it de l’eau avec une cupule de gland. Je lui ai dit : ‹ Donne-moi ton
tour
! › (j’étais pressée). Elle m’a répondu : ‹ Comme
e nouveau. Alors la jeune fille dit : — Laisse-le. Demain viendra son
tour
. Ce soir je suis trop bien assise pour me dérange
Loundja s'écria : — Oh, j’ai trahi ma mère, et me voici trahie à mon
tour
I Mais le jeune homme eut le temps de lui crier :
renier. Les poussins picorent les grains. Chant satirique Le méchant
tour
que m’a joué la bossue I Elle m’a aplati au sol.
t se lever dès le point du jour, elle songea enfin à se reposer à son
tour
. Le lendemain, lorsqu’ils se réveillèrent, il fai
ant d’amour Je l’ai trouvée debout, près de la fontaine Attendant son
tour
, à l'ombre d’un chêne. Son teint est comme le lai
ttendit que Aîcha et Ali eussent fini de boire pour s'approcher à son
tour
de la vache. Mais la vache lui donna un bon coup
e lien, allait jusqu’au puits et se mettait à bramer en en faisant le
tour
. A bramer en en faisant le tour. La femme jalouse
se mettait à bramer en en faisant le tour. A bramer en en faisant le
tour
. La femme jalouse finit par dire à un serviteur :
né dormaient depuis un long moment lorsque le cadet se réveilla à son
tour
: il découvrit à ses côtés une femme baignée de l
et de vent, appela son lévrier, prit son sabre, sa carabine et, à son
tour
, s’éloigna. A peine sortait-il du village que des
les fleuves, parcourut les plaines et gravit les monts. Lorsqu'à son
tour
il pénétra dans une riche et verte contrée, le so
adversaire. Mais un autre se leva et dit : — Me voici I Il fut à son
tour
terrassé et tous le furent successivement. Les se
lors le serpent dit : — n est arrivé malheur à la fourmi. C’est à mon
tour
de monter. Il rampa le long de l’arbre et mordit
ai mon oncle Ali, laisse-moi aller vers lui avec maman. La mère à son
tour
parla. Elle dit : — Il y a huit ans que je ne sai
lion, embarrassé, alla trouver le Vieux Sage et lui raconta le vilain
tour
que lui avait joué le chacal. — Ne te désespère p
, jusqu’à la mule, tout avait disparu ! Aïcha lui aurait-elle joué un
tour
?... Il chercha derrière les rochers. Il appela, i
eu pour l’éteindre. Et comme elle ne répondait pas, il la fouettait à
tour
de pattes. Tant que Aïcha n’eut pas à se servir d
Pleine d’espoir, Aïcha s’approcha de la pierre, la toucha, en fit le
tour
lentement et comprit qu’elle était mobile. Elle e
ge de se rendre chez son redoutable voisin. Elle fit craintivement le
tour
du repaire : le feu était éteint ; de Moche, il n
nt enfin une maison d’où nul ne pourrait les chasser. Elles firent le
tour
de tous leurs biens et rendirent grâce à Dieu dan
père que Aïcha attendait contre toute sc gesse, pour se marier à son
tour
? Car son cœur lui disait qu'il cheminait vers ell
t de sa maison, une galette crue dans chaque main. Elle demande à son
tour
: — Qu’as-tu, Dame Puce? — Hou I hou ! Ce que j'a
palais. Le lendemain. Cheikh Smain voulut encore chasser.. Ce fut au
tour
de deux autres serviteurs de l’accompagner. Le pr
er face à la lune, à lui donner un corps de femme et un visage. A son
tour
le tailleur s’éveilla et lui fit une tunique. Le
des oranges devant sa porte. Le perdant s’exclama tout à coup : — Le
tour
qui m’arrive ressemble fort à celui que Ton a jou
fenêtre. Il se penche et crie au jeune garçon : — Et quel est ce bon
tour
que Ton m’a joué, veux-tu me le dire ? Car je sui
e sultan ébloui l’épousa. Mais, elle, dit-on, s’est enfermée dans une
tour
, ne consentant à se laisser approcher par personn
venir en aide I soupira le sultan. Et il lui indiqua le chemin de la
tour
. La jeune fille était à sa fenêtre montrant le pl
lui sourit de loin et lui fit des signes d’amitié. Arrivée devant la
tour
, elle fit briller dans le soleil l’anneau que lui
ndja l’attrapa au vol, le reconnut et accueillit la messagère dans la
tour
. La jeune fille était si heureuse qu’elle pouvait
peine parler. — Va dire au sultan que s'il veut que je descende de ma
tour
et sois vraiment sa femme, il ordonne que la vill
La sultane consent à devenir vraiment ton épouse et à descendre de sa
tour
. Mais elle exige que nul ne sorte aujourd’hui dan
ls I Une seule voix, inexorable et froide comme une lame, clama à son
tour
: — Malheur au père qui ose convoiter .ses brus.
e onde le pèlerin? Loué soit Dieu, car te voici sain et sauf ! A leur
tour
les rats s’avancèrent : — Que ta vie soit longue
nous en rapporterons tous deux une bonne charge et demain ce sera au
tour
de la femme de m'accompagner. La mère sans méfian
ussa de petites mules qu’on eût dit en corail et sortit pour faire le
tour
de sa demeure. Elle traversa des pièces toutes so