endit venir sa mère. Tseriel, l’ogresse, marchait pesamment : Tseriel
touchait
à la.fois à la terre et au ciel. Sa tête était un
idable pénétrer. Les pieds foulaient le sol de terre battue ; la tête
touchait
le toit de chaume. Les cheveux se dressaient vers
le la suivait de près. Un dattier géant leur apparut : un dattier qui
touchait
à la terre et au ciel. La gazelle s’étendit au pi
nne. Alors, elle descendit pour aider Settoute. Mais à peine eut-elle
touché
le sol que la sorcière l'attrapa et fit signe à t
e, pour ne me réveiller qu’au crépuscule. Une main ferme et tendre me
touchait
l'épaule, une voix persuasive me disait à l’oreil
aux mauvaises gens de l'approcher. Ils ne souffraient pas de le voir
toucher
une épine. Us le virent ainsi grandir à l’abri du
Maison de la Balance. (Il n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) La mort a
touché
les orteils Ses membres se dissocient, Nous entre
il, poutre maîtresse. (11 n’est pas d'autre Dieu qu'Allah.) La mort a
touché
les mains On repousse les meubles, Les vieillards
rent et sortent, Que les amis de Dieu intercèdent pour lui. ta mort a
touché
la langue Toi, son fils, penche-toi vers lui Pour
ance l’homme de bien. (Il n’est pas d’autre Dieu qu’Allah.) La mort a
touché
les cils Son regard ne nous connaît plus, Il entr
elles s’abriter ?... Elles avisèrent un palmier dattier si haut qu’il
touchait
à la terre et au ciel. Elles grimpèrent le long d
ur ne pas revenir. Pleine d’espoir, Aïcha s’approcha de la pierre, la
toucha
, en fit le tour lentement et comprit qu’elle étai
verbes Celui qui a levé la main, C’est comme s’il avait frappé. Il ne
touche
ni au ciel ni ù la terre. La nuit de mauvais rêve
ja à un prince infiniment plus valeureux et fortuné que Cheikh Smaïn.
Touché
au vif, le sultan interdit que le prince en fût i
sur le seuil, elle voulut découvrir la lumière. Mais à peine sa main
toucha-t
-elle l'assiette qu’un vent furieux renversa le va