La famille s'était augmentée non d'un fils mais d’une fille. La mère
veilla
sur elle. Devenue grande, cette fille, allait rem
eur fit cette recommandation : — Djohra, votre sœur, vous accompagne.
Veillez
sur elle et que rien de fâcheux ne lui arrive ! L
ue mais sur le ciel, et il chargea ses serviteurs les plus fidèles de
veiller
jalousement sur lui. Il leur recommanda surtout d
sable. Mettant à profit son sommeil, je repris ma forme humaine pour
veiller
sur lui. Il avait abandonné ses parents et son pa
nts de noce. O roi, depuis sept ans il était mon ami et mon frère, il
veillait
sur moi jour et nuit. J’étais à peine adolescent
t que j'ai élevé avec peine Dort sur le chemin. Sa couverture glisse,
Veillez
à ce qu’elle ne traîne. L’enfant pour qui j’ai bu
nfant pour qui j’ai bu du fiel Dort, abandonné. Sa couverture glisse,
Veillez
à ce qu’elle ne traîne. L’enfant qui m’a valu tan
a valu tant de larmes Dort, offert aux étoiles. Sa couverture glisse,
Veillez
à ce qu’elle ne traîne. Proverbes Comme qui se pl
re, notre mère n’a que nous... Mais le premier, Mehend, reprit : — Tu
veilleras
sur notre mère, sur notre maison et sur nos biens
acal nous mange toutes nos bêtes. Cette nuit nous le guetterons. — Je
veillerai
avec vous, déclara le jeune homme. — Si tu nous e
a petite fille racontait chaque jour à ses parents comment elle avait
veillé
sur son grand-père et ce qu’elle lui avait dit po
avaient le pouvoir. Ils le nourrissaient mieux qu’un petit prince et
veillaient
jalousement sur lui. Ils ne permettaient pas aux
mère. Et il se réserva les pattes. Tous mangèrent et se disposèrent à
veiller
. Le fils du roi se tourna alors vers la jeune fil
t. Mais toi, dès que nous aurons mangé et que nous nous apprêterons à
veiller
, n’oublie pas de me dire : ‹ Mère, je veux une hi
Il les fit entrer, elle et son fils. Comme ils se disposaient tous à
veiller
, Vouïedhmim se mit à pleurer : — Raconte-lui donc
journée et fit couler les larmes. Dieu l’avertit une première fois de
veiller
à ne plus l’offenser. Il l'avertit même une secon
la ruse qui viendrait à bout de Cheikh Smaïn et de tous les anges qui
veillaient
sur lui. Et des semaines s’écoulèrent avant que l
a vieille femme y mit fin : — Partez tous les deux, dit-elle. Le père
veillera
sur le fils et moi je prierai pour que vous me so
it. Velâjoudh versait la sauce, servait la viande, apportait à boire,
veillait
à tout. Les ogresses lui dirent : — Viens donc ma
re, rien ne te manquera. Une brise légère t’annoncera ma présence. Je
veillerai
sur toi et je te garderai toujours près de moi. Y