riel, l’ogresse, marchait pesamment : Tseriel touchait à la.fois à la
terre
et au ciel. Sa tête était un vrai buisson d’épine
té & des Seigneurs. Chant des pèlerins Les hommes se disputent la
terre
, — Hommes, la terre, à qui est-elle ? (Il n’est p
rs. Chant des pèlerins Les hommes se disputent la terre, — Hommes, la
terre
, à qui est-elle ? (Il n’est pas d'autre Dieu qu'A
est pas d'autre Dieu qu'Allah.) La nourriture seule nous est due ; La
terre
, son maître est un seigneur. (Il n’est pas d’autr
e lava les mains et s'occupa du diner. Elle posa bientôt la marmite à
terre
et mit sur le feu un chaudron plein d'eau. La Gre
dait patiemment. Elle avait découvert une place à l’ombre et posé par
terre
, sur un foulard, la galette et la viande. Elle fi
us à l'image de Tifas. Mais si tu choisis l’Au-delà, Tu seras mise en
terre
le même jour que Tifas. — Moi je préfère l’Au-del
re dit alors à l’enfant : — Nous allons enfoncer les montants dans la
terre
. Toi, tu feras courir la laine entre nous. Te voi
re : — J’allais couper du bois dans la forêt lorsque je vis sortir de
terre
une créature, une créature... une nappe d’or la c
u’il se brise. La pierre a dit : « La tête me fait mal ». La motte de
terre
a répondu : « Il ne me reste plus rien à dire. »
silhouette géante, formidable pénétrer. Les pieds foulaient le sol de
terre
battue ; la tête touchait le toit de chaume. Les
de près. Un dattier géant leur apparut : un dattier qui touchait à la
terre
et au ciel. La gazelle s’étendit au pied de l’arb
aimer plus que le haut-ciel et de la chercher éperdûment par toute la
terre
? Mais un autre a fait pour moi ce que je n’ai pu
aient laissé loin derrière le pays d’Orient. C’étaient maintenant les
terres
d’Occident qui venaient à leur rencontre. La rein
vêtue de pourpre. La voix de la poudre emplissait tout le ciel. Et la
terre
tremblait du galop des chevaux. Près de l’arbre m
au fond d’un ravin. Abderahman descendit recouvrir le pauvre corps de
terre
et attendit la fin de l’orage pour rentrer à la m
eu ferait la lumière. Depuis longtemps les pluies avaient entraîné la
terre
qui recouvrait le corps d’Hacène, laissant ses os
frère Abderahman m’a poussé Du haut d’un rocher Dans le précipice. La
terre
éboulée A recouvert mon corps. » Le berger se ren
abre et l’un de nos lévriers (je te laisserai l’autre). Je mettrai en
terre
un arbre : tant que ses feuilles seront vertes, s
le haut-ciel et plus chère que mon royaume et tous les royaumes de la
terre
. Je savais ton frère grand chasseur. Je lui dis u
eprit encore plus lentement. Les jumeaux sentaient déjà l’odeur de la
terre
natale. Ils allaient, ils allaient joyeux sur leu
ux pays même les plus lointains. A toi j'ai donné ma confiance Sur la
terre
comme sur les eaux. Quant à moi, je pars avec toi
ait un innocent. Or ces pauvres vieux ne pouvaient plus travailler la
terre
. Ils dirent un jour à leurs enfants : — Maintenan
rer. Les mains, qu’on les fasse travailler Ou qu’on les économise, La
terre
les mangera. Chant satirique Celui qui rêve d'une
rcier répondit : — Va, enduis-toi la gorge de miel et allonge-toi par
terre
au soleil, la bouche grande ouverte. Des fourmis
les yeux fixés sur lui. Dieu régnait dans le ciel et l'enfant sur la
terre
: Mehend se plaignait-il du moindre mal, ses pare
nt vu venir au monde qu’après avoir vu les étoiles en plein midi I La
terre
regorge de femmes I Mais Mehend répondit : — Il n
n’avais bu de mon lait, je t’eusse avalé et j’eusse avalé 'usqu’à la
terre
que tu as foulée ! Mais puisque tu as bu de mon l
n'avais bu de mon lait, je t’eusse avalé et j’eusse avalé jusqu’à la
terre
que tu as foulée I Mais, que puis-je pour toi? —
ites filles de cette année Sont voleuses de figues 1 Proverbes Pot de
terre
ne peut devenir pot de verre. La louche s’est mar
‹ Je me suis enfui du paradis de Dieu ›. C’est la pluie qui, pour la
terre
, est le paradis de Dieu : Tu craignais donc de te
r ?... Elles avisèrent un palmier dattier si haut qu’il touchait à la
terre
et au ciel. Elles grimpèrent le long de son tronc
ait, elle voyait pâlir sa belle-sœur et pâlir son frère tandis que la
terre
s’entrouvrait sous eux pour les engloutir. Elle s
le dégagea, tandis qu’elle laissait sa belle- sœur disparaître et la
terre
se refermer sur elle. Mon conte est comme un ruis
es filles y demeurent. Le père baissa la tête. Il lui semblait que la
terre
se creusait sous lui, car il aimait cette femme.
mné à être persécuté par sa queue, en même temps que s’entrouvrait la
terre
pour engloutir son palais et toutes ses splendeur
place, un palais splendide venait d'apparaître, celui-là même que la
terre
avait englouti. Les orphelines l’habitèrent et fi
bé dans la marmite et il a disparu t Le fleuve déborde et s’étale. La
terre
tremble. Un rocher demande : — Qu’as-tu, Dame Puc
main, C’est comme s’il avait frappé. Il ne touche ni au ciel ni ù la
terre
. La nuit de mauvais rêves, Le jour de mauvaises n
montagne où se trouvaient les raisins roses les plus prodigieux de la
terre
. Parle, bougie, ou je parlerai : Souviens-toi, il
ses narines et la met dans sa poche, c’est lui. Mais s'il la laisse à
terre
, il ne nous restera plus qu’à mourir. Le nègre la
aut que justice soit faite ! Il contraignit le sultan à s'asseoir par
terre
comme un mendiant et se servit de son genou comme
veulent en manger accourent : le paradis de Dieu est descendu sur la
terre
! Bien entendu, le figuier ne portait pas une seu
re pour voir ce qu’elle renferme ! Furieuse, l'ogresse jeta l’outre à
terre
. Le lien se brisa et les cailloux se répandirent
veulent en manger accourent ; le paradis de Dieu est descendu sur la
terre
I A l’heure chaude, survint l’ogresse. Elle enten
r. Chant d'amour J’ai écrit un message en français, O habitants de la
terre
, En présence de Dieu lui-même. Mais la chance est
t d’effroi. Alors, il leur raconta son histoire : — O habitants de la
terre
, dit-il, ce foie qui m’a défendu, ce foie qui m’a
le, la fraise, la pomme et la poire, sans parler des fruits venus des
terres
'lointaines dont elle ne connaissait pas le nom.
rtes Et des troupeaux y viendront paître. L’été nous sera rendu Et la
terre
se fera toute chaude. Dans les plaines mûriront l
couché dans le froid de la tombe. Qu'emporterons-nous des biens de la
terre
? 235 Nous les laisserons à des héritiers, Et nou
illés de boue et traînant dans le sang Mon collier d'ambre s’égrène à
terre
. Ils vont te trancher, ô ma vie bien-aimée, Aujou