner et son dîner. Aïcha venait de l’autre bout du village, envoyée par ses parents
ueillit par ces mots : — Ne t’ai-je pas dit que du bien ne pouvait te venir de cette femme au cœur noir? Comment peux-tu être en
encore majestueux en dépit de son âge et du mauvais traitement qu’il venait de subir, les perdrix se sentirent largement payées
u'à l’ouverture de la crevasse et s'en revint honteux et craintif. Il venait de livrer ses sept filles à la mort et de les enterr
mort? Avait-il pu échapper à son mauvais génie de femme? Etait-ce la venue de son père que Aïcha attendait contre toute sc gess
rla doucement, du haut de sa monture : — Notre mère, lui dit-il, nous venons de bien loin et nous sommes fourbus. Donne-nous asil
fiancée et s’endormit. Mais il se réveilla en sursaut, car une larme venait de tomber sur sa joue. Alors, il vit que celle qu’il
s bien dit Cheikh Smaïn ? Mais c’est le fils de ma sœur chérie que tu viens de nommer I Mène-moi vers lui sur le champ, afin que
heikh Smain la prit alors sur ses genoux, s'assit à l’endroit qu’elle venait de lui indiquer et se mit à converser avec son père
’a défendu, ce foie qui m’a sauvé, c’est celui même de ma mère que je viens de tuer et d’ensevelir dans la forêt. Je l’avais dét
le bonheur d’autrefois sans regretter un instant les délices qu’elle venait de quitter. Elle prit part aux travaux des champs. E
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
ba évanouie. La bonne vieille, bien embarrassée, crie au secours : on vient de tous costez ; on jette de l’eau au visage de la p
en venir ? — Je vois, répondit la sœur Anne, une grosse poussiere qui vient de ce costé-cy… — Sont-ce mes freres ? — Hélas ! non
ne vois-tu rien venir ? — Je vois, répondit-elle, deux cavaliers qui viennent de ce costé-cy, mais ils sont bien loin encore. » «
ns esprit, répondit Riquet à la Houppe, seroit bien receu, comme vous venez de le dire, à vous reprocher vostre manque de parole
— Nullement, répondit la princesse ; j’aime en vous tout ce que vous venez de me dire. — Si cela est ainsi, reprit Riquet à la
/ 2