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1 (1966) Le grain magique
attendaient — pour être fidèlement transcrites et mises à l’abri — la venue d’un être joignant au savoir la probité la plus a
Sa mère en larmes s’approcha pour demander : — Qu’as-tu, ma fille? Tu viens à peine de sortir bien portante et heureuse. Que
, avoua la mère, tes sept frères se sont dit : ‹Si un huitième garçon vient à naître, nous nous enfuirons sans le voir, sans
s sept garçons se rendit auprès de ses frères et leur répéta ce qu'il venait d’apprendre. Mais ils ne crurent pas un mot de l’
rée à l’aide d’un grand plat de bois posé à l’envers. A peine Loundja venait -elle de mettre à l’abri le jeune homme qu’elle en
oundja venait-elle de mettre à l’abri le jeune homme qu’elle entendit venir sa mère. Tseriel, l’ogresse, marchait pesamment :
de bois et toutes mes écuelles. Et elle les appela par leur nom. Ils vinrent tous, les uns après les autres. Seul le plat sur
e l’appela de nouveau. Alors la jeune fille dit : — Laisse-le. Demain viendra son tour. Ce soir je suis trop bien assise pour m
i répondit : — Je ne partirai que si tu m’accompagnes. Car je ne suis venu ici que pour toi. — Bien, lui dit-elle. Et ils so
nt toi. Tu rencontreras une fontaine. Une négresse, notre servante, y viendra avec nos ânes et nos outres. Ne manque pas de la
auté. Au matin, la servante fut la première éblouie par cette b?auté. Venue pour apporter aux époux leur déjeuner, elle s’en
fin. Mais le Crapaud reprit, de plus en plus courroucé : — Sans doute viens -tu de pisser sur moi? Je sens des gouttes sur mes
sacoche de légumes et la corbeille de fruits à ses pieds. Le Chevrier vint à passer : — Qu'as-tu, mon oncle le Crapaud? dema
le, irritée. Des débris tombent sur mon dîner. — Je suis le Chevrier. Viens , Dieu veuille t’inspirer. Retourne auprès de ton
ri. — Va, occupe-toi donc de tes pieds pleins de gerçures ! — Suis-je venu pour que tu m’insultes? Reste dans ta mare si tu
. — Dame Grenouille? appela-t-il. — Qui va là ? — C’est le Chacal qui vient vers toi, le Chacal agile et malin. — Vraiment? s
je trouvé la patte brisée, dans un piège, au fond d’un ravin? Le Lion vint à passer : — Qu’as-tu, Crapaud, à garder les chem
mbent sur mon dîner. — C’est ton seigneur le Lion, le roi des fauves. Viens , suis- moi, retourne vers ton mari. — Toi, mon se
se. Arrive la Perdrix : — Qu’as-tu, mon oncle le Crapaud? La nuit est venue ; que fais-tu seul par les chemins ? — Le sel de
ns le secret, cheminait vers la Mecque. Ceux qui l’ont rencontré sont venus témoigner. Proverbes Noire et camuse. Aveugle et
ur mon fils. Le serpent répondit : — Roi, il y a sept ans qu'elle est venue à moi. Je l’ai élevée comme ma fille. Elle m’est
les bras et se tourna vers le prince : — C’est moi, prince, qui suis venu chercher tes enfants les uns après les autres pou
nourrir et à élever ses sept enfants. Quelques-uns la secondaient et venaient parfois la retrouver aux champs. Les autres, elle
s noces Ma mère, ô ma mère Ah / la la Me voici toute parée Et l'on ne vient pas me chercher I Ma fille, ô ma tille Ah I la la
n ne vient pas me chercher I Ma fille, ô ma tille Ah I la la Sont-ils venus ? Ai-je refusé? Ma mère, 6 ma mère Ah I la la Je
