attendaient — pour être fidèlement transcrites et mises à l’abri — la
venue
d’un être joignant au savoir la probité la plus a
Sa mère en larmes s’approcha pour demander : — Qu’as-tu, ma fille? Tu
viens
à peine de sortir bien portante et heureuse. Que
, avoua la mère, tes sept frères se sont dit : ‹Si un huitième garçon
vient
à naître, nous nous enfuirons sans le voir, sans
s sept garçons se rendit auprès de ses frères et leur répéta ce qu'il
venait
d’apprendre. Mais ils ne crurent pas un mot de l’
rée à l’aide d’un grand plat de bois posé à l’envers. A peine Loundja
venait
-elle de mettre à l’abri le jeune homme qu’elle en
oundja venait-elle de mettre à l’abri le jeune homme qu’elle entendit
venir
sa mère. Tseriel, l’ogresse, marchait pesamment :
de bois et toutes mes écuelles. Et elle les appela par leur nom. Ils
vinrent
tous, les uns après les autres. Seul le plat sur
e l’appela de nouveau. Alors la jeune fille dit : — Laisse-le. Demain
viendra
son tour. Ce soir je suis trop bien assise pour m
i répondit : — Je ne partirai que si tu m’accompagnes. Car je ne suis
venu
ici que pour toi. — Bien, lui dit-elle. Et ils so
nt toi. Tu rencontreras une fontaine. Une négresse, notre servante, y
viendra
avec nos ânes et nos outres. Ne manque pas de la
auté. Au matin, la servante fut la première éblouie par cette b?auté.
Venue
pour apporter aux époux leur déjeuner, elle s’en
fin. Mais le Crapaud reprit, de plus en plus courroucé : — Sans doute
viens
-tu de pisser sur moi? Je sens des gouttes sur mes
sacoche de légumes et la corbeille de fruits à ses pieds. Le Chevrier
vint
à passer : — Qu'as-tu, mon oncle le Crapaud? dema
le, irritée. Des débris tombent sur mon dîner. — Je suis le Chevrier.
Viens
, Dieu veuille t’inspirer. Retourne auprès de ton
ri. — Va, occupe-toi donc de tes pieds pleins de gerçures ! — Suis-je
venu
pour que tu m’insultes? Reste dans ta mare si tu
. — Dame Grenouille? appela-t-il. — Qui va là ? — C’est le Chacal qui
vient
vers toi, le Chacal agile et malin. — Vraiment? s
je trouvé la patte brisée, dans un piège, au fond d’un ravin? Le Lion
vint
à passer : — Qu’as-tu, Crapaud, à garder les chem
mbent sur mon dîner. — C’est ton seigneur le Lion, le roi des fauves.
Viens
, suis- moi, retourne vers ton mari. — Toi, mon se
se. Arrive la Perdrix : — Qu’as-tu, mon oncle le Crapaud? La nuit est
venue
; que fais-tu seul par les chemins ? — Le sel de
ns le secret, cheminait vers la Mecque. Ceux qui l’ont rencontré sont
venus
témoigner. Proverbes Noire et camuse. Aveugle et
ur mon fils. Le serpent répondit : — Roi, il y a sept ans qu'elle est
venue
à moi. Je l’ai élevée comme ma fille. Elle m’est
les bras et se tourna vers le prince : — C’est moi, prince, qui suis
venu
chercher tes enfants les uns après les autres pou
nourrir et à élever ses sept enfants. Quelques-uns la secondaient et
venaient
parfois la retrouver aux champs. Les autres, elle
s noces Ma mère, ô ma mère Ah / la la Me voici toute parée Et l'on ne
vient
pas me chercher I Ma fille, ô ma tille Ah I la la
n ne vient pas me chercher I Ma fille, ô ma tille Ah I la la Sont-ils
venus
? Ai-je refusé? Ma mère, 6 ma mère Ah I la la Je
beaux atours Ah ! la la Et je suis restée Ah I la la Les curieux sont
venus
Ah ! la la Ils se sont ri de moi. Ah I la la. Ma
ô ma fille Ah ! la la Il te faut prier Dieu Ah l la la Un jouvenceau
viendra
Ah ! la la Il révéra de toi. Ah ! la la. Ma mère,
ô ma mère Ah I la la J'ai déjà prié Dieu Ah ! la la Un vieillard est
venu
Ah I la la Pas un jouvenceau Ah I la la. Ma fille
emaria. D’abord, la marâtre ne fit aucun mal aux orphelins. Mais elle
vint
à mettre au monde une fille qu'elle appela Djohra
ssédait un immense jardin ; la gazelle pouvait s’y promener, aller et
venir
à sa guise. Au milieu de ce jardin, il y avait un
venu de voyage, et lui dit : — Ton puits est hanté. Demain, à l'aube,
viens
avec moi et tu verras et tu entendras. Le lendema
ara impuissant. Alors le prince murmura : — Si Settoute, la sorcière,
venait
et faisait cuire sous mes yeux de la soupe de sem
entendit une voix lui dire : — Lève-toi, Mehend et partons. Le soleil
