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1 (1966) Le grain magique
râce et de faiblesse l'émut. Il remercia Dieu dans son cœur. L’enfant tremblait . Il lui dit : — Ne crains rien, je ne te ferai au
t à tisser. Elle tissait, tissait comme un démon, tandis que la veuve tremblait et pensait : ‹ Ma mère I ma mère I elle va nous a
ceinture de laine et la noua au cou de la gazelle. Et dès lors, elle trembla pour son frère et ne put se séparer de lui. Aussi
de pourpre. La voix de la poudre emplissait tout le ciel. Et la terre tremblait du galop des chevaux. Près de l’arbre magique, el
blé mes os. La petite fille reconnut la voix de son frère et se mit à trembler . ‹ Que va faire mon père quand il entendra ? › se
revint plus sur le toit. La mère fut pardonnée. La fillette cessa de trembler . Mais l’homme perdit à jamais le goût de vivre. P
plaignait-il du moindre mal, ses parents en étaient atterrés car ils tremblaient de le voir disparaître. Tout ce qui dans le monde
ds de Dieu. Et plus il avançait vers sa demeure, plus le pauvre homme tremblait et appréhendait le courroux de la marâtre. En le
ais du jour où ses sœurs se mirent à exiger de véritables repas, elle trembla de voir Moche pisser sur les braises. Chaque mati
s la marmite et il a disparu t Le fleuve déborde et s’étale. La terre tremble . Un rocher demande : — Qu’as-tu, Dame Puce ? — Ho
déplumé qui suppliait ses enfants de le couvrir de leurs ailes car il tremblait de froid. — Nous n’en ferons rien, répondaient fé
travers un judas, annonça aux deux jeunes femmes, ses compagnes, qui tremblaient de peur à l’intérieur du palais : — Je sens l’ode
urs laissèrent tomber leur matraque et se tournèrent vers l’homme qui tremblait d’effroi. Alors, il leur raconta son histoire : —
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
manda, dés le lendemain matin, avec une voix épouventable qui faisoit trembler tout le monde, qu’on apportast au milieu de la co
aster. » La Barbe-Bleuë se mit à crier si fort que toute la maison en trembla . La pauvre femme descendit, et alla se jetter à s
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