beaux atours Ah ! la la Et je suis restée Ah I la la Les curieux sont venus Ah ! la la Ils se sont ri de moi. Ah I la la. Ma
ô ma fille Ah ! la la Il te faut prier Dieu Ah l la la Un jouvenceau viendra Ah ! la la Il révéra de toi. Ah ! la la. Ma mère,
ô ma mère Ah I la la J'ai déjà prié Dieu Ah ! la la Un vieillard est venu Ah I la la Pas un jouvenceau Ah I la la. Ma fille
emaria. D’abord, la marâtre ne fit aucun mal aux orphelins. Mais elle vint à mettre au monde une fille qu'elle appela Djohra
ssédait un immense jardin ; la gazelle pouvait s’y promener, aller et venir à sa guise. Au milieu de ce jardin, il y avait un
venu de voyage, et lui dit : — Ton puits est hanté. Demain, à l'aube, viens avec moi et tu verras et tu entendras. Le lendema
ara impuissant. Alors le prince murmura : — Si Settoute, la sorcière, venait et faisait cuire sous mes yeux de la soupe de sem
entendit une voix lui dire : — Lève-toi, Mehend et partons. Le soleil venait juste de se retirer derrière les montagnes. Le ci
dessus de la maison la plus imposante et la cerner, l’assiéger. — Que viennent faire ici ces oiseaux de mauvais présage? demandè
utes ces têtes qui attirent les corbeaux. Car c’est pour elles qu’ils viennent chaque jour. Et le passant, après un long silence
ssants. Alors, désespéré, notre seigneur promit son enfant au premier venu qui la guérirait, fût-il un mendiant. Mais il jur
se mit à le sculpter, 'à lui donner un visage. L’aîné se réveilla et vint s’asseoir près du feu. Comme il était tailleur, i
r à chacun le sultan semblait dire : ‹ O toi qui as partagé ma peine, viens et réjouis-toi avec moi.» Le soir des noces, Soum
i jour et nuit. J’étais à peine adolescent quand je le rencontrai. Je venais d’échapper par miracle à la surveillance tyranniq
n cœur de ce que l’envie de le quitter pour courir le monde ne pût me venir jamais I II ne savait pas que Dieu avait décidé d
ère préparait sous mes yeux de la soupe de semoule je guérirais. Elle vint par ordre du sultan mon père. Profitant de ce qu’
le connut la paix. C'était une nuit de grand vent. La reine, épuisée, venait juste de s'assoupir lorsqu'elle vit, à la place d
ière le pays d’Orient. C’étaient maintenant les terres d’Occident qui venaient à leur rencontre. La reine de jour en jour se rép
à son interminable escorte de se hâter, car les frontières du royaume venaient d’apparaître. La reine, ce matin-là, s’était vêtu
erahman poussa «on jeune frère du haut d’un rocher. La tête charmante vint S écraser sur de grosses pierres, au fond d’un ra
de juments s’élancèrent pour lui barrer le chemin : — Ta renommée est venue jusqu’à nous, s’écrièrent-ils. Accepte notre hosp
, ses cheveux sont soyeux et cuivrés comme ceux du maïs. Combien sont venus vainement de toutes parts pour l’épouser I Le sul
illage que des chevriers l’appelèrent : — Ta chèvre s’est multipliée, viens voir tes chevreaux I Il répondit : — Je reviendra
mon fils, lui cria-t-elle joyeuse. Depuis si longtemps j’espérais ta venue I Elle s'approcha, mais plus prompt qu’elle, il l
ée. Chant d’amour — Arrête-toi, jeune fille, écoute ; Aucun mal ne te viendra par moi. Ecoute, si tu voulais me suivre, De ce p
