jeunes hommes partirent, sous la neige, chasser dans la montagne. Ils
tuèrent
une perdrix. Ils l’égorgèrent, son sang coula sur
servante, y viendra avec nos ânes et nos outres. Ne manque pas de la
tuer
pour revêtir sa peau sombre. Tu n’auras plus qu’à
ses outres et les charger sur les ânes. Et puis elle s'avança pour la
tuer
et revêtir sa peau. Les ânes la conduisirent à la
ieux Sage. Le Vieux Sage le rassura et lui dit : — L'aigle n’aura pas
tué
ton fils. Il est certain que s’il l’a mis sous so
on fils. Il est certain que s’il l’a mis sous son aile, il ne l’a pas
tué
. Pour délivrer ton fils voici ce que tu feras : t
serpent se fondit de tendresse. L’enfant s’était endormie. Il sortit,
tua
deux perdrix, cueillit des légumes et des fruits,
e a ployé. Proverbe Le juif peut-il être brave ? Son père, un rat l'a
tué
. Il en est de moi, ma mère, Comme d'Ali aux multi
domestique revint vers sa maîtresse et lui déclara : — Je ne puis la
tuer
: cette gazelle n’est pas une bête mais un être h
eurs de la lui égorger. Mais tous lui répondirent : — Nous ne pouvons
tuer
la gazelle au regard humain. Dès l’aurore, la gaz
rs, parcourut les plaines, traversa les fleuves, gravit les monts. Il
tua
des serpents dans les champs, des oiseaux en plei
, trop rose et trop heureux. L’impitoyable soleil d’août, ce soleil à
tuer
les ânes, n'empêchait pas son teint d'être transp
n délivres, reprirent les chevriers, nous te donnerons une chèvre. Il
tua
le chacal vers le milieu de la nuit, choisit au m
emps, lorsque des bergers l’arrêtèrent : — Pour Dieu, lui dirent-ils,
tue
-nous l’oiseau de proie qui prend entre ses serres
est venue jusqu’à nous, s’écrièrent-ils. Accepte notre hospitalité et
tue
-nous le lion qui, non seulement la nuit, mais le
’arrêtèrent. Us lui dirent : — Nous connaissons tes prouesses ; tu as
tué
un tigre, un lion. Mais nous, nous ne savons quel
tu en triomphes, nous te donnerons ce que tu voudras. Le jeune homme
tua
le fauve (c’était une panthère), choisit une cham
it parvenu jusqu'à moi. Le long de son voyage, il avait semé le bien,
tué
un chacal, un aigle en plein ciel, un tigre, un l
it avec ironie : — Pleure sur toi, pleure ta misère, car moi, si j’ai
tué
mon frère, je saurai bien le ressusciter l Le pet
enfants les acclamèrent et les accompagnèrent jusqu'au palais. — J’ai
tué
l’Ogresse, annonça Ahmed au sultan. La rivière em
ujours mais plus lentement. Us atteignaient l’endroit où Mehend avait
tué
en plein ciel un oiseau de proie, lorsqu’ils vire
anta à nouveau, avec la douce voix de l’enfant : Garde-toi bien de la
tuer
, tuer... Car ma sœur pleurerait, pleurerait... Et
nouveau, avec la douce voix de l’enfant : Garde-toi bien de la tuer,
tuer
... Car ma sœur pleurerait, pleurerait... Et serai
jonchaient le sol. H se dit : ‹ Ma mère, ma mère I avant qu'ils ne me
tuent
, il faut que je les tue I › Et il acheva les Sept
t : ‹ Ma mère, ma mère I avant qu'ils ne me tuent, il faut que je les
tue
I › Et il acheva les Sept Ogres. Et il jeta leurs
sa belle compagne et lui dit ; — Quelle va être notre félicité I J’ai
tué
les Sept Ogres. Toutes leurs richesses nous appar
nceaux s'y trouvaient. H en cacha un dans le capuchon de son burnous,
tua
l’autre et l’écorcha. Les fauves ne laissèrent ri
au mais il a une fêlure. La nuit trouva toute la famille réunie. L’on
tua
un poulet et l’on fit un couscous de fête. Lorsqu
a moitié.» Alors il entendra la vraie mère s’écrier: «Seigneur, ne le
tue
pas, au nom de Dieu I › •Le serviteur courut indi
s en aller, dit la mère, car si ton père nous retrouvait ici, il nous
tuerait
I La mère remplit un panier de provisions, prit s
a pauvre jeune fille et l’étendit sur un lit. Comme il se disposait à
tuer
les serpents et à les jeter, elle supplia : — Ecr
sié Se moque bien du ventre affamé. Epargne-moi dans ce ravin Pour me
tuer
si tu veux dans cet autre. Chant de méditation La
e, car nous tenons déjà ton ennemi. Procure-toi une bête bien grasse,
tue
-la et abandonne-la dans un champ où les chacals o
et se mit immédiatement en quête de la génisse la plus grasse. Tl la
tua
. Il la dépeça et l’abandonna au pied d’un olivier
me d’une femme à la noble coiffure. Elle supplia : — Pour Dieu, ne me
tue
pas. Femme, je serai ton esclave. Nègre, tu n’aur
aïn, maintenant se trouvait devant le nègre. Il lui dit à mi-voix : —
Tue
une bête et remplis de sang un boyau que tu enrou
heval de Cheik Smaïn, car il mérite cet honneur. Et vous verrez qu’il
tuera
le nègre indomptable. Alerté, le sultan donna au
eule figue. A l'heure chaude, l'ogresse passa. Il faisait un soleil à
tuer
les ânes : Tseriel, l’ogresse, allait boire au ru
amais en paix et nous ne connaîtrons pas la joie. H nous faut donc la
tuer
. Demain, demande-lui de t’accompagner à la forêt
orant : — Je l’ai enfanté, il ne m'a pas enfanté, ô fils du mal ne le
tuez
pas l De saisissement, les malfaiteurs laissèrent
u, ce foie qui m’a sauvé, c’est celui même de ma mère que je viens de
tuer
et d’ensevelir dans la forêt. Je l’avais détaché
que t'ont dit les autres. Les propos d’autrui sont nocifs : S’ils ne
tuent
pas, ils amoindrissent- Proverbes Dieu, lorsqu’il