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1 (1966) Le grain magique
endit venir sa mère. Tseriel, l’ogresse, marchait pesamment : Tseriel touchait à la.fois à la terre et au ciel. Sa tête était un
idable pénétrer. Les pieds foulaient le sol de terre battue ; la tête touchait le toit de chaume. Les cheveux se dressaient vers
le la suivait de près. Un dattier géant leur apparut : un dattier qui touchait à la terre et au ciel. La gazelle s’étendit au pi
nne. Alors, elle descendit pour aider Settoute. Mais à peine eut-elle touché le sol que la sorcière l'attrapa et fit signe à t
e, pour ne me réveiller qu’au crépuscule. Une main ferme et tendre me touchait l'épaule, une voix persuasive me disait à l’oreil
aux mauvaises gens de l'approcher. Ils ne souffraient pas de le voir toucher une épine. Us le virent ainsi grandir à l’abri du
Maison de la Balance. (Il n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) La mort a touché les orteils Ses membres se dissocient, Nous entre
il, poutre maîtresse. (11 n’est pas d'autre Dieu qu'Allah.) La mort a touché les mains On repousse les meubles, Les vieillards
rent et sortent, Que les amis de Dieu intercèdent pour lui. ta mort a touché la langue Toi, son fils, penche-toi vers lui Pour
ance l’homme de bien. (Il n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) La mort a touché les cils Son regard ne nous connaît plus, Il entr
elles s’abriter ?... Elles avisèrent un palmier dattier si haut qu’il touchait à la terre et au ciel. Elles grimpèrent le long d
ur ne pas revenir. Pleine d’espoir, Aïcha s’approcha de la pierre, la toucha , en fit le tour lentement et comprit qu’elle étai
verbes Celui qui a levé la main, C’est comme s’il avait frappé. Il ne touche ni au ciel ni ù la terre. La nuit de mauvais rêve
ja à un prince infiniment plus valeureux et fortuné que Cheikh Smaïn. Touché au vif, le sultan interdit que le prince en fût i
sur le seuil, elle voulut découvrir la lumière. Mais à peine sa main toucha-t -elle l'assiette qu’un vent furieux renversa le va
2 (1697) Histoires ou Contes du temps passé
arassée toute seule dans ce vieux château. Voicy ce qu’elle fit. Elle toucha de sa baguette tout ce qui estoit dans ce chastea
s, marmitons, galopins, gardes, suisses, pages, valets de pied ; elle toucha aussi tous les chevaux qui estoient dans les Ecur
princesse, qui estoit auprés d’elle sur son lit. Dés qu’elle les eust touchez , ils s’endormirent tous, pour ne se réveiller qu’
it un d’entre les trois, à cauſe de ſa maîtreſſe barbe, & l’ayant touché , il fut changé en un gros Cocher qui avoit une de
j’irai comme cela, avec mes vilains habits : Sa maraine ne fit que la toucher avec ſa baguette, & en même tems ſes habits f
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