venait
juste de se retirer derrière les montagnes. Le ci
dessus de la maison la plus imposante et la cerner, l’assiéger. — Que
viennent
faire ici ces oiseaux de mauvais présage? demandè
utes ces têtes qui attirent les corbeaux. Car c’est pour elles qu’ils
viennent
chaque jour. Et le passant, après un long silence
ssants. Alors, désespéré, notre seigneur promit son enfant au premier
venu
qui la guérirait, fût-il un mendiant. Mais il jur
se mit à le sculpter, 'à lui donner un visage. L’aîné se réveilla et
vint
s’asseoir près du feu. Comme il était tailleur, i
r à chacun le sultan semblait dire : ‹ O toi qui as partagé ma peine,
viens
et réjouis-toi avec moi.» Le soir des noces, Soum
i jour et nuit. J’étais à peine adolescent quand je le rencontrai. Je
venais
d’échapper par miracle à la surveillance tyranniq
n cœur de ce que l’envie de le quitter pour courir le monde ne pût me
venir
jamais I II ne savait pas que Dieu avait décidé d
ère préparait sous mes yeux de la soupe de semoule je guérirais. Elle
vint
par ordre du sultan mon père. Profitant de ce qu’
le connut la paix. C'était une nuit de grand vent. La reine, épuisée,
venait
juste de s'assoupir lorsqu'elle vit, à la place d
ière le pays d’Orient. C’étaient maintenant les terres d’Occident qui
venaient
à leur rencontre. La reine de jour en jour se rép
à son interminable escorte de se hâter, car les frontières du royaume
venaient
d’apparaître. La reine, ce matin-là, s’était vêtu
erahman poussa «on jeune frère du haut d’un rocher. La tête charmante
vint
S écraser sur de grosses pierres, au fond d’un ra
de juments s’élancèrent pour lui barrer le chemin : — Ta renommée est
venue
jusqu’à nous, s’écrièrent-ils. Accepte notre hosp
, ses cheveux sont soyeux et cuivrés comme ceux du maïs. Combien sont
venus
vainement de toutes parts pour l’épouser I Le sul
illage que des chevriers l’appelèrent : — Ta chèvre s’est multipliée,
viens
voir tes chevreaux I Il répondit : — Je reviendra
mon fils, lui cria-t-elle joyeuse. Depuis si longtemps j’espérais ta
venue
I Elle s'approcha, mais plus prompt qu’elle, il l
ée. Chant d’amour — Arrête-toi, jeune fille, écoute ; Aucun mal ne te
viendra
par moi. Ecoute, si tu voulais me suivre, De ce p
rivière mais n’osa la passer sans son frère. Il l’attendit et le vit
venir
portant l’olivier. — Pourquoi, mon frère, pourquo
arrière qui arrête les voleurs. Complainte du jeune homme assassiné I
Venez
, amis, et pleurons Laounis, le bien-aimé. Comme i
eta dans la marmite. Puis elle mit à cuire le couscous à la vapeur et
vint
tranquillement s’asseoir sur le pas de sa porte ;
. Mais la femme répondit : — Mes parents s’ennuyaient de lui. Us sont
venus
le chercher avec leur âne, ce matin. L’homme se r
ce que le petit est devenu. Ma mère m’a dit qu'il a disparu. La femme
venait
juste d’apporter un grand plat de couscous garni
le lui avait dit pour le distraire. L’aïeul aimait beaucoup à la voir
venir
. Mais un jour, l’Ogre aperçut l’enfant. Il la sui
e longues heures au soleil. Il laissa des légions de fourmis aller et
venir
dans sa gorge. Le quatrième jour, sa voix fut aus
prit sa place et attendit la petite fille pour la dévorer aussi. Elle
vint
. Mais elle remarqua, dès qu’elle fut devant la ma
. (Il n’est pas d'autre Dieu qu’Allah.) Comme l'affamé, le repu Verra
venir
l'heure de sa mort. (Il n'est pas d'autre Dieu qu
ieux parents qui ont attendu si longtemps ta naissance et ne t’ont vu
venir
au monde qu’après avoir vu les étoiles en plein m
se entendit comme un faible gémissement. Elle prêta l’oreille: le son
venait
du côté de la trappe. Elle tira l’anneau : l’un d
eaucoup de gibier. Mais il trouva sa compagne alitée et fiévreuse. Il
vint
s’asseoir tout près d’elle et lui dit avec tendre
demanderas de te laisser cueillir la Pomme Enchantée. Va, et que Dieu
vienne
en aide à celui qui, pour une femme, a perdu la r
. Les aigles descendront du ciel pour s'en repaître et le plus âgé te
viendra
en aide. Va, et que Dieu te rende la raison I Le
Qu'importe ? Il gardera des agnelles, Le petit prince aux yeux noirs.