rivière mais n’osa la passer sans son frère. Il l’attendit et le vit venir portant l’olivier. — Pourquoi, mon frère, pourquo
arrière qui arrête les voleurs. Complainte du jeune homme assassiné I Venez , amis, et pleurons Laounis, le bien-aimé. Comme i
eta dans la marmite. Puis elle mit à cuire le couscous à la vapeur et vint tranquillement s’asseoir sur le pas de sa porte ;
. Mais la femme répondit : — Mes parents s’ennuyaient de lui. Us sont venus le chercher avec leur âne, ce matin. L’homme se r
ce que le petit est devenu. Ma mère m’a dit qu'il a disparu. La femme venait juste d’apporter un grand plat de couscous garni
le lui avait dit pour le distraire. L’aïeul aimait beaucoup à la voir venir . Mais un jour, l’Ogre aperçut l’enfant. Il la sui
e longues heures au soleil. Il laissa des légions de fourmis aller et venir dans sa gorge. Le quatrième jour, sa voix fut aus
prit sa place et attendit la petite fille pour la dévorer aussi. Elle vint . Mais elle remarqua, dès qu’elle fut devant la ma
. (Il n’est pas d'autre Dieu qu’Allah.) Comme l'affamé, le repu Verra venir l'heure de sa mort. (Il n'est pas d'autre Dieu qu
ieux parents qui ont attendu si longtemps ta naissance et ne t’ont vu venir au monde qu’après avoir vu les étoiles en plein m
se entendit comme un faible gémissement. Elle prêta l’oreille: le son venait du côté de la trappe. Elle tira l’anneau : l’un d
eaucoup de gibier. Mais il trouva sa compagne alitée et fiévreuse. Il vint s’asseoir tout près d’elle et lui dit avec tendre
demanderas de te laisser cueillir la Pomme Enchantée. Va, et que Dieu vienne en aide à celui qui, pour une femme, a perdu la r
. Les aigles descendront du ciel pour s'en repaître et le plus âgé te viendra en aide. Va, et que Dieu te rende la raison I Le
Qu'importe ? Il gardera des agnelles, Le petit prince aux yeux noirs. Viens , viens sommeil T'endormir près de lui ; Que le ma
rte ? Il gardera des agnelles, Le petit prince aux yeux noirs. Viens, viens sommeil T'endormir près de lui ; Que le mal ne l'
lui ; Que le mal ne l'atteigne Et que le bien règne en son cœur. 126 Viens , viens sommeil T'endormir près de lui ; Frère du
Que le mal ne l'atteigne Et que le bien règne en son cœur. 126 Viens, viens sommeil T'endormir près de lui ; Frère du repos C
près de lui ; Frère du repos C’est toi qu’a épousé son cœur. Sommeil viens doucement T’étendre près de lui. Proberbb N’ayez
ujets. — Fais selon ton plaisir, lui répondit le roi. ■Le prince s’en vint donc au marché et dit à tous les hommes : — Vous
s. Pourquoi ? — Ma fille, répondit le surveillant, le fils du roi est venu et nous a déclaré : «Vous n'achèterez ni ne vendr
orte trente jours. — Ouvrez le marché ! ordonna le fils du roi. Quand vint le soir, le prince s’approcha du surveillant et l
le prince et la princesse vécurent heureux à la cour. Et quand le roi vint à mourir, son fils lui succéda. Un jour que le je
— Il est mon fils I Et l'autre disait : — Il est mon fils ! Elles en vinrent à crier. A se prendre aux cheveux. Le roi était p
it : — C’est moi. Il lui dit encore : — Pourquoi ?... Comment suis-je venu ? Elle lui répondit en souriant : — Souviens-tol.
