rs l’Orient. Il marcha des jours et des jours, parcourut les plaines,
traversa
les fleuves, gravit les monts. Il tua des serpent
un matin la forêt. Elle était immense, cette forêt ; ils ne purent la
traverser
en un jour. La nuit les y surprit. Ils durent se
mporter. Il voyagea, il voyagea la nuit, le jour, la nuit le jour. Il
traversa
les fleuves, parcourut les plaines, gravit les mo
tteignit la forêt comme le soleil se montrait ; il s'y enfonça. Il en
traversa
la zone la plus épaisse. A peine en émergeait-il
Et il passa. Il atteignait les grands espaces découverts qu’avait 90
traversés
Mehend son frère, lorsque des gardeurs de juments
ier et se dirigea vers la forêt. A l’heure chaude il y pénétra. Il la
traversa
malade d'impatience, guidé par son chien. A peine
bien. Il s’en empara et le voyage reprit. La princesse et les jumeaux
traversaient
maintenant des espaces découverts. Comme ils long
son frère. L’Innocent arracha la porte et la chargea sur son dos. Us
traversèrent
la cour et se trouvèrent devant une haie d’épines
lui prit la main et chercha le gué. Il faisait jour lorsqu'ils eurent
traversé
la rivière. Ils purent aisément retrouver le chem
r chemin. Ils allèrent droit devant eux, en demandant la charité. Ils
traversèrent
des rivières, gravirent des hauteurs. Ils marchèr
ie d’aloès. Mehend et son ami attachèrent à un arbre leurs chevaux et
traversèrent
sans bruit le jardin. La lumière filtrait à trave
ence. Ils rencontrèrent une rivière : Le fils du roi dit : — Fais-moi
traverser
la rivière ou je te la ferai traverser. Le survei
e fils du roi dit : — Fais-moi traverser la rivière ou je te la ferai
traverser
. Le surveillant qui ne comprenait rien ne répondi
t gazouiller. Alors elle cessa de pleurer et se remit en marche. Elle
traversa
la forêt, toute la forêt. Elle en sortait, lorsqu
a jeune femme et la jeune fille se trouvaient dans les champs ; elles
traversaient
un pré, lorsque chacune d’elles découvrit, nichés
es flûtes et battaient les tambours. Que de vergers de figuiers elles
traversèrent
et que de champs d’oliviers ! Que de troupeaux el
ne poignée d’or. Il voyagea la nuit et le jour, par pluie et vent. Il
traversa
bien des contrées et entra dans un pays fort déso
, il ordonne que la ville soit déserte tout le jour, car je désire la
traverser
en voiture dans tous les sens et n'entends être v
s la nuit. Il lâcha la levrette sur le seuil de la salle qu’il devait
traverser
aux côté de son père et la suivit pas à pas. Le s
s jeune des filles. Elle jeta sur ses épaules une vieille couverture,
traversa
la cour sous l'averse, ouvrit la porte et dit à l
on eût dit en corail et sortit pour faire le tour de sa demeure. Elle
traversa
des pièces toutes somptueuses mais désertes : la