Viens
, viens sommeil T'endormir près de lui ; Que le ma
rte ? Il gardera des agnelles, Le petit prince aux yeux noirs. Viens,
viens
sommeil T'endormir près de lui ; Que le mal ne l'
lui ; Que le mal ne l'atteigne Et que le bien règne en son cœur. 126
Viens
, viens sommeil T'endormir près de lui ; Frère du
Que le mal ne l'atteigne Et que le bien règne en son cœur. 126 Viens,
viens
sommeil T'endormir près de lui ; Frère du repos C
près de lui ; Frère du repos C’est toi qu’a épousé son cœur. Sommeil
viens
doucement T’étendre près de lui. Proberbb N’ayez
ujets. — Fais selon ton plaisir, lui répondit le roi. ■Le prince s’en
vint
donc au marché et dit à tous les hommes : — Vous
s. Pourquoi ? — Ma fille, répondit le surveillant, le fils du roi est
venu
et nous a déclaré : «Vous n'achèterez ni ne vendr
orte trente jours. — Ouvrez le marché ! ordonna le fils du roi. Quand
vint
le soir, le prince s’approcha du surveillant et l
le prince et la princesse vécurent heureux à la cour. Et quand le roi
vint
à mourir, son fils lui succéda. Un jour que le je
— Il est mon fils I Et l'autre disait : — Il est mon fils ! Elles en
vinrent
à crier. A se prendre aux cheveux. Le roi était p
it : — C’est moi. Il lui dit encore : — Pourquoi ?... Comment suis-je
venu
? Elle lui répondit en souriant : — Souviens-tol.
’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) Provbrbb J’ai reçu mille coups Et tu
viens
me retirer une épine I 0 VOUÏEDHMIM, MON FILS
et vécurent heureux et paisibles près de la vieille femme. Mais elle
vint
à mourir et ils cessèrent d'être heureux. Elle le
sans un mot. Elle appela et pleura d'abord en vain. Mais un cavalier
vint
& passer qui revenait d’un marché voisin. Il
Elle pleura. Elle pleura et appela d'abord en vain. Mais un cavalier
vint
à passer qui revenait d’un marché voisin : c’est
ux se chauffait au soleil sur la pente d'une colline, quand un chacal
vint
à passer qui dit au roi des animaux : — O maître,
on ravin le chacal qui l’avait trahi. Mais voici qu’un vol de perdrix
vint
à passer au-dessus de sa tête, froufroutant de to
e, tue-la et abandonne-la dans un champ où les chacals ont coutume de
venir
. Cache-toi et observe : tu les verras accourir le
enant posait son pied avec une particulière prudence car 'des rochers
venaient
d’apparaître et l’endroit était farouche. Le père
emplir des coquilles d’œufs et apaiser leur soif. Mais les provisions
vinrent
à manquer, en dépit de l’économie de Aïcha. Les a
Mais où était la caverne de Moche?... A sa place, un palais splendide
venait
d'apparaître, celui-là même que la terre avait en
an. Les jeunes filles, à l'exception de Aïcha, épousèrent des princes
venus
des royaumes voisins. Aïcha régna seule sur l'emp
que des os. Il ne nous reste plus qu’à acheter des tripes. Il nous en
viendra
beaucoup et nous mangerons à notre faim. › Le Pou
é dans la marmite et il a disparu I La source se dessèche. Une brebis
vient
à passer. Elle dit aussi : — Qu’as-tu, Dame Puce?