’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) Provbrbb J’ai reçu mille coups Et tu viens me retirer une épine I 0 VOUÏEDHMIM, MON FILS
et vécurent heureux et paisibles près de la vieille femme. Mais elle vint à mourir et ils cessèrent d'être heureux. Elle le
sans un mot. Elle appela et pleura d'abord en vain. Mais un cavalier vint & passer qui revenait d’un marché voisin. Il
Elle pleura. Elle pleura et appela d'abord en vain. Mais un cavalier vint à passer qui revenait d’un marché voisin : c’est
ux se chauffait au soleil sur la pente d'une colline, quand un chacal vint à passer qui dit au roi des animaux : — O maître,
on ravin le chacal qui l’avait trahi. Mais voici qu’un vol de perdrix vint à passer au-dessus de sa tête, froufroutant de to
e, tue-la et abandonne-la dans un champ où les chacals ont coutume de venir . Cache-toi et observe : tu les verras accourir le
enant posait son pied avec une particulière prudence car 'des rochers venaient d’apparaître et l’endroit était farouche. Le père
emplir des coquilles d’œufs et apaiser leur soif. Mais les provisions vinrent à manquer, en dépit de l’économie de Aïcha. Les a
Mais où était la caverne de Moche?... A sa place, un palais splendide venait d'apparaître, celui-là même que la terre avait en
an. Les jeunes filles, à l'exception de Aïcha, épousèrent des princes venus des royaumes voisins. Aïcha régna seule sur l'emp
que des os. Il ne nous reste plus qu’à acheter des tripes. Il nous en viendra beaucoup et nous mangerons à notre faim. › Le Pou
é dans la marmite et il a disparu I La source se dessèche. Une brebis vient à passer. Elle dit aussi : — Qu’as-tu, Dame Puce?
champs. Tandis qu’en approchait le sultan, un ange s'en détacha pour venir à sa rencontre et lui dire : — Où portes-tu tes p
de plus ? — Hélas, gémit le sultan, je n’ai pas d’héritier, et si je viens à mourir, mes biens iront à des étrangers. L'ange
ais et cria de loin au sultan : — La paix soit sur toi, sultan I Nous venons pour donner un nom à ton fils, notre prince, qui
iés les sept frères, puisque le sultan néglige de nous prévenir de sa venue et nous traite sa ’.s ég rds, nous allons partir
paix soit sur toi, Cheikh Smaïn. Si tu veux encore de moi pour femme, viens me chercher au pays des Indes. › Plus malfaisante
paix soit sur toi, Cheikh Smaïn. Si tu veux encore de moi pour femme, viens me chercher au pays des Indes. › Le prince revint
vieille femme, demanda : — Notre mère, sais-tu si des étrangers sont venus ici s’ins taller depuis peu ? — Il y a quelques j
Laisse-moi essayer de la convaincre. — Dieu veuille t’entendre et te venir en aide I soupira le sultan. Et il lui indiqua le
on. La vieille retourna auprès du sultan pour lui dire : — Dieu m’est venu en aide : La sultane consent à devenir vraiment t
e suis aveugle, ma pauvre enfant, répondit Settoute. Ne pourrai-tu me venir en aide ? Celle des épouses qui avait le pouvoir
es qui veillaient sur lui. Et des semaines s’écoulèrent avant que lui vînt une idée fertile. Mais un jour il se leva léger p
sse?-... les soirées me semblent bien longues. Demain, ne pourrais-tu venir passer la veillée avec moi ? Il y a si longtemps
pauvre prince s'assit au pied d’un arbre et se mit à méditer. La nuit venait , une nuit fraîche. Cheikh Smaïn était seul avec l
outa le discours du vieil aigle et pria Dieu que se réalisât ce qu’il venait d’entendre. Il tendit le bras et cueillit une poi
ent par groupes pour constater le miracle et supplier Cheikh Smaïn de venir battre leur beurre. Le prince mérita bientôt le s
ande, apportait à boire, veillait à tout. Les ogresses lui dirent : — Viens donc manger, Vetellis t H répondit aimablement :
: — Tseriel a mangé sa fille 1 Tseriel s’était déjà précipitée. Elle venait juste d’attraper Velâjoudh par la patte lorsqu'il
mes ennemis. A tous j’offre un festin. Que celui qui me veut du bien vienne me saluer. Là où se trouve un rat qu'il vienne me
