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1 (1966) Le grain magique
jeunes hommes partirent, sous la neige, chasser dans la montagne. Ils tuèrent une perdrix. Ils l’égorgèrent, son sang coula sur
servante, y viendra avec nos ânes et nos outres. Ne manque pas de la tuer pour revêtir sa peau sombre. Tu n’auras plus qu’à
ses outres et les charger sur les ânes. Et puis elle s'avança pour la tuer et revêtir sa peau. Les ânes la conduisirent à la
ieux Sage. Le Vieux Sage le rassura et lui dit : — L'aigle n’aura pas tué ton fils. Il est certain que s’il l’a mis sous so
on fils. Il est certain que s’il l’a mis sous son aile, il ne l’a pas tué . Pour délivrer ton fils voici ce que tu feras : t
serpent se fondit de tendresse. L’enfant s’était endormie. Il sortit, tua deux perdrix, cueillit des légumes et des fruits,
e a ployé. Proverbe Le juif peut-il être brave ? Son père, un rat l'a tué . Il en est de moi, ma mère, Comme d'Ali aux multi
domestique revint vers sa maîtresse et lui déclara : — Je ne puis la tuer : cette gazelle n’est pas une bête mais un être h
eurs de la lui égorger. Mais tous lui répondirent : — Nous ne pouvons tuer la gazelle au regard humain. Dès l’aurore, la gaz
rs, parcourut les plaines, traversa les fleuves, gravit les monts. Il tua des serpents dans les champs, des oiseaux en plei
, trop rose et trop heureux. L’impitoyable soleil d’août, ce soleil à tuer les ânes, n'empêchait pas son teint d'être transp
n délivres, reprirent les chevriers, nous te donnerons une chèvre. Il tua le chacal vers le milieu de la nuit, choisit au m
emps, lorsque des bergers l’arrêtèrent : — Pour Dieu, lui dirent-ils, tue -nous l’oiseau de proie qui prend entre ses serres
est venue jusqu’à nous, s’écrièrent-ils. Accepte notre hospitalité et tue -nous le lion qui, non seulement la nuit, mais le
’arrêtèrent. Us lui dirent : — Nous connaissons tes prouesses ; tu as tué un tigre, un lion. Mais nous, nous ne savons quel
tu en triomphes, nous te donnerons ce que tu voudras. Le jeune homme tua le fauve (c’était une panthère), choisit une cham
it parvenu jusqu'à moi. Le long de son voyage, il avait semé le bien, tué un chacal, un aigle en plein ciel, un tigre, un l
it avec ironie : — Pleure sur toi, pleure ta misère, car moi, si j’ai tué mon frère, je saurai bien le ressusciter l Le pet
enfants les acclamèrent et les accompagnèrent jusqu'au palais. — J’ai tué l’Ogresse, annonça Ahmed au sultan. La rivière em
ujours mais plus lentement. Us atteignaient l’endroit où Mehend avait tué en plein ciel un oiseau de proie, lorsqu’ils vire
anta à nouveau, avec la douce voix de l’enfant : Garde-toi bien de la tuer , tuer... Car ma sœur pleurerait, pleurerait... Et
nouveau, avec la douce voix de l’enfant : Garde-toi bien de la tuer, tuer ... Car ma sœur pleurerait, pleurerait... Et serai
jonchaient le sol. H se dit : ‹ Ma mère, ma mère I avant qu'ils ne me tuent , il faut que je les tue I › Et il acheva les Sept
t : ‹ Ma mère, ma mère I avant qu'ils ne me tuent, il faut que je les tue I › Et il acheva les Sept Ogres. Et il jeta leurs
sa belle compagne et lui dit ; — Quelle va être notre félicité I J’ai tué les Sept Ogres. Toutes leurs richesses nous appar
nceaux s'y trouvaient. H en cacha un dans le capuchon de son burnous, tua l’autre et l’écorcha. Les fauves ne laissèrent ri
au mais il a une fêlure. La nuit trouva toute la famille réunie. L’on tua un poulet et l’on fit un couscous de fête. Lorsqu
a moitié.» Alors il entendra la vraie mère s’écrier: «Seigneur, ne le tue pas, au nom de Dieu I › •Le serviteur courut indi
s en aller, dit la mère, car si ton père nous retrouvait ici, il nous tuerait I La mère remplit un panier de provisions, prit s
a pauvre jeune fille et l’étendit sur un lit. Comme il se disposait à tuer les serpents et à les jeter, elle supplia : — Ecr
sié Se moque bien du ventre affamé. Epargne-moi dans ce ravin Pour me tuer si tu veux dans cet autre. Chant de méditation La
e, car nous tenons déjà ton ennemi. Procure-toi une bête bien grasse, tue -la et abandonne-la dans un champ où les chacals o
et se mit immédiatement en quête de la génisse la plus grasse. Tl la tua . Il la dépeça et l’abandonna au pied d’un olivier
me d’une femme à la noble coiffure. Elle supplia : — Pour Dieu, ne me tue pas. Femme, je serai ton esclave. Nègre, tu n’aur
aïn, maintenant se trouvait devant le nègre. Il lui dit à mi-voix : — Tue une bête et remplis de sang un boyau que tu enrou
heval de Cheik Smaïn, car il mérite cet honneur. Et vous verrez qu’il tuera le nègre indomptable. Alerté, le sultan donna au
eule figue. A l'heure chaude, l'ogresse passa. Il faisait un soleil à tuer les ânes : Tseriel, l’ogresse, allait boire au ru
amais en paix et nous ne connaîtrons pas la joie. H nous faut donc la tuer . Demain, demande-lui de t’accompagner à la forêt
orant : — Je l’ai enfanté, il ne m'a pas enfanté, ô fils du mal ne le tuez pas l De saisissement, les malfaiteurs laissèrent
u, ce foie qui m’a sauvé, c’est celui même de ma mère que je viens de tuer et d’ensevelir dans la forêt. Je l’avais détaché
que t'ont dit les autres. Les propos d’autrui sont nocifs : S’ils ne tuent pas, ils amoindrissent- Proverbes Dieu, lorsqu’il
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
sac, et le maistre Chat, tirant aussi tost les cordons, le prit et le tua sans misericorde. Tout glorieux de sa proye, il s
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