ière cette colline se trouve le village. Nous allons bientôt voir les
toits
des maisons. Mais la Grenouille, exténuée, s’assi
amener. — Dame Grenouille? appela-t-il. — Qui marche au-dessus de mon
toit
? répondit-elle, irritée. Des débris tombent sur m
e te désole pas. Je vais te la ramener. — Qui marche au-dessus de mon
toit
? demanda la Grenouille en colère. Des débris tomb
e tout?... Ce n’est pas grave. Il prit son vol. —Qui donc est sur mon
toit
? cria la Grenouille. Des débris tombent sur mon r
ner. — Dame Grenouille ? appela-t-elle. — Qui marche au-dessus de mon
toit
? Des débris tombent sur mon repas I — C’est la Pe
rer. Les pieds foulaient le sol de terre battue ; la tête touchait le
toit
de chaume. Les cheveux se dressaient vers le ciel
istoire : Trois frères, à peine adolescents, abandonnèrent un jour le
toit
paternel pour courir le monde. Ils s'aimaient d’a
que les portes étaient closes et que dormaient les bêtes sous le même
toit
, tout contre les humains, la mère assise devant l
fillette les ramassa soigneusement, les essuya et les étendit sur le
toit
. Quand ils furent bien secs, elle les enveloppa d
un bel oiseau qui s’échappa du linge, un matin, pour se poser sur le
toit
et chanter : Ma mère m’a égorgé, égorgé... Mon pè
it l’homme d’une voix sombre. C'est alors que l'oiseau se posa sur le
toit
et se mit à chanter : Ma mère m’a égorgé, égorgé.
it, pleurerait... Et serait orpheline. L’oiseau ne revint plus sur le
toit
. La mère fut pardonnée. La fillette cessa de trem
nce est usée. Ce jour qui luit est le dernier que je passerai sous ce
toit
, si tes filles y demeurent. Le père baissa la têt
ue la fumée faisait larmoyer son œil perdu. Et Velâjoudh monta sur le
toit
pour guetter l’ogresse et sa suite. Il les vit s’
Vetellis ! Velâjoudh prit alors une poignée de poivre et sauta sur le
toit
en criant : — Tseriel a mangé sa fille 1 Tseriel