ui qui me veut du bien vienne me saluer. Là où se trouve un rat qu'il vienne me rendre visite, afin que nous nous réconciliion
ramener, ii ne le peut Mais il accumule les péchés. Dansb dbs Cavales Viens , lavande, viens Que nous nous embrassions , Je ve
e peut Mais il accumule les péchés. Dansb dbs Cavales Viens, lavande, viens Que nous nous embrassions , Je veux me marier Et
Incline-toi vers moi. J'aimerais t'épouser, Mon père ne le veut pas. Viens à moi, basilic, Que nous nous étreignions. Marion
coup de bois mort à la forêt et l’hiver approche. Prends une corde et viens avec moi ; nous en rapporterons tous deux une bon
ujourd'hui Est plein de tromperie O mon frère, anneau d’argent clair. Viens , suis-moi vers la plaine, Allons, oui, allons ver
O mon frère, anneau d’argent clair. Partons, courons vers la rivière, Viens , nous suivrons la rivière. Le mariage d’aujourd’h
Parce que tu es charitable et bonne, parce que tu n’as pas craint de venir à moi par ce temps, j’ai voulu ton bonheur et je
de, la nèfle, la fraise, la pomme et la poire, sans parler des fruits venus des terres 'lointaines dont elle ne connaissait p
s roulaient sur ses joues. Le sommeil, heureusement, ne tardait pas à venir . Mais un soir, l’Oiseau de l'Orage surprit ce cha
de l’eau et du pain de ton enfance. Dans un mois, jour pour jour, je viendrai te chercher. Je te ramènerai vers ce bonheur qu’a
emeurer fidèle à elle-même ? Hélas, elle était seule, toujours seule. Vint le jour où elle n’y tint plus ; où tout lui sembl
dront tout verts Et fleuris de fleurs entrouvertes Et des troupeaux y viendront paître. L’été nous sera rendu Et la terre se fera
e sont envolés Et lui ne cesse de pleurer. Pitié, ô maître des vents, Venez en aide à ceux qui souffrent. Je suis comme l'aig
îtra la paix. Génies de l'Occident, soyez favorables A mon enfant qui vient vers vous Etendez sur elle votre protection, Ses
el a la joib Aubade rituelle Celui de qui j’ai partagé la joie. Qu'il vienne se réjouir avec moi. Et me rendre la joie que je
op longtemps Nous étions sur le versant d’ombre. Mais la lune au ciel vient d'éclore Déjà sa clarté nous inonde. Chant db dan
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
trumens dans la derniere perfection. Le rang de la vieille fée estant venu , elle dit, en branlant la teste, encore plus de d
ofond sommeil. qui durera cent ans, au bout desquels le fils d’un roi viendra la réveiller. » Le roi, pour tâcher d’éviter le m
issast dormir en repos, jusqu’à ce que son heure de se réveiller fust venue . La bonne fée qui luy avoit sauvé la vie en la co
elle estoit grandement prévoyante, elle pensa que, quand la princesse viendrait à se réveiller, elle seroit bien embarassée toute
la chambre de la petite Aurore : elle avoit pour lors quatre ans, et vint en sautant et en riant se jetter à son col, et lu
’on n’attendoit pas si tost, entra dans la cour, à cheval : il estoit venu , en poste et demanda, tout estonné, ce que vouloi
rand, en attendant le petit Chaperon rouge, qui, quelque temps aprés, vint heurter à la porte : toc, toc. « Qui est là ? » L
erture : « Mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche, et viens te coucher avec moy. » Le petit Chaperon rouge se
u’il la prioit de se bien divertir pendant son absence ; qu’elle fist venir ses bonnes amies ; qu’elle les menast à la campag
d’impatience de voir toutes les richesses de sa maison, n’ayant osé y venir pendant que le mari y estoit, à cause de sa barbe
tremblante qu’il devina sans peine tout ce qui s’estoit passé. « D’où vient , luy dit-il, que la clef du cabinet n’est point a
onte ; je te prie, sur le haut de la tour, pour voir si mes freres ne viennent point : ils m’ont promis qu’ils me viendroient vo
luy crioit de temps en temps : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? » Et la sœur Anne luy répondoit : « Je ne vois