champs. Tandis qu’en approchait le sultan, un ange s'en détacha pour
venir
à sa rencontre et lui dire : — Où portes-tu tes p
de plus ? — Hélas, gémit le sultan, je n’ai pas d’héritier, et si je
viens
à mourir, mes biens iront à des étrangers. L'ange
ais et cria de loin au sultan : — La paix soit sur toi, sultan I Nous
venons
pour donner un nom à ton fils, notre prince, qui
iés les sept frères, puisque le sultan néglige de nous prévenir de sa
venue
et nous traite sa ’.s ég rds, nous allons partir
paix soit sur toi, Cheikh Smaïn. Si tu veux encore de moi pour femme,
viens
me chercher au pays des Indes. › Plus malfaisante
paix soit sur toi, Cheikh Smaïn. Si tu veux encore de moi pour femme,
viens
me chercher au pays des Indes. › Le prince revint
vieille femme, demanda : — Notre mère, sais-tu si des étrangers sont
venus
ici s’ins taller depuis peu ? — Il y a quelques j
Laisse-moi essayer de la convaincre. — Dieu veuille t’entendre et te
venir
en aide I soupira le sultan. Et il lui indiqua le
on. La vieille retourna auprès du sultan pour lui dire : — Dieu m’est
venu
en aide : La sultane consent à devenir vraiment t
e suis aveugle, ma pauvre enfant, répondit Settoute. Ne pourrai-tu me
venir
en aide ? Celle des épouses qui avait le pouvoir
es qui veillaient sur lui. Et des semaines s’écoulèrent avant que lui
vînt
une idée fertile. Mais un jour il se leva léger p
sse?-... les soirées me semblent bien longues. Demain, ne pourrais-tu
venir
passer la veillée avec moi ? Il y a si longtemps
pauvre prince s'assit au pied d’un arbre et se mit à méditer. La nuit
venait
, une nuit fraîche. Cheikh Smaïn était seul avec l
outa le discours du vieil aigle et pria Dieu que se réalisât ce qu’il
venait
d’entendre. Il tendit le bras et cueillit une poi
ent par groupes pour constater le miracle et supplier Cheikh Smaïn de
venir
battre leur beurre. Le prince mérita bientôt le s
ande, apportait à boire, veillait à tout. Les ogresses lui dirent : —
Viens
donc manger, Vetellis t H répondit aimablement :
: — Tseriel a mangé sa fille 1 Tseriel s’était déjà précipitée. Elle
venait
juste d’attraper Velâjoudh par la patte lorsqu'il
mes ennemis. A tous j’offre un festin. Que celui qui me veut du bien
vienne
me saluer. Là où se trouve un rat qu'il vienne me
ui qui me veut du bien vienne me saluer. Là où se trouve un rat qu'il
vienne
me rendre visite, afin que nous nous réconciliion
ramener, ii ne le peut Mais il accumule les péchés. Dansb dbs Cavales
Viens
, lavande, viens Que nous nous embrassions , Je ve
e peut Mais il accumule les péchés. Dansb dbs Cavales Viens, lavande,
viens
Que nous nous embrassions , Je veux me marier Et
Incline-toi vers moi. J'aimerais t'épouser, Mon père ne le veut pas.
Viens
à moi, basilic, Que nous nous étreignions. Marion
coup de bois mort à la forêt et l’hiver approche. Prends une corde et
viens
avec moi ; nous en rapporterons tous deux une bon
ujourd'hui Est plein de tromperie O mon frère, anneau d’argent clair.
Viens
, suis-moi vers la plaine, Allons, oui, allons ver
O mon frère, anneau d’argent clair. Partons, courons vers la rivière,
Viens
, nous suivrons la rivière. Le mariage d’aujourd’h
Parce que tu es charitable et bonne, parce que tu n’as pas craint de
venir
à moi par ce temps, j’ai voulu ton bonheur et je
de, la nèfle, la fraise, la pomme et la poire, sans parler des fruits
venus
des terres 'lointaines dont elle ne connaissait p
s roulaient sur ses joues. Le sommeil, heureusement, ne tardait pas à
venir
. Mais un soir, l’Oiseau de l'Orage surprit ce cha
de l’eau et du pain de ton enfance. Dans un mois, jour pour jour, je
viendrai
te chercher. Je te ramènerai vers ce bonheur qu’a
emeurer fidèle à elle-même ? Hélas, elle était seule, toujours seule.
Vint
le jour où elle n’y tint plus ; où tout lui sembl
dront tout verts Et fleuris de fleurs entrouvertes Et des troupeaux y
viendront
paître. L’été nous sera rendu Et la terre se fera
e sont envolés Et lui ne cesse de pleurer. Pitié, ô maître des vents,
Venez
en aide à ceux qui souffrent. Je suis comme l'aig
îtra la paix. Génies de l'Occident, soyez favorables A mon enfant qui
vient
vers vous Etendez sur elle votre protection, Ses
el a la joib Aubade rituelle Celui de qui j’ai partagé la joie. Qu'il
vienne
se réjouir avec moi. Et me rendre la joie que je
op longtemps Nous étions sur le versant d’ombre. Mais la lune au ciel
vient
d'éclore Déjà sa clarté nous inonde. Chant db dan