ssi tost elle crioit tout bas : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? » Et la sœur Anne répondoit : « Je ne vois rien
a femme ; et puis elle crioit : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? — Je vois, répondit la sœur Anne, une grosse po
a femme ; et puis elle crioit : « Anne, ma sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? — Je vois, répondit-elle, deux cavaliers qui vi
t que quelque jeune lapin, peu instruit encore des ruses de ce monde, vint se fourrer dans son sac pour manger ce qu’il y av
avoir à quoy cela seroit bon. Dans le temps qu’il se baignoit, le roy vint à passer, et le Chat se mit à crier de toute sa f
dit au roy que, dans le temps que son maistre se baignoit, il estoit venu des voleurs qui avoient emporté ses habits, quoy
olation que l'ogre avoit fait preparer pour ses amis, qui le devoient venir voir ce même jour-là, mais qui n’avoient pas osé
plein une grande cruche. Un jour qu’elle estoit à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui la pria de luy donner
je crois qu’il luy sort de la bouche des perles et des diamants. D’où vient cela, ma fille ? » (Ce fut là la premiere fois qu
ntaine qu’elle vit sortir du bois une dame magnifiquement vestuë, qui vint luy demander à boire. C’estoit la même fée qui av
al, luy dit une de ſes ſœurs, tu ne t’y ſerais pas ennuyée ; il y eſt venu la plus belle Princeſſe, la plus belle qu’on puiſ
quoi de si spirituel qu’on en estoit charmé. J’oubliois de dire qu’il vint au monde avec une petite houppe de cheveux sur la
la reine d’un royaume voisin accoucha de deux filles. La premiere qui vint au monde estoit plus belle que le jour ; la reine
e s’estoit retirée dans un bois pour y plaindre son malheur, elle vit venir à elle un petit homme fort laid et fort desagreab
ncesse ; mais je sçay bien que je suis fort beste, et c’est de là que vient le chagrin qui me tuë. — Si ce n’est que cela, Ma
lle les écoutoit tous, sans s’engager à pas un d’eux, Cependant il en vint un si puissant, si riche, si spirituel et si bien
bruit sourd sous ses pieds, comme de plusieurs personnes qui vont et viennent et qui agissent. Ayant presté l’oreille plus atte
il, Madame, exact à tenir ma parole, et je ne doute point que vous ne veniez ici pour executer la vostre, et me rendre, en me
e, vous qui en avez tant, et qui avez tant souhaité d’en avoir ? Mais venons au fait, s’il vous plaist. A la reserve de ma lai
marque de la bonté de son esprit: il estoit fort petit, et, quand il vint au monde il n’estoit guere plus gros que le pouce
sé de tous ses freres, et, s’il parloit peu, il écoûtoit beaucoup. Il vint une année très fâcheuse, et la famine fut si gran
t il les mena jusqu’à leur maison, par le même chemin qu’ils estoient venus dans la forest. Ils n’oserent d’abord entrer, mai
lors qu’il ne put en retrouver une seule miette, les Oiseaux étoient venus qui avoient tout mangé. Les voylà donc bien affli
oient plus ils s’égaroient , et s’enfonçoient dans la Forest. La nuit vint , et il s’éleva un grand vent qui leur faisoit des
nt dans quelques fonds. Ils heurterent à la porte, et une bonne femme vint leur ouvrir. Elle leur demanda ce qu’ils vouloien
it à pleurer, et leur dit , helas ! mes pauvres enfans, où estes-vous venus ? sçavez-vous bien que c’est icy la maison d’un O
a chair fraîche. Il faut luy dit sa femme, que ce soit ce Veau que je viens d’habiller que vous sentez. Je sens la chair frâi
i , bien t’en prend d’estre une vieille beste. Voila du Gibier qui me vient bien à propos pour traiter trois Ogres de mes ami
ent bien à propos pour traiter trois Ogres de mes amis qui doivent me venir voir ces jours icy. Il les tira de dessous le li
plus de fatigue il s’endormit aprés s’estre reposé quelque temps, et vint à ronfler si effroyablement que les pauvres enfan
tenoient le poignard sur la gorge, il m’a aperçeu et m’a prié de vous venir avertir de l’estat où il est, et de vous dire de
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